16/07/2007
Chat JdNet avec Jérôme de Labriffe, président de lIAB et Catherine Goetlib, vice présidente
Extraits :
Question : "Le search continue à croître plus vite que le display. A quand un croisement des courbes de croissance ? Avez-vous des chiffres fiables sur le search ?"
Réponse : "Nous les attendons avec impatience ! Nous travaillons à l'IAB sur l'évaluation de ce marché. Nous pensons pouvoir donner des évaluations fiables d'ici la fin de l'année."
Question : "Comment ferez-vous pour assembler des chiffres bruts display, où le taux de remise pour passer au net est de l'ordre de 80 %, et des chiffres search, où il n'y a quasiment pas de remise ? Ce ne sera pas comparer des choux et des carottes ?"
Réponse : "Ce sera la difficulté de l'opération. Nous verrons ce que les sociétés d'études qui sont en charge de ces calculs nous proposerons. A l'IAB, nous n'avons que la charge d'assurer la cohérence des résultats."
Question : "A quand les chiffres en net dans les investissements publicitaires en ligne ?"
Réponse : "Les autres média ne publient pas leurs chiffres en net non plus. Or on constate également de forts décalages entre les bruts et les nets sur certains autres médias. Cette question ne concerne donc pas que le Web."
Plus sur : http://www.journaldunet.com/magazine/chat/retrans/070703-delabriffe-iab.shtml
22:09 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marketing on line, publicité
Indiana Jones ... le retour
Indiana nous a fait attendre mais il revient ...
Steven a tout prévu pour attiser la curiosité des fans.
On connait le don du monsieur pour les produits dérivés. Mais, pour l'instant, rien de payant. Le site officiel présente les premières photos du tournage et des vidéos. On ne voit pas grand chose ... surtout des américains avec des casquettes et des grosses caméras, mais on peut devenir membre de la communauté ce qui devrait permettre d'accéder à des contenus exclusifs comme des fonds d’écrans par exemple ...
Steven ne nous donne pas ici une grande leçon de marketing viral ... mais bon ...
Premier jour d'Indian Jones 4
Vidéo envoyée par dwane007
21:32 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, buzz, site officiel
14/07/2007
Le bulletin board : les nouvelles pratiques d'interviews dans les études
Le bulletin board reste confidentiel en France alors que les instituts américains semblent l'adopter avec enthousiasme depuis plusieurs années.
Pour s'interesser au sujet - lors du prochain SEMO - 3 conférences au moins sont prévues :
Mercredi 7 novembre 2007, 11h45 - 12h30, Salle 251
Le bulletin board (forum quali de 1 à 2 semaines sur 15 à 25 personnes) s’impose comme la méthodologie d’étude qualitative la plus puissante sur Internet.
Seront abordé :
- son apport face au quali traditionnel
- ses capacités immersives et collaboratives
- comment l’utiliser au mieux
Intervenants :
- Daniel Bô, Pdg, QualiQuanti
- Matthieu Guével, Directeur d'études, QualiQuanti
- Evelyne Redier, Directrice des Etudes Marketing Internationales, DIOR
Mercredi 7 novembre 2007, 16h45 - 17h30, Salle 252A
Les études en ligne sont-elles plus ou moins favorables au questionnement qualitatif ? à certaines problématiques ? Comment utiliser le discours disponible ? Les méthodes de recueil en ligne s'utilisent-elles en substitution ou en complément des méthodes de recueil classiques ?
Intervenant :
- Edith Benezet, Directrice Marketing et New Business, SORGEM
Jeudi 8 novembre 2007, 15h45 - 16h30, Salle 251
Internet a révolutionné les études quantitatives. Qu’en est-il des études qualitatives ? Les modes de communication d’Internet (Instant messaging, forums, blogs…) sont autant de nouvelles manières d’approcher les consommateurs et de mieux les comprendre.
Intervenants :
- Nathalie Perrio-Combeaux, Directrice associée, Harris Interactive
- Jean-Faustin Betayene, Directeur opérationnel du département Média & Interactif, Harris Interactive
A noter dans ses tablettes donc.
21:35 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : études, veille, outils, internet
The Long Tail ... traduit en français
"La Longue Traîne : La nouvelle économie est là !" de Chris Anderson
Editeur : Village Mondial
Date d'édition : 05.2007
Et surtout en VF
Traduit en français par Brigitte Vadé & Michel Le Séach
Pour une vingtaine d'euros, pourquoi ne pas lire vraiment ce dont tout le monde a parlé ...
08:50 Publié dans 1.2 Comportements consommateurs, 2.1 E.Marketing, 2.2 Pub, 3.2 Neomedia, 5. Actualités, 6. bis Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livre
07/07/2007
E-pubs vidéo : cinq conseils par Lycos & Media Contacts
1. Choisir la typologie de publication :
Il existent trois grandes catégories de publicités vidéo online qui impliquent des choix différents :
- L'e-pub vidéo "on-page", c'est-à-dire insérée dans des encarts sur les sites portails est survolée par l'internaute. Bien que ce mode d'affichage soit très puissant, (les sites portails touchant près de 90 % de la population internaute), cette e-pub prend place parmi d'autres contenus, ce qui implique pour l'annonceur un impératif d'être créatif afin d'attirer l'attention du consommateur.
- L'e-pub vidéo postée sur les sites de partage, tels que YouTube, Dailymotion, est recherchée, donc énormément appréciée des internautes. Mais ces vidéos n'ont pas une très grande puissance, comparativement à l'insertion "on page". Il existe néanmoins des leviers à mettre en place avec les sites pour renforcer cette puissance.
- L'e-pub vidéo dans un format "bilboard" correspond à une pause publicitaire, intervenant au lancement de contenus vidéo. Il s'agit donc d'un format clé pour les éditeurs de site et les annonceurs, car il permet au site de rentabiliser des contenus chers à produire. Cette insertion d'e-pub vidéo crée un effet tunnel identique à celui de la pub TV et ne rencontre pas de problème de concurrence avec le contenu à la différence de l'e-pub "on page". "Toutefois, le revers de la médaille est que les internautes se sentent captifs, ce qui n'est pas bien apprécié par les internautes 2.0. Des règles sont donc à respecter", précise Stéphanie Alabert, responsable d'études chez Lycos.
2. Ne pas plaquer sa pub. TV sur le Net mais - à minima l'enrichir :
"Les annonceurs n'ont pas comme alternative soit de reprendre et de plaquer leur pub TV sur le Net soit de partir de zéro pour créer une nouvelle création vidéo pour le Net. Ce qui représente une contrainte budgétaire importante. De multiples solutions intermédiaires fonctionnent pleinement auprès des internautes en matière d'e-pub vidéo", assure Gilles Giudicelli. Il convient donc pour les annonceurs d'enrichir leurs formats e-pub vidéo.
Une des spécificités du média du Web en matière de vidéo est qu'il permet d'associer également des éléments plus textuels, ce qui offre aux annonceurs un ressort créatif astucieux. Cela peut aller du rappel de la marque et du logo sous la vidéo, de manière à renforcer l'attribution de la marque, jusqu'à l'apport d'éléments d'interactivité, avec des jeux, des habillages de pages, des jeux-concours, etc. "Il est clairement ressorti de notre étude que les e-pubs interactives étaient les plus appréciées des internautes. Le consommateur 2.0 a en effet repris le contrôle de sa consommation et aime donc le côté gadgets des créations interactives", indique Gilles Giudicelli.
L'ajout de contenus exclusifs, tels que les making-off, les scènes cachées, est particulièrement bien perçu des internautes, ceux-ci adorant les bonus. Autre tactique possible : la mise en ligne du spot vidéo en avant-première sur Internet, ce qui est particulièrement intéressant pour les grandes marques dont les lancements de nouveaux produits sont attendus.
L'enrichissement des formats e-pubs, via des contenus additionnels et l'interactivité peut conduire à diminuer le trafic sur le site de la marque, mais l'importance réside dans le fait que la marque ait été vue. "Les objectifs de notoriété, d'image, et d'augmentation des ventes en magasin étaient déjà renforcés par le développement de bandeaux en flash, et les habillages de home. Cela s'accentue encore avec ce nouveau genre d'e-pub vidéo", précise Stéphanie Alabert, responsable d'études chez Lycos.
3. Adapter la durée au contexte
S'il est difficile pour les annonceurs de savoir quelle durée privilégier pour leurs formats d'e-pub vidéo, c'est que la durée dépend du type d'insertion e-pub.
En effet, dans le cadre d'une e-pub vidéo qui est affichée "on-page", la vidéo ne doit pas être trop longue. "Le contexte est bien particulier : l'internaute est venu pour accéder à un certain type de contenu, et l'e-pub vidéo vient donc concurrencer le reste du contenu. C'est pourquoi l'annonceur a 40 secondes pour attirer l'œil et convaincre l'internaute", indique Stéphanie Alabert. Cette durée relativement courte induit donc que les créations soient originales, de manière à susciter un intérêt vif. D'où l'importance de l'humour, de la créativité, et de l'interactivité.
Autre problématique : dans le cadre d'une vidéo en "bilboard", le visionnage de la publicité est obligatoire pour l'internaute qui souhaite visionner un contenu, ce qui impose une durée de spot plutôt courte, et sans interactivité. "L'e-pub vidéo en bilboard fait irruption dans un média d'accès direct, et non pas séquentiel comme la TV, ce qui est donc plus dérangeant", analyse Gilles Giudicelli. Il est recommandé de privilégier l'e-pub vidéo sous forme de parrainage par la marque, et de préciser à l'internaute qu'il va voir une page de pub pendant le téléchargement du contenu vidéo, par exemple. En revanche, ces restrictions n'ont pas lieu d'être dans le cadre des sites de partage vidéo : les internautes venant chercher eux-mêmes les vidéos, celles-ci peuvent donc être en version longue.
4. Tenir compte du contexte de consultation
Avec la vidéo, l'émotion et la narration font irruption dans les publicités Internet. Auparavant la prise en compte du contexte dans lequel les formats e-pub sont affichés était optionnelle, l'espace publicitaire étant alors signalé par des clignotements. Mais avec l'e-pub vidéo, analyser le contexte de visionnage est désormais indispensable.
"La notion de congruence, c'est-à-dire lorsque les thématiques convergent, est absolument nécessaire à prendre en compte. Un annonceur avait par exemple lancé une e-pub vidéo qui présentait un homme qui bave. Celle-ci a été mise en ligne sur un site culinaire, ce qui a été une catastrophe, car elle a été perçue comme répugnante par les internautes", assure Gilles Giudicelli. D'où l'importance de réaliser un achat d'espace plus méticuleux.
Par ailleurs, la prise en compte du contexte de consommation du Web est importante, car il permet aux annonceurs de rénover leur prise de parole : les internautes sont notamment en attente d'une liberté de ton, que les marques ne peuvent pas forcément bien se permettre en télévision. C'est pourquoi l'approche humoristique, via un ton piquant ou un peu mordant est toujours très appréciée des internautes.
"Internet est très majoritairement consommé seul, ce qui induit une approche plus intime, plus personnalisée. Ce contexte de consultation explique notamment le fait que l'e-pub Manix, plutôt osée, soit très bien passée sur Internet, car elle était moins gênante qu'en TV ou au cinéma, où le consommateur est plus sensible à la censure des gens qui l'entourent", détaille Gilles Giudicelli.
5. Savoir ne pas être intrusif
Le choix sur les tailles des formats publicitaires vidéo en ligne ou sur l'activation du son doit être lié à une attention portée sur l'aspect d'intrusion du format. "Le côté intrusif de la publicité en ligne n'est pas lié à la taille du format. Ce qui est intrusif pour l'internaute, c'est l'affichage de quelque chose qu'il n'a pas choisi et qui vient le déranger dans sa navigation sur les sites", rappelle Stéphanie Alabert.
Un petit format qui empêche à l'internaute d'entrer son login et mot de passe pour accéder à son espace personnel ou pour lire un article, est perçu comme intrusif, d'où l'importance du respect de la navigabilité de l'espace du site support. Cela signifie donc qu'il n'est pas impossible pour les annonceurs d'opter pour des formats e-pub vidéo qui recouvrent toute la page, à condition que cet espace publicitaire laisse à l'internaute la main en ce qui concerne son ouverture et sa fermeture.
D'autre part, le son peut également être ou non intrusif pour l'internaute en fonction du contexte d'affichage de l'e-pub vidéo. "Le son est attendu sur Internet, à condition de respecter les règles liées au mode d'insertion : dans le cadre d'une e-pub 'on page', le mode de lecture de l'internaute est concentré, le son activé par défaut peut donc déranger, surtout si la vidéo est présentée en boucle", précise Stéphanie Alabert. En revanche, si le son de la vidéo peut participer à l'expérience du site, comme notamment sur les sites de cinéma, de musique, de jeux vidéo, il ne faut pas hésiter à le proposer par défaut. C'est également le cas des e-pubs "bilboard", dans lesquelles l'internaute attend du son, et sur les sites de partage vidéos.
Mais pour tous les formats d'e-pub vidéo, il est préférable de proposer une activation et une désactivation claire du son, même dans le cadre de vidéos dont le son est activé par 'mouse over', c'est-à-dire lorsque l'internaute passe la souris sur la création. "Une grande partie de la population internaute est encore en phase d'apprentissage, et il faut donc que les réflexes se mettent en place. Pour ne pas perturber l'internaute, il faut laisser un picto qui montre un son barré, ou autres", indique la responsable d'études de Lycos.
Sur le JdNet
23:15 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marketing on line, publicité
La musique : une activité révélatrice des changements en cours - un article de T. Maillet
"L'annonce simultanée la semaine passée de la Contraction des revenus de la SACEM ET de la Hausse des revenus de itunes illustre le transfert actuel des sources de revenus des artistes :
- La plate-forme de distribution de musique d'Apple est devenue le 3° distributeur de musique aux Etats-Unis en trois ans et bien sûr le premier distributeur de morceaux de musique à l'unité,
- La SACEM voit ses revenus baisser de 10% et les redevances issues du téléchargement restent marginales.
Trois leçons peuvent être tirées de la confrontation de ces deux informations qui dépasse le seul cadre de l'industrie de la musique.
Première Leçon : La provenance de nouvelles sources de revenus augmente de façon exponentielle au fur et à mesure de la diffusion des nouvelles technologies. Quelques exemples :
Certains producteurs de musique tirent 25% de leurs revenus de la vente de mélodies aux utilisateurs de téléphone portable.
2. Deuxième Leçon : Les modalités de redistribution des revenus et notamment les systèmes de droits d'auteurs et d'imposition sont appelés à être revus de manière prospective et sans a priori comme viennent de commencer à le faire les américains : Lire le très intéressant article d'Eric Le Boucher sur les initiatives des think thank américains pour trouver de nouvelles pistes de rémunérations publiques.
3. Troisième Leçon : la modification des frontières internes des entreprises est en marche. La récente annonce de start-up dédiées à la diffusion des nouvelles techniques de gestion de l'information (le wiki) montre bien que la structuration traditionnelle des entreprises héritée des théories d'A Sloan, Président de General Motors dans l'entre deux-guerres n'est plus sacro-sainte. De nouvelles formes de collaboration dans les entreprises sont naissantes, telle la notion de modération, déjà évoquée ici.
L'industrie de la musique est donc toujours intéressante à suivre car elle est souvent annonciatrice des bouleversements à venir, étant au carrefour des idées :
1. de diffusion de la culture (festivals, world musique, etc, ...)
2. d'expression des nouvelles technologies (vente en ligne, gratuité, ....)
3. de critères de fonctionnement de l'industrie des biens de consommation (marques mondiales, investissements publi-promotionnels élevés, produits dérivés)."
Le 04.07.07 sur : http://mailletonmarketing.typepad.com/mailletonmarketing/
22:43 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marketing
Etude Forrester : les marques devraient investir dans les réseaux communautaires
Social networking sites (SNSes) like MySpace.com and Facebook attract large numbers of mostly young users who are eager to engage with their favorite brands. But most marketers use traditional marketing tactics like run-of-site advertising and static microsites to push messages into these networks. Instead, to realize the full value of marketing on SNSes, marketers should be prepared to engage in a personal relationship with users by providing something of value. Promotions are good in this context, but even better are information or brand elements that users can pass on to their friends.
Selon le cabinet, les marques profiteraient dans un premier temps d'une meilleure visibilité. Elles pourraient aussi tabler sur le bouche-à-oreille, très populaire auprès des 12-17 ans, pour faire entrer leur profil au sein des listes d' "amis" référencées sur chaque page personnelle. A titre d'exemple, en se créant un profil sur MySpace, le film X-Men2 a recueilli plus de deux millions d'utilisateurs de ce réseau dans sa liste d'amis. Efficace!
En outre, les marques peuvent compter sur leur réseau d'amis : les internautes se rendant chaque jour sur un site communautaire font figure de "leaders naturels": s'ils sont séduits par le profil d'une marque, ils n'hésiteront pas à la recommander à tous leurs amis internautes ou à en parler sur leur blog.
Les jeunes internautes sont également attirés par les petits bonus que les marques peuvent offrir, telles que les réductions et des promotions sur des produits si elles sont régulièrement mises en avant sur le profil. Des contenus exclusifs peuvent aussi attirer leur attention, tels que des wallpaper et des images téléchargeables.
Les annonceurs ne doivent pas non plus oublier d'entretenir leur relation avec les utilisateurs des réseaux sociaux en renouvelant régulièrement le contenu de leur profil et en n'hésitant pas à solliciter les visites par l'intermédiaire d'e-mails pour, par exemple, les inviter à des évènements exclusifs. Ainsi, la marque de lingerie américaine Victoria's Secret a proposé à ses "amis" de MySpace et de Facebook de gagner des invitations pour une "PJ Party" (Pyjama Party) exclusive.
Plus d'informations :
http://www.forrester.com/Research/Document/Excerpt/0,7211,41662,00.html
21:32 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marketing on line, publicité
03/07/2007
BMW : un jeu vidéo gratuit pour conduire leurs modèles
Le marché de l'auto a décidement bien pris le virage du Net.
BMW propose un jeu vidéo en ligne gratuit de courses de voitures (les siennes évidement) ...
http://www.bmw-pace.com/pace/
13:53 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : publicité, marketing
29/06/2007
Publicis et Dassault veulent faire bosser les internautes ...
Suivant le constat que les consommateurs sont de plus en plus enclin à s'exprimer sur tout ... les initiatives se multiplient pour les associer dès le processus d'élaboration des produits.
Dassault Systèmes & Publicis ont lancé la société 3dswym. Le principe est de présenter des innovations en 3D à une communauté d'internautes qui pourront proposer et créer leurs modifications in situ.
Le consommateur pourra, par exemple, se promener dans les allées d'un supermarché virtuel, juger de l'emplacement des produits, de la signalétique, de la visibilité des promotions. De même, l'internaute pourra jouer avec les formes, l'habillage, la matière d'un nouveau produit et donner son avis, juger de son usage dans l'environnement reconstitué d'un appartement. Les commentaires des consommateurs seront mémorisés et viendront alimenter une base de données qui s'enrichira au fil des expériences.
Les très sérieux Maurice Lévy, président de Publicis, et Bernard Charlès expliquent leur démarche : "Nous nous sommes dit que nous pouvions répondre à la situation actuelle du marché où les consommateurs en ont marre qu'on les fasse réagir sur des produits finis. Le fait de pouvoir visualiser les objets en 3D et le développement de l'Internet collaboratif permettent de les impliquer davantage et d'avoir leur imagination au travail."
Etrange idée ... on peut se demander si les consommateurs sont vraiment fatigués de donner leur avis ou si les pro. n'en peuvent plus de produire des idées ...
On est peut être tous saturés d'innovation au niveau des pôts de yahourts ...
19:15 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : études
24/06/2007
L'industrie du disque s'illustre encore ...
Si certains secteurs s'approprient rapidement les nouvelles techniques marketing - l'industrie du disque peine à y comprendre ses intérêts. On admettra que la mise à mal de leur modèle économique rend l'exercice plus périlleux. Un exemple parmi d'autres dans cet article amusant paru sur 01net par Arnaud Devillard le 11.05.07.
"C'est le dernier fait d'armes en date de la Recording Industry Association of America (RIAA), qui représente les grandes maisons de disques (Universal, Warner, Sony BMG...). Elle a menacé des internautes qui ont publié sur leurs blogs des morceaux en avant-première du dernier album de Nine Inch Nails (NIN), Year Zero. Sauf que là, elle s'est un peu pris les pieds dans le tapis. Puisque c'est le groupe de rock industriel américain lui-même qui avait essaimé certains MP3, dans le cadre d'une sorte de jeu de pistes, dûment pensé, sur le Web. Retour sur cette curieuse histoire.
Quelques semaines avant la sortie officielle de Year Zero, le 17 avril, des chansons se sont mises à circuler sur Internet, notamment sur des blogs. Ni une ni deux, la RIAA met en oeuvre sa stratégie habituelle : expédier aux internautes pris en flagrant délit de mise à disposition illégale, des lettres de mise en demeure, leur demandant de retirer les fichiers. Au risque, sinon, de faire l'objet de poursuites judiciaires.
Stratégie virale
Le blog musical Idolator.com se fait ainsi épingler par l'industrie du disque. Et un certain Christoph Boecken, étudiant allemand de 25 ans, qui diffusait en streaming un titre sur son blog, reçoit lui aussi un courrier de la part d'Universal, maison de disque de NIN. Il doit, comme le raconte le numéro de mai 2007 du magazine américain Rolling Stone, retirer le morceau et payer 670 dollars (environ 500 euros).
Mais un mois plus tard, ce même Christophe Boecken reçoit un nouveau courrier d'Universal : la major du disque a commis une erreur confesse-t-elle. Elle rend l'argent à l'internaute. Et l'invite même à un concert de NIN et à rencontrer le groupe.
Pourquoi ce revirement ? Tout simplement parce que ces titres, publiés un peu partout sur la Toile, ont été mis en circulation par le groupe lui-même, dans le cadre d'une stratégie promotionnelle virale assez alambiquée. Et qui a donc apparemment complètement dépassé la RIAA.
Selon le magazine Billboard, NIN a commencé par laisser des indices dès le mois de février, notamment sur des t-shirts du groupe. Les fans ont compris qu'il fallait aller sur Internet et ont découvert divers sites (iamtryingtobelieve.com, bethehammer.net, anotherversionofthetruth, etc). Tout un monde virtuel occulte mis en place par Nine Inch Nails, recréant en ligne l'univers de l'album à venir, mâtiné de paranoïa, d'anticipation politique à la George Orwell, de théorie du complot, etc.
Des clés USB trouvées lors de concerts
NIN est ensuite parti en tournée pour promouvoir l'album. A ce moment-là, dans des salles de concerts où passait le groupe, des fans ont trouvé des clés USB contenant des liens vers les sites, mais aussi des morceaux inédits en MP3. Des titres du disque à venir. Une idée de Trent Reznor lui-même, leader de Nine Inch Nails.
Un fan raconte ainsi avoir trouvé une clé dans les toilettes du Coliseum à Lisbonne avec la chanson My Violent heart . A Manchester, quelqu'un a eu droit à In the twilight . A Barcelone, une autre clé USB était livrée avec Me I'm not . Certaines clés ont même été découvertes scotchées à des barricades.
Le jeu de piste a continué, avec un numéro de téléphone imprimé sur un T-shirt, qui permettait d'écouter un extrait du premier single, ou avec une bande-annonce intrigante sur yearzero.nin.com. Effet immédiat, et escompté : les fans se sont mis à mettre en ligne ces fichiers et à se les échanger. Jusqu'à ce que la RIAA s'en mêle, par erreur.
Depuis, les internautes se déchaînent contre la représentante des majors du disque américaines, l'accusant de ne définitivement rien comprendre à rien, de ne pas savoir s'adapter et de mettre des bâtons dans les roues de ses propres artistes.
Le CD mutant de Nine Inch Nails
Passée la phase de promotion, les fans de Nine Inch Nails ne sont pas au bout de leurs surprises. Les acheteurs de l'album ont pu constater, en ouvrant le boîtier, que le disque était noir. Après l'avoir retiré de leur platine, suite à une première lecture, ils ont récupéré un CD... blanc ! La teinte noire provisoire laissant apparaître sur le disque d'étranges lignes de codes.
Le site Tech Amok a réussi à les traduire et a ainsi pu aboutir à un nouveau site Web caché, exterminal.net. Il y est question de surveillance, de liberté, d'emprisonnement. D'après le site, c'est une forme de réponse de Nine Inch Nails, qui ne s'est pas exprimé officiellement sur cette affaire, à la RIAA. On y trouverait également une nouvelle chanson, qui n'est pas sur l'album."
22:55 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marketing on line
25 septembre prochain - séminaire dédié aux univers virtuels
Savez vous ...
- que plus d’1 personne sur 4 en Corée du Sud posséde un avatar dans CyWorld
- qu'une licence bancaire valable dans Entropia Universe à été attribuée à une banque allemande pour plus de 400.000 $
- que les revenus annuels d’éditeurs comme Sulake (Habbo Hotel, Coke Studios, Disney Virtual Magic, Kingdom) ou Tecent (QQ) avoisinent les 100 millions de dollars ... et on en passe ...
Ces chiffres étonnants invitent les marques à se positionner.
Le séminaire se passe du préalable "pourquoi y être" mais pourra sans doute éclairer ceux qui souhaitent savoir "comment y être".
Le programme à ce jour :
Panorama des univers virtuels - Frédéric CAVAZZA
Quelles utilisations des univers virtuels et quels contenus pour valoriser la présence de sa marque ? - Dan BENZAKEIN
Les différents modèles économiques liés aux univers virtuels - Stéphane BAYLE
Les outils de modélisation et de scripting : plus de réalisme et surtout plus d’opportunités - Fabrice TRON
Quel impact pour les opérations de communication évènementielle dans Second Life - Laurent HECKMANN
Typologie des utilisateurs - types des univers virtuels - François ABIVEN
Identité, expérience, et design d’interaction des marques dans Second Life - Benoît DROUILLAT
L’apport de l’open source pour adapter Second Life à votre contexte de marque - Robert VINET
Les relations publiques dans les univers virtuels : de l’écho médiatique à la résonance individuelle - Pierre LE LEANNEC et Philippe BETEILLE
Présentation de Habbo Hotel : Chiffres-clés, audience et potentiel - Jean-Baptiste GERAUD
Les inscriptions sont ouvertes mais les places limitées.
http://www.virtualparis2007.com/
21:05 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : publicité, marketing on line, néomédia
21/06/2007
+ 2 points pour la pub Internet en 2007
"Selon une étude du Benchmark Group, la part de l'Internet dans les dépenses publicitaires des grandes marques en 2007 devrait atteindre 9% contre 7% en 2006.
Interrogés par l'institut d'études, les annonceurs mettent en avant les atouts de la publicité en ligne : l'interactivité, les possibilités de mesure et les capacités de ciblage. Selon le document les trois principaux leviers publicitaires sont l'e-mailing, l'e-pub (achat d'espace sur les sites) et l'achat de mots clés utilisés respectivement par 98%, 95% et 90% des annonceurs. L'e-publicité capte pour l'instant la plus grosse part des budgets."
Sur NL CB News - 20.06.07
19:55 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : publicité, marketing on line
13/06/2007
Directinet lance une solution de gestion de base de données en ligne
NL Marketing Direct 11/06/2007
Directinet, spécialiste du e-marketing et de la donnée consommateurs, vient de lancer, au travers de sa nouvelle entité IPT France, une solution de constitution de bases de données qualifiées : Butineo.com. Cette nouvelle offre innovante est calquée sur le modèle de MyOffers.co.uk, le premier site de collecte opt-in en Grande-Bretagne qui compte 1,5 million de visiteurs uniques par mois et 54 millions de questionnaires en ligne remplis chaque année.
En France, Butinoe.com prend la forme d'un site de jeux-concours en ligne proposant six catégories de dotations (voyages, high-tech, auto, argent, loisirs et arts ménagers) d'une valeur comprise entre 100 et 20 000 euros. Une fois l'inscription basique réalisée (coordonnées postales et e-mail), l'internaute peut compléter un questionnaire facultatif, sponsorisé par un annonceur, qui lui donne le droit de participer à de nouveaux jeux. Chaque questionnaire est acheté par une marque qui détermine les données de qualifications qu'elle souhaite obtenir.
Outre-Manche, ce sont plus de 200 entreprises qui utilisent aujourd'hui cet outil pour collecter leurs bases de données qualifiées. IPT France espère ainsi atteindre un niveau équivalent dans l'Hexagone d'ici à trois ans.
21:30 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marketing direct, base de données
21/05/2007
La révolution marketing
L'approche 2.0 comme prélude ou prétexte à un "Self Marketing"
par Denis Failly
http://denisfailly.blogspirit.com/
Résumé : Le paradigme 2.0 , qui n'est ni clôt ni définitif, facilite la prise de pouvoir de l'internaute - client, objet des convoitises des marketers.
Prétendre faire du marketing comme hier être une grave erreur puisque la donne change et bouleverse (ce n'est qu'un début) les contours même des objets, sujets traités habituellement par le Marketing (qu'est ce qu'un client, un marché aujourd'hui) bref nous pensons que des "Individus Marques" des "Me Brands" self marketer d'eux même pour eux même et leurs pairs vont monter en puissance et obligeront de plus en plus le Marketing à s'interroger sur son sens, ses valeurs et sa raison d'être.
Nous parlons d'un Marketing avec un grand M englobant toutes les variantes et disciplines connexes.
Prémisses
Démocratie participative, démocratie cognitive, logique "bottom up", co -production et auto production de contenus, de valeurs, autant d'alters logiques en marchent, qui bousculent ou basculent un certain nombre de modèles considérés comme acquis notamment dans la relation Marques consommateurs
Loin des mécaniques Marketing et techniques classiques, des visions Web simplement technologiques, des promesses prométhéennes d'un salut dans l'hyper consommation, nous voilà nous autres décideurs, marketers, conseils.recadrés par cette « révolte du pronétariat » dont nous parle Joël De Rosnay et fomentée par les internautes et les citoyens eux-mêmes.
Par delà les usages dits Web2.0 se dessinent des postures, des attitudes, des comportements qui irriguent peu à peu le tissu virtuel du Web mais commencent aussi à déborder dans la vie réelle (le "5ème pouvoir") quand ce n'est pas l'inverse qui se produit (modèle de don et contre don, troc, nouvelles solidarités, proximités et actions locales, avec continuités webosphériques...).
Beaucoup de structures, marques, prestataires demeurent autistes et continuent à faire comme si de rien n'était ou agissent à la marge, aveuglés par leurs propres certitudes d'invulnérabilité.
Si le marketing se meurt ceux qui font ce marketing sont donc en sursis...
Et le self marketing sera...
Un self marketing est en gestation, chacun détient pas sa présence virtuelle, ses actes, ses écrits ses productions diverses (les « Proams » ou amateurs professionnels) la possibilité d'être son propre ambassadeur, acteur de sa propre vie en maitrisant ses discours, ses promesses (mon identité, mes compétences et savoirs faire, mes ressources, mes liens, mes contacts...)
Nombreux sont les outils et plateformes permettant de gérer son identité, sa présence numérique, ses données, sa réputation et d'être enfin sa propre marque.
D'habiles stratégies de communication personnelles, de tactiques connectives deviennent alors possibles pour faire savoir son savoir faire et savoir être.
Auto buzz, auto référencement, cross linking, essaimage ou focalisation de ses productions de ses contacts de ses réseaux sont autant de façon de se positionner et de s'inventer voir ré-inventer sur Internet.
Demain comme consommateur j'aurais le choix entre co-produire et répondre à mes désirs mes besoins...seul ou à plusieurs en sortant du système top -->down" actuel, je pourrais aussi négocier les données qu'une marque souhaite avoir sur moi non pas en cadeau et autres avantages mais en argent avec un prix de cession de mes données.
Nous passons d'une logique de marketing de l'individu (« indivisible », tel l'atome insécable de Démocrite») à une logique de marketing de la personne (du latin « Personna » qui correspondait aux multiples masques -rôle ?- des acteurs antiques) inapte à capter un client insaisissable dans quelques données quantitatives et simplistes.
Le défi serait «d'embrasser » dans toutes sa multi- dimensionnalité ce fameux client aux « génotype » partiellement appréhendable et au "phénotype" introuvable.
Ce qui revient à dire plus simplement que les outils d'études et d'observations (type quanti : Crm, datamining...) atteignent leurs limites et même si ils ne sont utilisés que pour ce qu'ils sont, ils demeurent des discours quasi holistes, universalisants voire systématiques quant aux miracles que pourraient accomplir ces solutions.
-La segmentation (réduction/ dijonction vs reliance/conjonction) a-t-elle encore un sens ?
-Le H to H (Human to Human) n'a jamais été autant d'actualité et qui peut incarner un marketing "incarné" mieux que le client incarné ?
-Les positions, transitions, avatars, prises de parole, capacités d'agir, les multi-vies, qu'elles soient réelles simulées et/ou virtuelles (cf 2nde life et autres outils synchrones de communication types messengers...) ne font que renforcer l'obsolescence de certaines pratiques unilatérales, top --->down en marketing.
Vers un « auto, un self -branding »
L'heure est à s'inventer soi même que ce soit pour :
- Créer, promouvoir, son activité, ses contenus, son propre emploi, sa notoriété, son image, sa réputation
- Etre fin, moyen, chaînon de sa propre chaîne de valeur, potentiellement co-partageable
- Créer des savoirs et des concepts dynamiques, innovants intégrant le « complexe » loin des savoirs sédimentés, figés (« morts ») encore trop souvent enseignés dans les formations traditionnelles ou diffusés par des médias conformistes ou auto-répliquant.
- Etre sa propre marque ("Being Brand", "Me Brand") sa propre promesse, construire sa prise de parole et sa légitimité sur le Net et par contre coup, ailleurs (l'un nourrissant l'autre et inversement) et la livrer aux suggestions, remarques, critiques, jugements de ses pairs ou de cibles élargies.
- La gestation en cours d'open ID (identifiant universel sur le Web)...est une modalité technique et pratique de gestion, d'encapsulation et de déploiement de son identité, de sa traçabilité et de sa présence sur le web mais elle n'est pas suffisante, car à l'instar d'une marque qui n'aurait rien à dire et dont l'image s'étiolerait, l'internaute porteur de sa propre marque identité, ne pourra pas être spectateur passif de sa propre existence virtuelle et devra constamment se renouveler afin de rester audible et crédible.
Individualisation versus individuation
Pour comprendre cette notion de Self marketing et d' « auto branding » il faut avoir aussi conscience de la différence entre individualisation et individuation
- L'individualisation est l'apanage classique du marketing direct, du One to One (mythe ou réalité ?) et fleure bon l'aspect programmatique des sempiternels programmes de fidélisation et autres courses à la prime, et pseudo personnalisation.
Le prédictif (scoring et modélisation à la Kohonen et autres réseaux neuronaux) sont inaptes à intégrer :
- le complexe, l'incertitude (au-delà des marges classiques) ,les transitions de phases dans les moments de vie (évènements heureux ou accidents de vie) d'un client.
L'individualisme est inscrit dans une logique binaire Moi ou la collectivité
- L'individuation elle impose la distanciation et la différenciation entre sujet client et objet client, elle inscrit le sujet comme à la fois individu (le local) et/avec la collectivité, la communauté (le global) tout est dans le flux, la navette négocié et "interactivée" entre les divers niveaux d'observation (études) et d'actions (marketing opérationnel)
Un marketing chemin faisant
Je pense que nous nous orientons vers un marketing qui s'auto construit "chemin faisant", loin des programmes et autres tentatives planificatrices, il y a quelque chose de quantique, de chaotique dans cette vision car elle suppose que plus rien n'est prévisible (en dehors du probable), projetable, et toutes actions inutiles (CQFD).
Plasticité du système Marketing client
Rien n'est plus donné tout est construit, négociable et l'humeur vagabonde d'un client qui s'affranchi, laisse perplexe quand au raison d'être de nombreuses actions marketing.
Nous pensons avec qu'il s'agit aussi moins d'apprendre SUR le client que DU client, une logique "Knowledge Marketing" plus amont (voir les travaux d'Oleg curbatov) qui change tout, puisque le client devient non plus seul fin mais générateur, processus, initiateur amont et producteur.
Nombres d'acteurs protègent encore leurs plates-bandes en déshérence progressive et à l'instar des douloureuses mutations de l'économie française dans son passage de l'ère industrielle à l'ère des services, nombre de secteurs, métiers, fonctions,.. (dont les productions sont notamment dématérialisables...) vont avoir à se revisiter (démarche épistémologique) se repositionner, se transformer, (désintermédiation , ré-intermédiation,...) bref eux aussi devront se réinventer.
Plus loin encore pour dire la déflagration possible, nous pensons que la notion même d'Entreprise comme unité de « collaborants » , d'espace, de temps...explosera à terme au profit de champs collaboratifs inter-reliés, chacun pourra être, entre autre chose, son propre marketer hypermobile que ce soit pour vendre un projet, chercher un emploi, et adopter des stratégies adaptatives diverses (professionnelles et parfois privées).
Tous noéticiens...?!
On comprend l'impérieuse urgence de revisite du marketing (nouveau marketing ou renouveau ?) mais cela va bien au delà.
A l'âge de la Noosphère devenons Noéticiens loin des discours et méthodes « en boîte », réapprenons à penser et réfléchir compte tenu du paradigme du complexe, du transversal, des phénomènes communautaires, intégrons la dimension sociétale (Bernard Cova parlait déjà de « Societing » il y a plus de 10 ans ) nous n'échapperons pas au-delà d'un nouveau nom pour désigner le Marketing (si les marchés sont aussi des conversations le "Market" du mot Marketing n'a déjà plus le même sens...), à une revisite des fondements même de la discipline (démarche épistémologique) qui n'en n'est plus une car devenue trans/multi/discipline, et pervasive (continuum société-marché-client-personne/individu...).
Denis Failly
13:50 Publié dans 2.1 E.Marketing | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : http://denisfailly.blogspirit.com/archive/2007/05/04/l-approche-
10/04/2007
La communication corporate prend un coup de jeunes
L'agence Heaven chante en play back ... c'est moins poignant que les full monthy ... et ce qui serait vraiment fort ce serait qu'ils arrivent à vendre le même concept au staff d'un grand de la banque ...
Heaven et son LipDub chez LCI est à vous
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Le clip ...
On chante Weezer en LipSync
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Et celui de l'agence Connected Venture - la première à tenter
Connected Venture
Vidéo envoyée par xavierg
18:50 Publié dans 2.1 E.Marketing, 2.2 Pub, 2.3 Buzz, 3.2 Neomedia, 3.3 VOD, 5. Actualités, 7. Sélection de vidéos à regarder | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vod