08/07/2007

Google blogue et gaffe ...

De la diffuculté des blogs d'entreprise ...

http://google-health-ads.blogspot.com/2007/06/does-negative-press-make-you-sicko.html

Lauren T., chargée de compte pour la régie publicitaire santé de Google n'a pas aimé le dernier film de Michael Moore et les attaques qu'il porte aux entreprises pharmaceutiques. Et elle l'explique sur le blog de Google santé. Elle pousse le zele jusqu'à conseiller ses clients à utiliser son support pour orchestrer leur campagne de défense. La blogosphère, toujours très à l'écoute de l'actualité Google, n'a pas tardé à dénoncer le mélange des genres ...

"Does negative press make you Sicko?

6/29/2007 09:47:00 AM
Posted by Lauren T. Account Planner, Health

"Lights, camera, action: the healthcare industry is back in the spotlight. (Not that it ever left the stage.) Next week, Michael Moore’s documentary film, Sicko, will start playing in movie theaters across America.

The New York Times calls Sicko a “cinematic indictment of the American health care system.” The film is generating significant buzz and is sure to spur a lively conversation about health coverage, care, and quality in America. While legislators, litigators, and patient groups are growing excited, others among us are growing anxious. And why wouldn’t they? Moore attacks health insurers, health providers, and pharmaceutical companies by connecting them to isolated and emotional stories of the system at its worst. Moore’s film portrays the industry as money and marketing driven, and fails to show healthcare’s interest in patient well-being and care.

Sound familiar? Of course. The healthcare industry is no stranger to negative press. A drug may be a blockbuster one day and tolled as a public health concern the next. News reporters may focus on Pharma’s annual sales and its executives’ salaries while failing to share R&D costs. Or, as is often common, the media may use an isolated, heartbreaking, or sensationalist story to paint a picture of healthcare as a whole. With all the coverage, it’s a shame no one focuses on the industry’s numerous prescription programs, charity services, and philanthropy efforts.

Many of our clients face these issues; companies come to us hoping we can help them better manage their reputations through “Get the Facts” or issue management campaigns. Your brand or corporate site may already have these informational assets, but can users easily find them?

We can place text ads, video ads, and rich media ads in paid search results or in relevant websites within our ever-expanding content network. Whatever the problem, Google can act as a platform for educating the public and promoting your message. We help you connect your company’s assets while helping users find the information they seek.

If you’re interested in learning more about issue management campaigns or about how we can help your company better connect its assets online, email us. We’d love to hear from you! Setting up these campaigns is easy and we’re happy to share best practices.

As for Sicko, all I can say is -- go easy on that buttered popcorn. "

Et la suite ...

"My opinion and Google's

7/01/2007 09:03:00 AM
Posted by Lauren T. Account Planner, Health

Well, I've learned a few things since I posted on Friday. For one thing, even though this is a new blog, we have readers! That's a good thing. Not so good is that some readers thought the opinion I expressed about the movie Sicko was actually Google's opinion. It's easy to understand why it might have seemed that way, because after all, this is a corporate blog. So that was my mistake -- I understand why it caused some confusion.

But the more important point, since I doubt that too many people care about my personal opinion, is that advertising is an effective medium for handling challenges that a company or industry might have. You could even argue that it's especially appropriate for a public policy issue like healthcare. Whether the healthcare industry wants to rebut charges in Mr. Moore's movie, or whether Mr. Moore wants to challenge the healthcare industry, advertising is a very democratic and effective way to participate in a public dialogue.

That is Google's opinion, and it's unrelated to whether we support, oppose or (more likely) don't have an official position on an issue. That's the real point I was trying to make, which was less clear because I offered my personal criticism of the movie.

Update: For those of you who haven't noticed, there's a further perspective live on the main Google corporate blog that sheds more light on the company's views. As for me, I wholeheartedly believe we should work to improve the quality of health care in America and support the discourse that will drive this change."

00:30 Publié dans 3.1 Blogs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : buzz, blog corporate

02/07/2007

L'équipe de Stratégies blogue

Pour fêter les 30 ans du Grands Prix Stratégies couronnant le meilleur de la création publicitaire, la rédaction du magazine s'offre un blog : "Faites de la création" avec des posts chaque jour mettant en avant la création sous toutes ses formes ... publicitaires s'entend ... L'expérience est prévue pour durée 30 jours ... mais plus si affinité disent-ils.

http://blog.strategies.fr/creation/

15/06/2007

Quelques clés pour lancer un blog de marque

Corporate blogging : comment et pourquoi ?

Sur : http://www.digimedia.be - le 31-01-2007

Qu’est-ce qu’un corporate blog?

Les corporate blogs ou blogs d’entreprise sont des blogs mis en place par des sociétés et confiés à des une ou plusieurs personne(s) : le patron, le département R&D, le service marketing ... Parfois, il s’agit d’une approche directive: quelqu’un dit ‘nous devons bloguer’. Parfois, cela s’inscrit dans le cadre d’une action ou d’une campagne spécifique. Et parfois, l’initiative vient de la base et remonte au sommet: des personnes de l’entreprise commencent à bloguer sur des choses qu’elles font et, au fil du temps, davantage de personnes s’y impliquent au point que le management récupère l’idée parce qu’il ‘voit qu’elle est bonne’. Cette présentation est évidemment un peu simpliste et la genèse de chaque blog d’entreprise est différente, mais cela donne déjà une idée.

Pourquoi devrions-nous bloguer?

Les raisons pour lesquelles des entreprises lancent un blog sont très diverses (nous partons en l’occurrence du principe que le blog est une décision délibérée, alors que – comme nous venons de l’indiquer - ce n’est pas toujours le cas). Certaines le font pour faire savoir à quel point elles sont formidables. D’autres le voient comme une activité de relations publiques. D’autres encore le font parce que ‘les livres’ ne parlent jamais d’elles. Et il y en a qui recourent à ce moyen parce qu’il est à la mode. Mauvaise nouvelle pour toutes ces entreprises: elles se fourvoient. Je vous dirai pourquoi par la suite. Il est toutefois temps d’introduire un autre concept: les ‘conversations’.

Il n’existe pas de livres sur les conversations, mais le terme se rencontre néanmoins dans la littérature spécialisée. Qui plus est, certains livres sur les blogs et le ‘new marketing’ comportent ce terme dans leur titre. Comme par exemple ‘Naked conversations’, l’ouvrage consacré au corporate blogging par Robert Scobble et Shel Israel. Ou encore le nouveau livre à paraître de Joseph Jaffe qui s’intitulera ‘Join the Conversation: How to Engage Marketing-Weary Customers With The Power of Community, Dialogue and Partnership’.

Pour expliquer ce terme, je préfère me référer à un autre ouvrage, plus ancien (dont la première publication remonte à 2000 pour être précis), où le terme ‘blog’ ne figure pas encore (pour la simple raison qu’il n’existait pas encore): The Cluetrain Manifesto.

De ce livre, il ne faut retenir qu’une seule phrase (ce qui n’empêche que je vous recommande chaudement la lecture complète de l’ouvrage): ‘les marchés sont des conversations’. Les auteurs font ainsi référence au rôle d’origine du ‘marché’: un endroit où les gens se rencontrent, font étalage de leurs articles, parlent du temps et, entre une petite bavette et une poignée de main, achètent et vendent de tout.

Cette comparaison peut sembler assez simple et évidente à première vue. Mais elle cache une réalité marketing très importante. Qui permet de comprendre en quoi consiste exactement le corporate blogging …

Apprendre à écouter

Les marchés sont des conversations. Malheureusement, les vendeurs d’aujourd’hui, les entreprises, l’ont quelque peu oublié et ne conversent plus (sans parler d’écouter, même si tous prétendent être orientés clients). Bon nombre d’entreprises ne font que parler et certaines crient (songeons aux spots télé qui lavent plus blanc).

On impute la disparition de la conversation dans le processus commercial au modèle de production (et de communication) de masse qui s’est mis en place depuis la révolution industrielle. Un modèle qui a fait en sorte que les entreprises et les acheteurs (les propriétaires des moyens de production et les consommateurs pour utiliser des termes industriels) se sont éloignés les uns des autres en raison d’un discours ‘nous et eux’. ‘Nous’, ce sont les entreprises qui produisent des biens, et ‘eux’ désigne ceux qui les consomment. Entre les deux, il y a le marketing: les relations publiques, la publicité, la communication, l’étude de marché : tout ce dont les entreprises ont besoin pour apprendre à connaître et atteindre ce consommateur aliéné. En d’autres termes, la ‘conversation’ directe a disparu.

Pourtant, des conversations sur (et avec) les entreprises ont lieu chaque jour. Quand je raconte à un ami quel abominable service j’ai eu lorsque j’ai acheté mon nouveau GSM à la société A. Ou quand je regarde un spot télé avec ma femme où une société se présente comme ‘le spécialiste en matière de x’ et que nous nous échangeons un regard désabusé en disant ‘c’est cela, oui’. Ou encore, quand un consommateur envoie un courrier à Test-Achats pour dénoncer les pratiques commerciales scandaleuses du fournisseur d’énergie B.

La vérité, c’est que les conversations n’ont jamais disparu. Simplement, de très nombreuses sociétés se sont donné beaucoup de mal pour empêcher ces conversations à l’aide d’inventions marketing telles que le ‘positionnement’, des bombardements de publicité massive et tutti quanti.

Et c’est alors que l’Internet est soudain apparu. Un média sans règles, où chacun peut dire ce qu’il veut. Au début, notamment dans des groupes de discussion et sur des forums. Et depuis deux ou trois ans, sur des blogs. Les conversations deviennent publiques. Et elles se propagent comme une traînée de poudre. La formule ‘Word of mouth’ prend une dimension potentiellement mondiale. Le service abominable dont je viens de vous parler n’arrive pas aux oreilles d’une personne, mais de nombreux milliers, via le Web.

Une profusion de conversations, donc. Des conversations de consommateurs qui en ont assez de se faire abuser. De se faire rabâcher les oreilles par du ‘langage corporate’ vide de sens. D’être considérés et interpellés comme des consommateurs plutôt que comme des êtres de chair et de sang. Et d’être contactés par des ‘entreprises’ plutôt que par les personnes travaillant au sein de ces entreprises.

Les corporate blogs traitent de personnes, pas d’entreprises

C’est précisément l’objet du corporate blogging. Les blogs ne sont que des manières (une parmi de nombreuses autres) d’établir un dialogue direct entre des personnes (au lieu de consommateurs)…et d’autres personnes (au lieu d’entreprises). Les marchés sont des conversations.

Devez-vous également bloguer? Singulièrement, la réponse n’est pas nécessairement affirmative. Je l’ai déjà dit: les blogs ne sont qu’une manière de mener des conversations. Il importe davantage que vous soyez conscient de ces conversations. Et que vous compreniez que cette participation exclut une mentalité de tour d’ivoire que les gens ne supportent plus. Ce qui implique évidemment que vous deviez vous aussi oser vous lancer dans ces conversations et, en d’autres termes, ne rien avoir à cacher.

Les marchés sont des conversations. Et les conversations sont des dialogues d’égal à égal entre des partenaires sur un même pied qui osent se montrer tels qu’ils sont, en toute honnêteté et transparence. Les entreprises qui osent se lancer aujourd’hui dans ces conversations, notamment via des corporate blogs, ne sont guère nombreuses. Mais celles qui le font en récoltent les fruits.

Les blogs d’entreprise sont une manière de favoriser des dialogues interpersonnels. Et ces dialogues sont précieux. Les ‘entreprises’ et les ‘consommateurs’ sont en effet insaisissables (les sociétés louent les services de spécialistes en positionnement pour se forger une identité – souvent sans se soucier que celle-ci corresponde ou non à la perception de leurs clients – et, à l’inverse, elles font appel à des bureaux d’études pour se faire une idée de qui sont leurs clients). Les entreprises ne savent pas parler, les gens oui. Les consommateurs sont insaisissables, mais pas les personnes. Bienvenue dans la blogosphère.

05/06/2007

Garnier fait bloguer une blogueuse

La marque du groupe L’Oreal a lancé une nouvelle plate-forme e-CRM fin 2006. Pour animer son site, elle s’est associée à une blogueuse influente pour produire un podcast vidéo bimensuel.

Article paru dans le Journal du Net

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29/05/2007

Patrons blogueurs

Certains patrons se sont lancessentiellement és dans l’aventure du blog - en leur nom propre. Ils restent extrêmement rares et se recrutent dans les entreprises de petites ou moyennes taille de la nouvelle économie.

Michel de Guilhermier , patron et fondateur de Photoways pratique le blog depuis plus de deux ans. Il expose ses photos de vacances aussi bien que ses visions politiques et donne également des analyses sur l’évolution de son secteur d’activité. Consommateur de temps, l’entretien d’un blog s’avère être un moyen efficace de faire émarger sa marque et de générer des contact fructueux. «Ça me sert de carnets de notes» déclare Michel de Guilhermier à Libération et cela lui permet de tenir à jour sa «veille technologique». C'est une astreinte d’une à deux heures par jour, mais elle est devenue une constituante de son activité professionnelle.

Pascal Mercier, cofondateur d'Aelios Finance, spécialisé dans la levée de fonds des entreprises du Net, le revendique également. Ancien trader, il a ouvert son blog dès 2003 avant de créer son entreprise. Il a recruté ses premiers clients tout naturellement parmi ses lecteurs et c'est encore le cas aujourd'hui.

«Et si on arrive à devenir une référence dans tel ou tel domaine, c'est gagné » explique Jérôme Bazin créateur d'Ilyades.com. Il prétend, lui aussi, avoir capté un certain nombre de ses clients par le biais de ses relations noués sur le Net. «Ça remplace un budget de prospection. Quand il vient vers vous, le client vous connaît. Et réciproquement. Cela crée un autre climat de confiance».

Jérémie Berrebi a lancé son blog en même temps que sa société ­ Zlio.com, plate-forme d'affiliation de particulier à particulier : «Je voulais constituer un groupe de gens avec lesquels réfléchir afin d’en tirer des idées, des retours d'expérience. C'est du brainstorming hors les murs de l'entreprise". Tous le diront, à l'instar d'Hubert Michaux qui vient d'intégrer Netvibes : «Cela permet de pousser la réflexion plus loin. Vous lancez une problématique, quelle qu'elle soit. Il y aura toujours quelqu'un pour répondre.»

Michel Edouard Leclerc est le premier des grands patrons a s’être lancé dans l’aventure du blog. Sur «De quoi je me mel », il confie ses passions pour la musique, la bande dessinée et la Bretagne, ses visions sur les marchés de la grande distribution. Mais il y livre aussi des exercices de communication et de gestion de crise. En octobre 2005, des consommateurs de viande hachée, vendue chez Leclerc, ont été victimes d'une grave intoxication (18 personnes dont beaucoup de jeunes enfants). Michel Edouard Leclerc a détaillé sur son blog la chronologie de l'affaire qui a fait l'ouverture des journaux TV et toutes les mesures prises pour gérer la situation. A voir.