07/01/2009

Le marché publicitaire - chiffres à décembre 08 - TNS Media Intelligence

TNS media intelligence publie les indicateurs avancés de la santé du marché publicitaire pour le mois de décembre 2008.

Si le mois de décembre présente des évolutions contrastées en fonction des medias, il met également un terme à l’année 2008 et permet enfin de tirer des conclusions quant à la progression du marché publicitaire français sur cette année.

En décembre, la télévision présente la plus forte régression annuelle de ses recettes publicitaires avec -11.69%* en tarif équivalent brut et après redressement de l'ensemble des chaînes du service public ainsi que des écrans Cristal de TF1. Côté durée, la baisse est encore plus importante puisqu’elle est de -14.8% par rapport au même mois l’an dernier. Sur l’ensemble de l’année, la télévision voit ses Investissements accuser une baisse de -3.33% (chiffre redressé) et ses volumes diminuer de -7.6%.

Contrairement au mois dernier, les investissements publicitaires de la presse ne sont plus en repli (+3.4%) grâce à la bonne santé des quotidiens nationaux (+7.1%). La pagination globale en revanche continue de reculer (-2.7%) malgré le dynamisme de ces mêmes quotidiens nationaux (+10.5%).

Sur le cumul annuel, les recettes publicitaires de la presse se stabilisent à +2.4% alors que sa pagination accuse une baisse de -3.6% essentiellement due à l’évolution négative des magazines (-4.2%).

La radio enfin, connait un véritable redressement de ses recettes publicitaires (17.4%) ainsi qu’une forte hausse de ses volumes (8.2%). Si les stations généralistes boostent les Investissements (+23.4%), ce sont au contraire les stations musicales qui tirent la croissance des volumes (+13.1%). Sur l’ensemble de l’année, les recettes de la radio finissent en légère hausse (+1.9%) grâce aux stations généralistes alors que les volumes accusent une forte baisse (-3.7%).

*N.B. : Depuis le 1er janvier 2008, la lecture des données d'investissements publicitaires des chaînes de télévision nationale est rendue difficile par l'application des tarifs des régies, France Télévisions et TF1 Publicité ayant innové chacune à leur manière en proposant des tarifs nets. Si la fonction première de la veille publicitaire est de refléter les tarifs tels qu'ils sont publiés par les régies, TNS media intelligence a souhaité proposer au marché une estimation plus réaliste de l'évolution du média après redressement de l'ensemble des chaînes du service public ainsi que des écrans Cristal de TF1.


17/10/2008

Chiffres du marché publicitaires - fin septembre 2008 par TNS Media intelligence

Les tendances du marché publicitaire à fin septembre 2008

Accompagnant l’emploi nouveau du mot récession pour qualifier la situation économique, force est de constater des effets immédiats sur le marché publicitaire. La crise économique s’étant accentuée depuis la rentrée, le mois de septembre a marqué un net ralentissement des investissements publicitaires avec une croissance apparente de 2,8%. Néanmoins, après redressement en valeur brute estimée des chaînes nationales de télévision, la progression s’élève à +4,1% sur septembre et + 6,3% sur le cumul à date.

Parmi les secteurs qui se désengagent le plus, l’alimentation réduit ses investissements de 7,2% sur le mois et affiche ainsi un retrait de 2,2% depuis le début de l’année. Face à la crise bancaire, les établissements financiers continuent également de réduire leurs budgets, à -5,7% sur le mois et -3,3% sur le cumul à fin septembre.

En revanche, la distribution en pleine actualité commerciale, et l’automobile qui bénéficie des lancements programmés au Mondial de Paris, sont deux secteurs qui enregistrent de belles performances ce mois-ci, respectivement +16,8% et +11,8%.

Ainsi plus que jamais les évolutions en volume traduisent le mieux la situation réelle des media. Les chaînes nationales de télévision sont les plus impactées et enregistrent une baisse de la durée publicitaire de 7,3%. La presse affiche un ralentissement de son activité publicitaire ce mois-ci, notamment avec le repli des quotidiens nationaux qui perdent 5,3% de leur pagination et -2,9% de chiffre d’affaires brut. Malgré un net redressement de la croissance en valeur de la radio, les volumes publicitaires progressent moins vite (+1,4% en septembre). Pénalisées par le désengagement des établissements financiers, les stations généralistes en particulier perdent 9,7% de leur espace publicitaire.

Parallèlement, les chaînes de la TNT connaissent toujours de forts taux de croissance (+96,7% en valeur et +29,8% en volume). L’affichage réalise également un bon mois avec +7,7% d’investissements qui lui sont dédiés (vs +4,6% sur le cumul à date). Pour finir, le media internet progresse toujours, mais avec +11,7% nous constatons pour la première fois que son évolution mensuelle reste bien inférieure à la moyenne annuelle (+33%).

Des résultats globalement inquiétants en volume dans un contexte économique tendu qui impacte le marché publicitaire. Les premiers indicateurs d’octobre** confirment la récession de l’activité publicitaire. Tous les indicateurs sont dans le rouge :

- Presse : -7,8% d’investissements et -8,7% de pagination,

- Radio : -4,1% d’investissements et -10,2% de durée publicitaire,

- Télévision : -11,7% d’investissements et -5% de durée publicitaire.

*N.B. : Depuis le 1er janvier 2008, la lecture des données d'investissements publicitaires des chaînes de télévision nationale est rendue difficile par l'application des tarifs des régies, France Télévisions et TF1 Publicité ayant innové chacune à leur manière en proposant des tarifs nets. Si la fonction première de la veille publicitaire est de refléter les tarifs tels qu'ils sont publiés par les régies, TNS Media Intelligence a souhaité proposer au marché une estimation plus réaliste de l'évolution du média après redressement de l'ensemble des chaînes du service public ainsi que des écrans Cristal de TF1.



** Sur les 2 premières semaines d’octobre (du 29/09 au 12/10/2008 vs du 01/10 au 11/10/2007), sur la base des supports de presse pigés en alerte, des chaînes de télévision et des stations de radio nationales


18/07/2008

Chiffres 1er semestre 2008 - marché publicitaire français - par TNS Media Intelligence

Avec +7,1% d’investissements publicitaires, juin confirme le rebond observé les mois précédents pour au final présenter une croissance modeste sur le 1er semestre à +6,6%.

Au-delà de l’évolution globale du 1er semestre, force est de constater deux phénomènes distincts.

Le premier concerne l’existence de deux périodes au cours de ce semestre avec un 1er trimestre aux performances médiocres (affichant +3,9%) et un rebond au second trimestre à 9% qui bien qu’encourageant n’augure nullement des performances à venir. La hausse massive du coût de l’énergie pénalise le pouvoir d’achat et le moral des ménages, l’industrie agro alimentaire est pointée du doigt pour sa contribution au niveau d’inflation mais aussi pour son manque d’enthousiasme dans la lutte contre l’obésité infantile, le secteur bancaire français semble s’enfoncer dans les conséquences de la crise des sub-primes, l’automobile vit sous perfusion du succès du système de bonus….autant de phénomènes qui pèseront nécessairement sur la rentrée en souhaitant que certains éléments positifs (les JO en période habituellement creuse, le Mondial de l’Auto de Paris et son cortège de lancements ou une agressivité commerciale retrouvée des distributeurs par exemple) viennent apporter leurs touches d’embellie pour les derniers mois de l’année.

Le second phénomène apparaît à l’analyse des performances des media. Outre des effets de base positifs pour certains, le climat d’incertitude semble bénéficier aux médias les plus réactifs à savoir les quotidiens nationaux (+6,9% en valeur et +2,8% en volume) et les stations de radio généralistes (+8% en valeur malgré un recul de -3,7% en volume). Parmi les fortes croissances on citera également internet qui avec +38% contribue pour 65% à la hausse générale tous média et la TNT (+118%) qui continue son irrésistible ascension. Côté évolutions en demi-teinte la publicité extérieure évolue modestement (+3,2%) mais présente un retour des distributeurs et des performances assez homogènes sur plusieurs de ses secteurs captifs. Toujours parmi les évolutions modestes on peut encore citer celle des magazines avec +2,4% en valeur mais un net retrait des volumes -4,2%. Enfin, certains média souffrent particulièrement et tirent le marché vers le bas. Il s’agit des chaînes de télévision nationales (-2,9% en données valeur redressées mais surtout -7,4% en durée de publicité) mais également les stations de radio musicales toujours en recul tant en volume qu’en valeur.

L’analyse sectorielle montre des évolutions contrastées. Si les 10 principaux secteurs progressent sur le 1er semestre 2008, certains secteurs enregistrent des évolutions bien inférieures à la moyenne. Ainsi, les Etablissements Financiers et Assurances, toujours touchés par la crise des sub-primes, annoncent une faible progression de 1,2% sur le semestre. La grande consommation se désengage sur l’ensemble des media et affiche sur le cumul à date une activité publicitaire quasi stable. L’Automobile, bien qu’enregistrant l’une des plus belles performances sur le mois de juin (+20,8%), affiche une progression nettement moindre sur le semestre (+5,3%). Enfin, la Distribution, toujours premier secteur investisseur, enregistre de fort taux de croissance que ce soit sur le mois courant (+14,2%) ou au cumul à date (+8,7%). A noter que le fait marquant du semestre est le désengagement des distributeurs en télévision au bénéfice des media radio et publicité extérieure.

04/07/2008

Le marché publicitaire francais - chiffres TNS juin 2008

Juin confirme le léger rebond du second trimestre

En effet, le redressement de l’activité publicitaire sur les quotidiens nationaux (+14% d’investissements et +5,6% de pages en juin) permet à la presse de clore le premier semestre sur une tendance plutôt positive à +6% en valeurs et -1,8% en volumes (vs -3,8% à fin 2007). Les magazines présentent néanmoins des évolutions toujours contrastées avec +2,8% d’investissements sur janvier-juin mais -2,7% de pagination publicitaire.

La radio s’en sort mieux également qu’au premier trimestre mais reste pénalisée par les stations musicales qui cumulent encore -7,4% de durée publicitaire et -4,3% d’investissements à fin juin. Au semestre, le media maintient cependant le niveau de son chiffre d’affaires brut à l’équilibre.

Malgré un léger retrait sur juin à -0,8%, les principaux afficheurs enregistrent une hausse des investissements de 3,7% à mi-année.

Dans ce contexte, la télévision en revanche confirme une baisse de 7,4% de la durée publicitaire au premier semestre pour une perte de 2,5%* des revenus publicitaires.

Si le second trimestre se solde par de meilleures performances que le premier, il n’en reste pas moins qu’au cumul semestriel les évolutions du marché restent très décevantes.

02/07/2008

Le marché de la musique - les chiffres 2007

Le marché de la musique n'a pas fini sa mue ... Le rapport de l'observatoire de la musique nous donne un éclairage sur les chiffres et les tendances 2007.

Ci-dessous le sommaire :

SYNTHESE............................................................................................................................................ 3
ANALYSE GENERALE............................................................................................................................ 10
RAPPORT ............................................................................................................................................. 14
I. LE MARCHE DU CD AUDIO .................................................................................................................... 14
I.A. Les indicateurs du marché................................................................................................................................14
I.A.1. Tendances .............................................................................................................................................................................14
I.A.2. Segmentation des ventes par genres musicaux ...............................................................................................................17
I.A.3. Segmentation des ventes par distributeurs .......................................................................................................................18
I.A.4. Segmentation des ventes par canaux de distribution ......................................................................................................19
I.B. Les meilleures ventes par formats .................................................................................................................20
I.B.1. Analyse du top 100 CD albums volume .............................................................................................................................20
I.B.2. Analyse du top 100 CD singles volume ..............................................................................................................................23
I.B.3. Analyses croisées : relations entre le marché physique du disque, les diffusions radiophoniques et les
investissements publicitaires .........................................................................................................................................................25
I.C. Le CD classique .....................................................................................................................................................27
I.C.1. Tendances .............................................................................................................................................................................27
I.C.2. Segmentation des ventes par distributeurs .......................................................................................................................28
I.C.3. Segmentation des ventes par canaux de distribution ......................................................................................................28
I.C.4. Analyse du top 100 CD classique volume ..........................................................................................................................29
I.C.5. « L’affaire »des coffrets ......................................................................................................................................................32
I.D. Le CD jazz / blues................................................................................................................................................33
I.D.1. Tendances ............................................................................................................................................................................33
I.D.2. Segmentation des ventes par distributeurs ......................................................................................................................34
I.D.3. Segmentation des ventes par canaux de distribution......................................................................................................34
I.D.4. Analyse du top 100 CD jazz / blues volume .....................................................................................................................35
I.E. Le CD musiques du monde ...............................................................................................................................38
I.E.1. Tendances .............................................................................................................................................................................38
I.E.2. Segmentation des ventes par sous-genres........................................................................................................................39
I.E.3. Segmentation des ventes par distributeurs .......................................................................................................................39
I.E.4. Segmentation des ventes par canaux de distribution ......................................................................................................40
I.E.5. Analyse du top 100 CD musiques du monde volume.......................................................................................................41
I.F. Les productions issues des émissions de télé-réalité musicale ...........................................................44
I.F.1. Tendances .............................................................................................................................................................................44
I.F.2. Impact des diffuseurs et des émissions .............................................................................................................................45
I.F.3. Segmentation des ventes par distributeurs .......................................................................................................................46
I.F.4. Analyse des meilleures ventes volume de CD audio TV réalité ......................................................................................46
II. LE MARCHE DU DVD MUSICAL............................................................................................................. 48
II.A. Les indicateurs du marché..............................................................................................................................48
II.A.1. Tendances ...........................................................................................................................................................................48
II.A.2. Segmentation des ventes par genres musicaux..............................................................................................................49
II.A.3. Segmentation des ventes par canaux de distribution ....................................................................................................49
II.B. Analyse du top 100 DVD musical volume...................................................................................................50

A lire sur :
http://www.irma.asso.fr/IMG/pdf/MME_2007.pdf

30/06/2008

Youtube représente plus de 75% du traffic des vidéos en ligne aux USA

Soit une jolie progression de 26% versus mai 2007 ... devant Myspace qui le talonne de très loin à 9.01 % et avec une chute de 44% ... Bon - c'est ce qu'on apelle une victoire ... même si les revenus tardent encore.

Un article et des chiffres sur Read Write Web :
http://www.readwriteweb.com/archives/youtube_continues_to_destroy_all.php

20/06/2008

Les internautes et les marques : ouverts mais un peu méfiants ...

Seconde édition du « Baromètre de l’intrusion ETO » - Mesure du degré d’intrusion des marques
"Jusqu'ou les consommateurs sont-ils prêts à aller dans leurs relations avec les marques ?"

82, 1% des interrogés estiment que les marques manquent de transparence sur les données collectées les concernant.
67,9% des interrogés souhaitent pouvoir déterminer eux-mêmes la fréquence de réception des emails commerciaux
69,9% des interrogés ne souhaitent pas recevoir d’offres promotionnelles par SMS

Globalement, les consommateurs se sentent de plus en plus sollicités par les marques et sont de moins en moins d’accord pour fournir des informations, qu’il s’agisse de la mémorisation de leurs coordonnées, de leurs achats, ou du suivi de ce qu’ils font sur Internet, et ceci même s’ils perçoivent une offre en échange. Cela est principalement dû au manque de transparence sur les données collectées et surtout sur l’utilisation qui en est faite.
Les consommateurs sont satisfaits de la manière dont les enseignes communiquent avec eux, et particulièrement les personnes de PCS inférieure et les femmes. De plus, un véritable échange avec leurs marques préférées leur semble important (plus marqué chez les 18-35 ans).

Par ailleurs, face à une fidélité en baisse, la carte de fidélité est l’outil jugé le plus influent sur le comportement d’achat et reste aussi le plus utilisé. La réception d’offres commerciales par SMS est quant à elle jugée inefficace sur le comportement des consommateurs.

Bien qu’en recul par rapport à 2007, les consommateurs sont d’accord pour que les enseignes aient accès à des données générales sur leur vie personnelle (date de naissance, activité professionnelle, zone de résidence) ou sur leur comportement d’achat (fréquence des visites en magasin, fréquence d’achat de certains produits, les magasins fréquentés…).
Cependant, ils restent plus réservés sur des informations plus personnelles (des événements de leur vie, des données biométriques) ou les modes de collecte intrusifs (les produits qu’ils ont regardés en magasins, les sites Internet qu’ils visitent, les offres reçues par email…). Et davantage encore, lorsqu’il s’agit de données financières.
Par ailleurs, ils sont très peu présents sur les réseaux sociaux et l’exploitation commerciale des informations qu’ils y déposent dérange la moitié d’entre eux."

Les résultats complets sont disponibles sur demande.

Enguerran Cottarel
IDENIUM
01.56.21.19.93

06/06/2008

Les indicateurs TNS - publicité en média mai 2008

Sur cette dernière période, les différents media présentent des résultats contrastés. Seules la presse et la radio progressent en valeur, avec des volumes qui restent cependant orientés à la baisse.

En effet, la presse améliore ses recettes publicitaires de 4,7% en valeur sur le mois, et de 5,5% depuis janvier 2008. Tant les magazines que les quotidiens nationaux affichent des progressions en volume en mai.

En radio, le montant investi sur les stations généralistes (+7.2%) booste le résultat sur le mois (+3,3%). Mais les mauvais résultats du début d’année, pénalisent toujours le media. Les données diminuent en valeurs (-1%) et plus largement en volume (-6.7%) sur le cumul à date.

En télévision, TNS évalue la baisse des montants investis sur le mois de mai 2008 à -5%* en tarif équivalent brut et après redressement de l'ensemble des chaînes du service public ainsi que des écrans Cristal de TF1. Le media affiche aussi un recul sévère de la durée publicitaire de -8,5% sur la période. Le cumul des résultats redressés depuis janvier accuse une perte de -2,4%* en valeur et de -6,6% en volume.

Sur la base des principaux afficheurs (Avenir/JC Decaux, CBS Outdoor, Clear Channel et Métrobus), la publicité extérieure affiche des résultats en baisse de -1.2% en mai mais continue de progresser sur le cumul à date (+2,6%).

18/04/2008

Les chiffres de l'OJD en ligne

84 titres de presse - pqn, pqr essentiellement - leurs diffusions 2007 avec un historique à 5 ans et les performances en visites mensuelles, pages vues mensuelles de leurs sites internet ... Une interface simple et efficace ... On voudrait plus de possibilités de tris et de statistiques ... mais c'est déjà bien ...

A consulter sur :
http://www.ojd.com/engine/adhchif/chif_index.php

17/04/2008

Mars 2008 - mauvais mois pour la pub selon les chiffres TNS Media Intelligence

Le marché publicitaire en difficulté

Avec des recettes qui atteignent 2,1 milliards d’euros sur le mois, le marché publicitaire enregistre un net repli de -3,9% par rapport à la même période l’an passé. L’ensemble des media est à la peine. Même internet observe une hausse plus faible qu’à son habitude (+20,8% sur mars contre +30,3% sur le cumul annuel 2008). D’un point de vue sectoriel, on note un désengagement de l’automobile (en radio, TV et publicité extérieure) ainsi que des établissements financiers (en presse et radio). Le premier trimestre 2008 termine donc avec une évolution de +1,8%, soit 5,5 milliards d’euros investis depuis le début année.

Tandis que les chaînes TNT multiplient par 2,2 leurs revenus publicitaires sur le cumul annuel 2008, sur la même période les chaînes thématiques perdent 9% des investissements publicitaires qui leur étaient attribués. En télévision nationale, TNS évalue la baisse des investissements publicitaires de mars à -5,9%* en tarif équivalent brut et après redressement de l'ensemble des chaînes du service public ainsi que des écrans Cristal de TF1. Parallèlement, la durée publicitaire marque un recul de 8,5% sur la même période. Sur le cumul du premier trimestre, le media affiche donc un repli de -1,3% en valeur et de -5,4% en volume.

Partant de cette évolution extrapolée de la télévision nationale, on estime la baisse du marché plurimedia à -2,8% sur le mois de mars, soit une progression de +3% sur le cumul annuel 2008.

La radio perd 9,9% de son chiffre d’affaires par rapport à mars 2007, tirée vers le bas tant par les stations musicales (-13,7%) que par les stations généralistes (-5,3%), tendance que l’on retrouve en volume. Ce manque à gagner de près de 32 millions d’euros ce mois-ci s’explique notamment par le désengagement de la distribution (-13,7%). Ainsi, sur le cumul annuel, la radio est en repli de -5,8%.

La presse subit une baisse de -5,4% sur mars 2008, pénalisée à la fois par les magazines (-3,7%) et par les quotidiens nationaux (-9,5%). Les établissements financiers et le secteur de l’immobilier ont ainsi réduit leurs budgets publicitaires sur le média de -18,9% et de -31,1% sur le mois de mars 2008. Depuis le début de l’année, la presse se maintient à +1,1% mais perd 4,3% de sa pagination publicitaire.

Après deux premiers mois en difficile stabilité, les revenus de la publicité extérieure sont en chute de -7,1%, le secteur de l’automobile ayant réduit de 37% ses actions sur le media et le voyage/tourisme de 18,4%.

Le cinéma et les media tactiques affichent également des résultats mensuels négatifs.

21/03/2008

L'année Internet 2007 - résultat de l'étude par Médiamétrie

COMMUNIQUE DE PRESSE

L’ANNEE INTERNET 2007 : L’HOMME EN RESEAU
Avec plus de 30 millions d’internautes en 2007, l’internet multiplie ses fonctions dans la vie des Français. Il accentue fortement son rôle de lien social. Il développe de nouveaux réseaux. Il pénètre de plus en plus dans la vie quotidienne et entre toujours plus en résonance avec l’actualité.

INTERNET : UN REFLEXE QUOTIDIEN
Tout montre qu’aujourd’hui, Internet est devenu un réflexe quotidien pour les internautes en France, et intègre toutes les pratiques de la vie courante : faire ses courses, regarder la télévision ou écouter la radio, chercher un emploi...
Près de 8 internautes sur 10 (77,2%) se connectent tous les jours ou presque (contre 73,6% en 2006). Le temps qu’ils passent sur le net atteint presqu’une heure par jour (52 minutes).
La poussée du haut débit (ADSL et Câble) et la souplesse qu’il offre contribuent fortement à ces habitudes.
Plus de 9 foyers internautes sur 10 (93,4%) sont connectés en haut débit en France, soit 3 fois plus en trois ans.
Le développement de l’ADSL stimule celui des offres triple play qui combinent Internet, télévision, et téléphonie fixe : en France, près de 2,5 millions de foyers (28% des foyers Internet) s’y sont convertis.

Les nomades de la communication
La connexion via un téléphone mobile, encore à ses débuts, contribue également à inscrire
Internet dans le quotidien, quel que soit le lieu et l’instant : au quatrième trimestre 2007, 10,2 millions d’individus pratiquent l’internet mobile - les « mobinautes » - soit un utilisateur de téléphonie mobile sur quatre.

Faire ses achats sans se déplacer
Faire ses achats en ligne est une pratique de plus en plus développée : les acheteurs en ligne sont 87% de plus qu’il y a 3 ans. 19,8 millions d’internautes ont déjà acheté en ligne au 4ème trimestre 2007. Ils sont désormais près de quatre Français sur dix à avoir acheté sur Internet contre trois sur dix il y a seulement 1 an.
En parallèle, et ceci explique cela, 62,3% des internautes ont confiance dans l’achat en ligne - contre 47,5% il y a trois ans.

Broadcast yourself
Le net sert de plus en plus de médiateur pour faciliter l’accès à d’autres médias et à d’autres contenus.
Au cours du dernier trimestre 2007, près de 13 millions d’internautes ont consulté des contenus vidéo directement sur internet ; 9,3 millions ont déjà regardé une émission de TV et 9,2 millions ont déjà écouté la radio sur Internet.
L’engouement pour les sites de partage de vidéo ne se dément pas, une pratique qui est entrée dans les
moeurs : près de 10,9 millions d’internautes2 ont visité en décembre 2007 l’un des deux leaders de sites de partage vidéo, YouTube et Dailymotion.

RESTER CONNECTE AVEC SA COMMUNAUTE
L’Internet a toujours été un formidable vecteur de communication ou de mise en relation avec notamment, les outils webmail et la messagerie instantanée. 2007 marque un nouveau tournant avec le phénomène des réseaux sociaux qui permettent, au-delà de la simple fonction de communication, de :

- Retrouver un camarade de classe : en décembre 2007 plus de 5,2 millions de visiteurs uniques 2 se sont branchés sur le net pour cette plongée nostalgique ; et les réseaux qui leur en fournissent la possibilité ont vu leur audience plus que doubler en un an. Le leader, Copainsdavant, est passé de 2 à 4,4 millions de visiteurs uniques 2.

- Rester en contact avec ses relations professionnelles et s’en créer de nouvelles : le Networking connaît un succès flamboyant. Avec 582 000 visiteurs uniques 2 en moyenne par mois en 2007, le site Viadeo voit son audience moyenne mensuelle augmenter de plus de 120% par rapport à 2006.

- Interagir avec ses réseaux : Facebook, à l’origine site communautaire d’une université américaine, s’est implanté en France où il connaît un succès fabuleux : de 241 000 visiteurs uniques en juillet 2007 à près de 2 millions en décembre.

- Partager ses passions et ses opinions : nouveau record d’audience pour les blogs. En décembre 2007, plus d’un internaute sur deux (51,6%) a consulté un blog. Simultanément, le nombre de bloggeurs atteint 5 millions : + 24% en un an.

L’ACTUALITE SOUS PERFUSION
Internet sert de caisse de résonance aux grands évènements politiques et sportifs qui boostent ses audiences.

Les présidentielles ont enregistré un accroissement très fort de la fréquentation des sites médias. Huit millions d’internautes se sont intéressés aux élections en avril 2007. C’était 54% de plus qu’au mois précédent.

Autre évènement de l’année : la Coupe du Monde de Rugby 2007. L’étude CybereStat révèle que le record de performance des sites consacrés au sport a été enregistré pour le match France/Nouvelle Zélande. Dans l’ensemble, en moyenne, pendant un match de la France, les internautes français ont consommé 2,4 fois plus de pages vues 5 et visités 1,6 fois plus les sites de sports 5 qu’un jour moyen de juin à la même heure.

ET DEMAIN ?
Tout porte à croire que les Français accèdent à un nouvel univers de communication avec l’Internet, qui leur permet de se brancher en direct sur le monde, de développer leurs contacts, d’accéder à des contenus, et à une nouvelle forme de journalisme de l’instantané. Un monde numérisé.

A propos de Médiamétrie
Médiamétrie est l’entreprise de mesure d’audience et d’études des médias pour les acteurs du marché des médias et de la communication. Sa vocation est d’assurer la mesure d’audience et de performance des médias audiovisuels et numériques à un niveau de qualité permettant d’en faire la référence pour l’ensemble des acteurs du marché.
Créée en 1985, Médiamétrie développe ses activités en France et à l’international sur la Télévision, la Radio,
l’Internet, le Cinéma, le Téléphone Mobile et le Cross-Médias. En 2007, Médiamétrie devrait réaliser un chiffre d’affaires de plus de 47 M€ (e) avec un effectif de 350 personnes.


Contact presse : Laure Osmanian Molinero - Tel.: 01 47 58 97 55
losmanian@mediametrie.fr - www.mediametrie.fr

Le décalage des investissements publicitaires entre les tarifs bruts et le net net après remises ...

Un tabou rarement évoqué ... et que la loi sapin n'a pas vraiment résolue ...

Lu dans la NL de CB News du 21.03.08 ...

"Internet et la radio ont offert les plus fortes remises en 2007

Internet a été le média offrant les plus forts taux de remise l'an dernier, devançant tout juste la radio. C'est le constat qui s'impose en comparant les investissements bruts 2007 mesurés par TNS Media Intelligence aux dépenses nettes déclarées par les annonceurs dans le cadre de l'étude Irep-France Pub sur la même période.

Si l'écart global approche les 48% sur le marché plurimédia, il monte à 73% pour les espaces publicitaires sur la toile, TNS MI affichant 2,768 Md€ d'investissements bruts et France Pub 0,740 M€ de dépenses nettes. Le média radio, pour sa part, pratique des remises commerciales globales de l'ordre de 71%, avec environ 3,310 Md€ de recettes brutes pour 0,951 Md€ d'investissements nets des annonceurs.

Quant à la communication extérieure, les remises accordées à ses clients sont de 45% en moyenne.

En revanche, la télévision le cinéma et la presse se montrent un peu moins ouverts aux négociations que les supports concurrents, avec des taux évalués respectivement à 36, 37 et 39%. Rappelons qu'en 2007 la presse est restée le premier média, avec 7,254 Md€ d'investissements en brut pour 4,396 Md€ en net. Elle a devancé la télévision, dont les espaces publicitaires ont généré des dépenses de 6,742 Md€ en brut pour 4,306 Md€ en net. Quant au cinéma, il a de nouveau clôturé la marché, avec 0,218 Md€ d'investissements bruts pour 0,138 Md€ de recettes nettes."

20/03/2008

Le marché publicitaire - résultats TNS février 2008

Léger regain d’activité en février
En effet, le marché publicitaire est caractérisé par une hausse de 5,6% des investissements publicitaires bruts sur le mois de février 2008, soit une hausse de 3,7% sur le cumul des deux premiers mois de l’année. L’ensemble des media suit cette tendance à la hausse, à l’exception de la publicité extérieure. En effet, les recettes publicitaires du media sont en repli de -2,8% : quatre de ses cinq premiers secteurs se sont désengagés, par exemple le secteur du voyage/tourisme qui a réduit ses actions de -14,8% en février 2008.

La radio retrouve une tendance positive avec une hausse de +4,8% de son chiffre d’affaires sur le mois, mais sans pour autant redresser l’évolution du cumul annuel à -2,8%, un constat que l’on retrouve en volume. Le media est toujours dynamisé par les stations généralistes en augmentation de +12,3%, catégorie de radio où on peut noter un soutien important en provenance de la banque assurance qui a accru de +41,6% ses investissements publicitaires en février 2008. Les stations musicales quant à elles observent toujours une perte de leurs revenus (-1,2% en février) mais c’est une diminution moins importante qu’en janvier (-16,5%).

Avec des hausses mensuelles respectives de +3,8% et + 5,9%, les magazines et les quotidiens nationaux tirent la presse** vers le haut ce mois-ci. Le media affiche ainsi une évolution de +3,3% sur février 2008, tendance quasi identique depuis le début d’année. On soulignera que sur les dix premiers secteurs sources de revenus de la presse, neuf ont augmenté leurs budgets publicitaires sur le media. En revanche, en termes de pagination, seuls les quotidiens nationaux évoluent à la hausse depuis le début d’année.

En télévision nationale, TNS évalue l’évolution du mois de février à +5,8%* en tarif équivalent brut et après redressement de l'ensemble des chaînes du service public ainsi que des écrans Cristal de TF1, soit une croissance de 1,7% au cumul annuel. En revanche, malgré une hausse enregistrée ce mois-ci (+1,9%), la durée publicitaire reste en repli de 3,5% à fin février.

Partant de cette évolution estimée de la télévision nationale, il devient alors possible d'en extrapoler une estimation de la progression du marché plurimédia qui monte alors à +6,7% sur le mois de février et à +5,1% sur le cumul annuel 2008.

Enfin, le cinéma et internet continuent leur croissance malgré un ralentissement ce mois-ci, avec des hausses respectives de +7,9% et +22,7%. Notons qu’internet a contribué pour les deux tiers à la croissance du marché sur le cumul à fin février 2008.

Le marché 2007 de la publicité - l'IREP annonce les résultats de son étude annuelle

"En 2007, les dépenses de communication des annonceurs enregistrent une très faible progression de +0,6% contre 2,1% en 2006.

Ce changement de cap est notamment dû aux difficultés rencontrées par certains :

- la presse quotidienne nationale dont la publicité commerciale diminue de 10,1%,
- la radio qui chute de 5%,
- la presse magazine qui diminue de 3,2%,
- le marketing direct qui enregistre une baisse de 2,4% en 2007 et ceci pour la deuxième
année consécutive.

Certains moyens résistent :

C’est le cas de la télévision avec une progression de 2,3%, de la presse gratuite d’annonces avec une évolution de 1,4%, de la publicité extérieure à +1 %, de la promotion à +2,1% et des foires et salons à +2,7%.

Dans ce contexte de marché difficile, il convient de souligner :
- l’excellent résultat du cinéma avec une progression de 9%,
- la forte progression de la presse gratuite d’information à +10,6%,
- l'évolution importante de la PLV à +13,7%,
- la bonne tenue des annuaires à +4.9%, des relations publiques à +3,4%.

Enfin, Internet confirme sa très bonne santé avec une évolution du display de 32% et une évolution des liens sponsorisés de 43,3% et permet finalement au marché de rester positif en 2007 pour un montant total de 32,7 milliards €."

Source IREP – France Pub 2007

Pour le rappel de la méthodologie et les contacts - lire ci-dessous.

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Les français et la lecture - étude par TNS

"Le 12 mars 2008 - Alors que la 28ème édition du Salon du Livre se tiendra du 14 au 19 mars, notre étude réalisée pour le groupe Casino et L’Hémicycle, fait le point sur le rapport des Français à la lecture. Principaux enseignements : la proportion de Français lecteurs a peu évolué en vingt ans : ils étaient 66% en 1981 et sont 69% en 2008. En revanche, le nombre de livres lus est en baisse : si 42% des Français lisaient plus de cinq livres en 1983, ils ne sont plus que 34% aujourd’hui. Sans surprise, la classe sociale et le niveau d’instruction sont des facteurs toujours très discriminants.

Un nombre de lecteurs stable depuis 1981 …

A première vue, les Français ne se sont pas détournés de la lecture. Depuis notre première étude sur le sujet en 1981, la proportion de ceux qui déclarent avoir lu au moins un livre au cours des douze derniers mois est restée relativement stable (69% en 2008 contre 66% en 1981, avec un pic à 72% en 1995).

… mais le nombre de livres lus est en baisse

Si la France compte autant de lecteurs que par le passé, ceux-ci lisent en revanche moins de livres.
Ainsi, les « petits lecteurs » (ceux qui ont lu entre un et cinq livres au cours des douze derniers mois) sont de plus en plus nombreux : ils sont passés de 24% de la population en 1981 à 35% aujourd’hui. Parallèlement, la proportion de Français « grands lecteurs » (ceux qui déclarent avoir lu plus de vingt livres) diminue régulièrement depuis notre première étude : ils étaient 14% en 1981 et ne sont plus que 9% aujourd’hui. Le nombre de « lecteurs moyens » (qui ont lu entre six et vingt livres au cours des douze derniers mois) est également en baisse : ils étaient 28% en 1981 contre 25% en 2008.

Profil du non lecteur, profil du grand lecteur : de l’influence de la catégorie socioprofessionnelle, du niveau de diplôme et du sexe

L’appétence pour la lecture est largement structurée par des facteurs tels que la catégorie socioprofessionnelle, le niveau d’instruction et le sexe.
Ainsi, les non lecteurs sont plus souvent des Français qui appartiennent aux classes sociales modestes (48% des ouvriers sont des non lecteurs, contre 31% en moyenne), qui n’ont aucun diplôme (54% de non lecteurs) ou un diplôme inférieur au baccalauréat (38% de non lecteurs) ou encore qui vivent en zone rurale (44% des Français qui résident dans une zone rurale déclarent n’avoir lu aucun livre au cours des douze derniers mois).
On remarque également que les hommes lisent moins que les femmes (38% de non lecteurs contre 25% de non lectrices), mais non parce que celles-ci sont plus nombreuses à ne pas travailler. En effet, 33% des femmes au foyer sont des non lectrices.

Inversement les « grands lecteurs » (ceux qui déclarent avoir lu plus de vingt livres au cours de l’année passée) sont plus souvent des Français qui sont diplômés de l’enseignement supérieur (17%), qui appartiennent aux catégories sociales aisées (20%) ou qui sont cadres (17%). Ce sont aussi plus souvent des Français qui vivent dans de grandes agglomérations et en particulier dans l’agglomération parisienne (18% de « grands lecteurs » contre 9% en moyenne).

Par ailleurs, si les 50-64 ans lisent un peu plus que les autres (14 % d’entre eux sont de « grands lecteurs »), l’âge n’est pas un facteur discriminant. De même, le temps disponible n’est apparemment pas non plus corrélé à la fréquence de lecture : les retraités ne lisent pas plus que la moyenne des Français.

Les « grands internautes » sont aussi souvent de « grands lecteurs»

L’utilisation régulière d’Internet ne semble pas nuire à la lecture des Français. Au contraire, les internautes lisent davantage que les autres : 13 % des Français qui surfent sur le web tous les jours ou presque sont de « grands lecteurs » (contre 9 % en moyenne) alors que seulement 20 % d’entre eux sont non lecteurs (contre 31 % en moyenne). A l’inverse, parmi ceux qui n’utilisent pas l’outil Internet, 43 % sont non lecteurs.
Pour comprendre ces résultats, il faut bien sûr avoir à l’esprit que les utilisateurs réguliers d’Internet sont des Français qui appartiennent plus souvent aux catégories sociales aisées et diplômées, lesquels sont aussi les plus grands lecteurs."

Marie-Colombe Afota

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Fiche technique : Étude réalisée en face-à-face, pour le Groupe Casino et L'Hémicycle, les 6 et 7 mars 2008, auprès d'un échantillon national de 1000 personnes, représentatif de l'ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de ménage PCS) et stratification par région et catégorie d’agglomération.
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Plus d'informations :
Guillaume Petit / Marie-Colombe Afota
Département Stratégies d'opinion
Tél : 33 (0)1 40 92 46 90 / 45 03
Fax : 33 (0)1 40 92 46 60
Politique&Opinion@tns-sofres.com

10/03/2008

Les médias participatifs sont-ils une illusion ?

La majorité consulte ... la minorité produit ... Le modèle des nouveaux médias ressemblerait-il à s'y méprendre à celui des anciens ?

A article à lire sur Slate :
http://www.slate.com/id/2184487/

... "Social-media sites like Wikipedia and Digg are celebrated as shining examples of Web democracy, places built by millions of Web users who all act as writers, editors, and voters. In reality, a small number of people are running the show. According to researchers in Palo Alto, 1 percent of Wikipedia users are responsible for about half of the site's edits. The site also deploys bots—supervised by a special caste of devoted users—that help standardize format, prevent vandalism, and root out folks who flood the site with obscenities. This is not the wisdom of the crowd. This is the wisdom of the chaperones. ..."

Le top 20 des réseaux sociaux - les chiffres du mois de février 2008

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25/02/2008

Marché publicitaire janvier 2008 - les chiffres de TNS Media Intelligence

Coup de mou sur la pub. ...

"Sur la base des données et plaquettes tarifaires publiées, force est de constater que le marché publicitaire commence difficilement l'année avec des investissements qui atteignent 1,6 milliard d'euros, soit une timide hausse de 1,2% sur le mois de janvier 2008.

Le mois de janvier est ainsi pénalisé par les désengagements de plusieurs secteurs majeurs. Sur les cinq premiers, quatre ont revu à la baisse leurs actions publicitaires : -9,6% pour la distribution, à l'image de Leclerc qui réduit son budget d'un quart, -2,8% pour les annonceurs de l'automobile et des transports, tels que Peugeot, Ford ou Citroën, -4,3% pour la banque assurance et -12,1% pour les télécommunications.

Une lecture directe des résultats tendrait à montrer un net recul de la télévision nationale tant en valeur qu'en volume. Si le recul des volumes est avéré, s'expliquant à la fois par les difficultés du groupe
France Télévisions et par un effet de base évident, janvier 2007 ayant fortement bénéficié de l'ouverture des écrans à la distribution, en revanche le fort repli en valeur n'est dû qu'à la mise en place de nouvelles conditions tarifaires.

Une nouvelle estimation des évolutions :

Ainsi, depuis le 1er janvier 2008 la lecture des données d'investissements publicitaires des chaînes de télévision nationale est rendue difficile par l'application des tarifs des régies, France Télévisions et TF1 Publicité ayant innové chacune à leur manière en proposant des tarifs nets. Si la fonction première de la veille publicitaire est de refléter les tarifs tels qu'ils sont publiés par les régies, TNS Media Intelligence a souhaité proposer au marché une estimation plus réaliste de l'évolution du média. Concernant les chaînes nationales, TNS évalue donc l'évolution du mois de janvier à -1,8% en tarif équivalent brut et après redressement de l'ensemble des chaînes du service public ainsi que des écrans Cristal de TF1. Partant de cette évolution estimée, il devient alors possible d'en extrapoler une estimation de la progression du marché plurimédia qui monte alors à +2,9%. Dans ce contexte la part du média télévision dans le marché plurimédia s'établit alors à 34,5%.

Les chaînes thématiques, qui ne sont pas concernées par les nouvelles offres tarifaires, suivent une excellente tendance avec des recettes en hausse de 28%. Parmi elles les chaînes de la TNT croissent encore de +142% pour atteindre 43,1 millions d'euros.

A l'opposé, la radio est le média le plus en difficulté avec des revenus bruts en recul de 9,3%. Comme en 2007 ce sont les stations musicales qui tirent le media à la baisse, cette catégorie perdant 16,5% de ses revenus de janvier 2007. Les stations généralistes quant à elles, sont légèrement à la hausse (+3,2%). On constate une situation identique en volume, avec une perte de -11,3% de la durée de publicité sur janvier 2008 pour l'ensemble de la radio.

La publicité extérieure est elle aussi à la peine en ce début d'année avec un repli de 4,5% de son chiffre d'affaire brut.

La presse se démarque avec une hausse de ses revenus de 3,3%, soit des investissements qui atteignent 465 millions d'euros. Les magazines perdent 1,6% de leurs revenus mais surtout reculent de -8,6% en pagination, quand les quotidiens nationaux dynamisent le média en progressant de +15,4% en valeur et de +6,3% en pagination. En effet, pour la PQN l'Automobile, les Services et le Tourisme ont été particulièrement dynamiques.

Enfin nous terminerons ce tour d'horizon en soulignant le dynamisme toujours mesuré du média internet (+29,9% dont une accélération toujours très marquée pour les principaux secteurs de la grande consommation) mais également du cinéma (+26,7%)."

22/02/2008

Facebook - petite chute sur janvier

Le nombre de visiteurs uniques au Royaume-Uni a baissé de 5% entre décembre et janvier selon Nielsen Online ... Mais quand on s'offre une croissance de 712% sur l'année, qu'est ce que cela peut bien signifier ? L'amorce d'une stabilisation, le début de l'exode ou ... rien du tout.

Réactions et analyse dans l'article d'Ecrans de Libération.

A lire sur :
http://www.ecrans.fr/Facebook-debut-de-la-fin,3431.html

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21/02/2008

Le point sur l'utilisation de l'emarketing en entreprise - une étude de McKinsey Global Survey

Effectuée en juillet 2007 - 410 responsables marketing - plusieurs pays.

A consulter en ligne sur :
http://www.mckinseyquarterly.com/article_abstract.aspx?ar=2048&l2=16&l3=16&srid=110

20/02/2008

Internet et les femmes - une étude européenne TNS Sofres / aufeminin.com

"Internet, le partenaire conseil des femmes, un média original devenu indispensable dans leur vie

Quels sont les points communs entre les Européennes qui surfent régulièrement sur Internet (connexion au moins 3 jours par semaine)? Comment utilisent-elles cet outil ? Quels bénéfices en tirent-elles ? Quels jugements portent-elles sur celui-ci ?
Pour répondre à ces questions, et bien d’autres encore, auFeminin.com et TNS Sofres ont réalisé une enquête dont l’objectif est d’apporter un éclairage sur les pratiques, l’attachement et l’intérêt des femmes internautes Européennes pour Internet. L’étude a été menée simultanément dans 5 pays : France, Royaume-Uni, Allemagne, Espagne et Italie.

En voici les principaux enseignements.

Internet : un média qui joue dans la cour des grands

Les internautes européennes se connectent en moyenne 2h36* par jour, une durée qui ne cesse de croître d’un mois sur l’autre. Les Italiennes et les Espagnoles surfent plus que les autres, avec respectivement 3h20 et 2h51 de connexion quotidienne en moyenne.
* La TV est regardée en moyenne, en France, 3h39 par jour, par les 15 ans et plus – Source Mediamétrie.

94% des internautes européennes se connectent depuis leur domicile contre 29% depuis leur lieu de travail. Plus fort taux de connexion au bureau des Espagnoles et des Italiennes avec respectivement 45% et 38%.

Un fort pouvoir d’attraction
Internet recueille une note moyenne de satisfaction de 7,6/10, atteignant jusqu’à 8,1/10 pour les internautes régulières italiennes et 8,2/10 pour les Espagnoles.

Internet : un “partenaire expert conseil” dans l’air du temps

Internet (5,7/10) est mieux noté que les autres médias (TV : 4,8, Presse : 4,6, Radio : 4,4) dans la relation qu’il offre avec les marques et produits et se positionne en conseiller des femmes internautes.

C’est sans conteste le média n°1 sur l’ensemble des termes susceptibles de résumer l’aide à la connaissance des marques et des produits : « partenaire », « expert », « conseiller », « ami », « professeur ».

Internet a fait considérablement évoluer l’attitude des femmes internautes envers les marques. Ce média influence directement les internautes sur leur rapport aux produits et aux marques et agit sur plusieurs leviers : rationnel comme affectif, intuitif comme spécialiste. En effet, 87% des internautes européennes estiment – concernant les marques qu’elles apprécient – qu’Internet les a rendu plus intéressées (95% des Anglaises), 85% plus expertes (91% des Espagnoles), 82% plus sélectives (87% des Françaises), 80% plus autonomes (83% des Allemandes et 88% des Italiennes), et 79% plus attentives (87% des Italiennes).

Internet obtient une note globale de 7/10 dans l’apport de connaissances des produits et des marques.

5,6 sites en moyenne sont consultés pour acheter ou se renseigner sur des marques ou des produits (7,4 pour le Royaume-Uni ; 5,6 pour l’Allemagne ; 4,9 pour l’Italie ; 4,8 pour la France et 4,6 pour l’Espagne) en amont d’un achat.

Internet est le média, devant la presse magazine, la radio et la télévision, qui a la force de conviction la plus élevée en Europe par rapport aux marques, auprès des femmes internautes.

Internet est utile, original et source de plaisir

Une consommation très variée :
Les principaux usages pour plus de 60% des internautes européennes, sont : « trouver une information », « se divertir », « acheter des produits et des services, « enrichir ses connaissances », « obtenir des conseils pratiques » et « créer et entretenir un lien social ».

Tous médias confondus, Internet est le média en Europe, le plus adapté pour répondre à l’ensemble de ces usages, auprès des femmes internautes.

Trois principaux ressorts de l’attachement à Internet sont mis en exergue :

§ Internet est un média original qui permet d’ « aller plus loin »: 90% des internautes s’accordent avec la phrase : «Internet est différent des autres médias », et 97% avec l’affirmation suivante « me permet de découvrir de nouvelles choses ».
§ Internet est utile: 90% des internautes sont d’accord avec l’occurrence « me simplifie la vie » et 89% avec « me manquerait si je n’y avais plus accès ». Par ailleurs, 89% des internautes européennes utilisent Internet pour trouver une information.
Et de plus en plus ! Pour 59% des internautes européennes, Internet est devenu « plus utile » depuis un an pour « consulter des informations ».
§ Internet procure du plaisir: 79% des internautes sont d’accord avec « permet de me détendre » et 78% avec « est avant tout un plaisir ».

Pour les femmes européennes internautes, les trois termes qui qualifient le mieux leur relation à Internet sont : « Information » (cité par 74% des internautes), « Loisir » (46%) et « Intérêt » (44%). Certains termes ressortent particulièrement selon les pays :
§ En France et au Royaume-Uni : c’est la notion de « découverte » (45% dans ces deux pays)
§ En Allemagne : de « plaisir » (37%)
§ En Espagne et en Italie : de « travail » (pour 45% en Espagne et 35% en Italie)

Les Loisirs/Voyages et les Actualités sont les deux thématiques les plus recherchées (respectivement 72% et 70% des internautes consultent régulièrement ces thématiques sur Internet). Cependant, quelques spécificités existent selon les pays :
- 70% des Françaises - fidèles à leur tradition culinaire - recherchent régulièrement des informations sur la cuisine, la gastronomie, ainsi que sur la santé/ nutrition et diététique
- Les Britanniques sont davantage intéressées par « Les People - Le Show Business » : 35% pour 25% en moyenne dans les 5 pays.
- Les Italiennes ont un intérêt plus prononcé pour le High-tech (36% pour 30% en moyenne dans les 5 pays) et la psychologie (39% pour 26% en moyenne).

A chaque pays ses internautes

TNS Sofres a mis en évidence une typologie d’internautes qui ont différentes manières de s’approprier l’outil Internet et permettent de caractériser les approches au sein de chaque pays.

En France : Surreprésentation des « Sociales » (25%), des « Pragmatiques » (24%) et des « Utilitaristes » (23%). Pour les internautes françaises, Internet représente davantage un outil qu’une passion.
Au Royaume Uni : Les « Rêveuses » sont les plus nombreuses (23%). Les internautes anglaises étant particulièrement matures, Internet doit aller au-delà de ses fonctions de base.
En Allemagne : « Les Utilitaristes » dominent largement les autres groupes (34%). Internet constitue avant tout pour les Allemandes un outil fonctionnel dont la dimension de service est primordiale. Le groupe des « Rêveuses » ne représente que 9% et les « Extraverties » que 6% des internautes allemandes.
En Espagne : Les 2 groupes les plus représentés sont les « Sociales » et les « Utilitaristes » avec 34% d’internautes chacun. Attachées à la dimension de service d’Internet, les Espagnoles aiment s’exprimer et échanger sur le Web. En Italie : Les « Rêveuses » (30%) sont surreprésentées, suivies par les « Sociales » et les « Utilitaristes » (19% chacun). Les femmes internautes de ces 2 groupes ont en commun le fait d’être comblées par Internet. Cet outil a ainsi pris en Italie une place de première importance dans le développement personnel."


A propos de l’étude
Etude réalisée du 19 au 26 novembre 2007 auprès de 773 femmes de 16 ans et plus, utilisatrices régulières d’Internet (connexion à Internet depuis le domicile ou le travail au moins 3 à 6 jours par semaine). Equi répartition des interviews dans chacun des pays. La méthodologie respecte les quotas représentatifs de la population des femmes utilisatrices régulières d’Internet (âge et CSP de la personne interrogée). Recueil online via le système CAWI (Computer Assisted Web Interviewing). Utilisation du panel 6th Dimension de TNS Sofres.

A propos de auFeminin.com
Avec une audience globale de 22 millions de visiteurs uniques par mois, auFeminin.com exploite le premier portail féminin en Europe avec des positions de leader en France, en Italie, en Espagne, en Allemagne, en Suisse, en Belgique et une présence forte en Angleterre. La société développe également les portails thématiques Marmiton (premier site dédié à l’univers culinaire), Teemix (premier féminin dédié aux jeunes filles), Joyce (Luxe), Santé-AZ, Tiboo (grossesse-enfance), et Voyage-Bons-Plans.
Sa filiale SmartAdServer développe et commercialise un des principaux serveurs de publicité sur Internet pour les sites, les agences et les clients. auFeminin.com est cotée au compartiment B de l'Eurolist de la Bourse de Paris (code FEM).

A propos de TNS Sofres
Leader français et référence des études marketing et d’opinion, TNS Sofres est une société du groupe TNS, un des leaders mondiaux du marché et n°1 mondial des études ad hoc. Nous proposons une gamme de prestations d’études, ad hoc ou collectives, autour de 5 spécialités : compréhension des marchés et des consommateurs, innovation, gestion de la marque, communication et gestion de la relation client. L’ensemble de ces prestations est réalisé dans 11 secteurs composés d’experts dédiés à certains marchés ou clients. TNS est présent dans 70 pays dans le cadre d’un réseau intégré, et est à même de conduire des études dans plus de 100 pays. www.tns-sofres.com

Contacts presse TNS Sofres :

Agence Trimédia
Sophie Artonne, Julien Dreyfuss, David Bernardin
Standard: 01 55 30 80 80
TNS Sofres
Céline Rossignol 01 40 92 24 10 – celine.rossignol@tns-sofres.com
Anne Courtois 01 40 92 47 77 – anne.courtois@tns-sofres.com

Contact Presse auFeminin.com

Vecteur d'Image
Alexandra ANDRE
+ 33 1 47 62 81 00 / + 33 6 08 69 10 71
aandre@vecteurdimage.com

En annexe :

TNS Sofres a mis en évidence une typologie d’internautes européennes qui ont différentes manières de s’approprier l’outil Internet. 6 groupes se distinguent :

1. Les Utilitaristes (26%) : Elles considèrent Internet comme un service qui leur permet de s’informer. Internet est avant tout utilisé dans une optique fonctionnelle et non pour se divertir ou favoriser des échanges
2. Les Sociales (25%) : Elles utilisent Internet pour créer du lien social, partager des expériences et rester en contact. Elles se montrent davantage intéressées par les communautés virtuelles.
3. Les Rêveuses (17%) : Internet leur permet de s’évader et de se détendre. C’est avant tout un moyen de se faire plaisir et ne saurait constituer un outil de travail.
4. Les Sceptiques (12%) : Petites consommatrices d’Internet, elles ne considèrent pas Internet comme un outil essentiel. Elles ont une confiance limitée dans ce média (notamment par rapport aux conseils prodigués) et ne lui trouvent pas de spécificité particulière.
5. Les Pragmatiques (11%) : Elles apprécient Internet pour sa simplicité, sa convivialité et son instantanéité. Elles utilisent Internet pour se détendre mais ne sont pas de grandes consommatrices. Elles sont peu intéressées par le Web 2.0.
6. Les Extraverties (9%) : Elles recherchent avant tout l’épanouissement et la valorisation personnelle à travers Internet. Elles ont une grande confiance dans Internet et le trouvent particulièrement crédible.

Web 2.0 : nouvelle frontière pour la communication corporate - enquête par TNS Sofres

A télécharger sur :
http://www.tns-sofres.com/etudes/corporate/120208_web20.pdf
et surtout à lire ...

"Le 12 février 2008 - Le Web 2.0, une pratique encore balbutiante dont on surestimerait l’impact pour la gestion de l’image des entreprises ? Notre étude réalisée pour le Top Com Corporate Business 2008, auprès de plus d’un millier d’internautes, contredit cette idée reçue. Les choses bougent très vite …

La pratique du Web 2.0 se développe à grande allure dans la population française

Aujourd’hui, 93 % des internautes français fréquentent au moins un support du Web 2.0, soit 58% de la population française…. et on estime qu’ils sont plus de 80% des moins de 35 ans et des PCS+ à utiliser le Web 2.0. Environ ¾ des internautes utilisateurs du Web 2.0 ont fréquenté des forums au cours de l’année écoulée, 2/3 d’entre eux ont surfé sur des blogs, 40 % ont consulté des sites communautaires comme Facebook ou Copains d’avant, et 39 % ont chatté en ligne.

Une diffusion massive bouleverse la relation entre le public et les entreprises

Les internautes le disent eux-mêmes, qui conviennent à 70% qu’Internet « a profondément changé la manière dont ils s’informent sur les entreprises » et à 44% qu’ils « aiment utiliser Internet pour peser sur le comportement des entreprises». Une nouvelle façon de s’informer, le goût de peser : là se trouve le coeur de la nouvelle donne pour les entreprises.

Une nouvelle façon de s’informer

- On recherche des conseils sur Internet : 75% des utilisateurs du Web 2.0 ont déjà recherché sur Internet l’avis d’autres clients avant de choisir un produit, 11% (13% des salariés …) ont cherché l’avis de salariés d’une entreprise dans laquelle ils envisageaient de travailler, et 7% l’avis d’autres actionnaires avant d’investir dans des actions
- Le crédit de confiance des sites professionnels ou d’actualité en ligne est similaire à celui de la presse ou du journal télévisé.

Une nouvelle envie de peser sur le comportement des entreprises : exigences et intransigeances des utilisateurs du Web 2.0

- Plus d’un utilisateur du Web 2.0 sur deux a déjà donné leur avis sur internet, concernant des entreprises ou des marques dont il est client …
- Un cinquième y a dénoncé des entreprises ayant mal agi à leurs yeux.
- D’autres pratiques, plus ciblées, commencent à atteindre des niveaux significatifs : près d’un internaute salarié sur 10 a donné son avis sur sa propre entreprise, notamment pour en dépeindre l’ambiance et la politique RH ; 4 % des utilisateurs du Web 2.0 ont donné leur avis on line sur les entreprises dont ils sont actionnaires. Ce chiffre apparemment modeste, signifierait, rapporté à la population des actionnaires, qu’environ 1 actionnaire sur 6 s’est déjà ainsi livrésur le web.

Face à ce qui commence à s’apparenter à une déferlante, les internautes acceptent volontiers que les entreprises se saisissent elles aussi du Web 2.0 pour nouer ou favoriser le dialogue

Deux pratiques sont plébiscitées : que l’entreprise crée des blogs où ses salariés peuvent s’exprimer librement, ou intervienne sur des forums où elle est mise en cause pour défendre ses positions
L’idée qu’une entreprise repère des influencers sur la toile pour les inviter à des manifestations on line et se faire mieux connaître d’eux est assez bien acceptée également.
La latitude d’action des entreprises apparaît ainsi assez large, avec une limite toutefois : ne pas utiliser le Web 2.0 pour « manipuler » leurs salariés. Ainsi, on compte autant d’internautes à réprouver qu’à approuver le fait qu’une entreprise choisisse, parmi ses salariés, ceux qui sont des leaders informels sur les blogs internes ou sur Facebook pour en faire des relais de sa communication."

Fiche technique :
Enquête réalisée on line du 15 au 19 janvier 2008 auprès d'un échantillon de 1 010 internautes français de 15 ans et plus, représentatifs des utilisateurs* du Web 2.0.

Utilisateur du web 2.0 : internaute connaissant au moins de nom, visitant ou participant à au moins un support du Web 2.0*

Supports du Web 2.0 : blogs, chats, forums, sites de réseau communautaires - Facebook, Copains d’avant -, sites de partage de photos et vidéos en ligne, podcasts ou vidcast, univers virtuels -Second Life-, Wikis.

Plus d'informations :
Muriel Humbertjean / Anne-Claire Gourbier
Département Stratégies d'Opinion
Tél : 33 (0)1 40 92 44 29 / 45 99
Fax : 33 (0)1 40 92 44 59
muriel.humbertjean@tns-sofres.com
anne-claire.gourbier@tns-sofres.com

18/02/2008

Les diffusions de la presse quotidienne : le Figaro premier quotidien national

Quelques mouvements dans le classement des diffusions des quotidiens nationaux.
A noter que tous les titres progressent - sauf l'Equipe et l'Humanité.

Selon les derniers chiffres de l'OJD, la diffusion France payée du Figaro a atteint en moyenne 327 544 exemplaires, en hausse de 1,56 % sur un an. L'Equipe passe donc au second plan et suit avec une diffusion en net recul : 7,80 % à 323.184 exemplaires.

Ouest France reste le quotidien régional le plus vendu avec une diffusion de plus de 769.000 exemplaires (+1,06 %).

Le Monde reste en deuxième position chez les quotidiens généralistes, avec 316 851 exemplaires, soit une hausse de 1,47 % après une baisse de 2,63 % en 2006.
Aujourd'hui en France progresse fortement de 9,43 %, (187 471 exemplaires), après une hausse de 8,07 % en 2006.

Libération sort de la crise avec une diffusion en hausse de 3,69 % (132 402 exemplaires), après une chute de 7,08 % en 2006.

L'Humanité recule de 1,56 % à 50 901 exemplaires.
La Croix progresse de 1,17 % (96 661 ex.).

05/02/2008

Les chiffres TNS media intelligence - pige publicitaire janvier 2008

"Même si janvier n'est pas le mois le plus significatif, force est de constater que l'année 2008 commence bien difficilement pour les 3 médias du marché publicitaire.

La radio est la plus en difficulté avec des revenus en repli de -10,3%, dépassant tout juste les 200 millions d'euros contre 224 l'an dernier, tendance accentuée en volume (-14,9%). Les stations musicales commencent l'année 2008 sur la tendance 2007, c'est-à-dire en pénalisant lourdement ce média avec des investissements en baisse de -16,5%. Les stations généralistes progressent lentement en valeur (+2,9%) mais perdent beaucoup en durée (-9,6%).

La presse limite la casse avec des investissements en progression de +4,6%. Les chiffres du média sont dynamisés par les quotidiens nationaux mais le grand écart volume (à +3,5%) et valeur (à +13,2%) semble resurgir après une année d'accalmie. En revanche, les magazines perdent -6,1% de leur chiffre d'affaires brut sur le mois de janvier 2008 et la même proportion en pagination.

La nouvelle politique tarifaire de France Télévision empêche cette année toute comparaison valeur sur le média télévision. En revanche, en termes de volume, on peut constater que le média est en fort recul de -8,5% sur la durée de publicité."

31/01/2008

Etude à consulter en ligne sur la diffusion des technologies de l'information en France - Credoc 2007

La diffusion des technologies de l'information dans la société française

A télécharger en PDF sur :
http://www.art-telecom.fr/uploads/tx_gspublication/etude-credoc-2007.pdf

Sommaire :

CHAPITRE 1. EQUIPEMENT ET ACCES AUX NOUVELLES TECHNOLOGIES
1. Téléphonie fixe
a) Le taux de pénétration du téléphone fixe reste stable, à 83%
b) La concurrence entre les opérateurs de téléphonie fixe
c) Téléphoner par un boîtier multi-services
2. Téléphonie mobile
3. Ordinateur
a) Taux d'équipement en ordinateur à domicile
i) 66% de la population est équipée
ii) 17% possèdent plusieurs ordinateurs chez eux
iii) 32% des personnes équipées en ordinateurs possèdent au moins un micro-ordinateur portable
b) Accès sur le lieu de travail ou d'études
4. Internet
a) Taux d'équipement à domicile
i) Evolution du taux de pénétration d’Internet
ii) Plus de 80% des personnes disposant d’un ordinateur sont équipés d’une connexion à Internet
iii) De fortes inégalités d’équipement
v) Les connexions à haut débit
b) Accès au travail ou à l'école
c) Autres lieux de connexion
i) Cyber-cafés, bibliothèques, etc
ii) Les connexions Wi-Fi dans les lieux publics
5. Les différents canaux d’accès à la télévision
6. GPS
7. Rapprochement entre les différents équipements
8. Le fossé numérique se réduit
CHAPITRE 2. USAGES DES NOUVELLES TECHNOLOGIES
1. Téléphone mobile
a) Envoyer des SMS
b) La musique et la vidéo sur son mobile
c) Le téléchargement de sonneries ou de jeux
d) Consulter Internet et ses courriels sur son téléphone mobile
e) La télévision sur son téléphone mobile
- 6 -
2. Fréquence d'usage de l'ordinateur et d'Internet
a) Ordinateur
i) Fréquence d'utilisation de l'ordinateur à domicile
ii) Fréquence d'utilisation sur le lieu de travail ou d'études
iii) Fréquence d'utilisation, au domicile comme sur le lieu de travail ou d'études
b) Internet
i) Fréquence de connexion au domicile
ii) Fréquence de connexion au travail ou à l’école
iii) Fréquence d’utilisation d’Internet (tous modes de connexion confondus)
iv) Corrélation entre les différents modes de connexion
3. Quelques usages du micro-ordinateur et d'Internet
a) Communication
b) Divertissement
c) Travail et formation
d) Administration électronique
e) Commerce électronique
f) Autres usages
4. Les craintes et réticences suscitées par le développement d’Internet
a) Les logiciels de contrôle parental
b) Les traces laissées sur Internet
c) Les freins au développement d’Internet
ANNEXE 1 : LIBELLE DES QUESTIONS POSEES
ANNEXE 2 : TABLEAUX COMPLEMENTAIRES
1. Equipement en téléphonie 2. Equipement en ordinateur et accès à Internet
3. Les modes d’accès à la télévision
4. Les liens entre les différents équipements
5. Usages du téléphone mobile
6. Usages de l’ordinateur et d’Internet

25/01/2008

L'ecommerce en pleine croissance - les résultats 2007

La Fevad et le Secrétariat d'Etat chargé des Entreprises et du Commerce Extérieur publie une étude sur les résultats du ecommerce en 2007 ... Plus de sites, plus d'acheteurs, plus de transactions, panier moyen en hausse ... qui dit mieux ?

Lire la suite

24/01/2008

Baromètre de confiance dans les médias TNS Sofres et La Croix - janvier 2008

"Ce 21e sondage a été effectué par TNS Sofres pour "La Croix" les 16 et 17 janvier 2008 auprès d'un échantillon national de 1 000 personnes de 18 ans et plus. Avec un résultat de 72 %, l'intérêt prononcé des Français pour les nouvelles dispensées par les médias – tous genres confondus – accuse un petit recul par rapport à l'an dernier (3 points en moins). Il reste globalement stable depuis plusieurs années : entre 70 et 76 % des personnes se déclarant intéressées depuis environ quinze ans. Avec constance, les Français décernent à la radio la palme de la confiance : 57 % jugent qu'elle restitue une vision fidèle de l'actualité, toutes catégories sociales confondues. La presse écrite (49 %), la télévision (46 %) et Internet (31 %) arrivent ensuite, selon une hiérarchie qui reste stable, elle aussi. La presse recueille de meilleurs scores auprès des personnes de niveaux d'études et socioprofessionnel supérieurs, la télévision étant davantage estimée par les personnes moins diplômées ou moins aisées. On notera qu'Internet, dont on souligne pourtant régulièrement l'essor dans les foyers français, reste marginal : seulement un petit tiers des personnes interrogées y voit une source d'information fiable. Ils étaient cependant moins d'un quart (23 %) en janvier 2005."

A lire sur : http://www.la-croix.com/illustrations/Multimedia/Actu/2008/1/22/sondage.pdf

23/01/2008

Les chiffres TNS Media intelligence - décembre 2007

Le marché publicitaire - Décembre 2007

Finalement décembre confirme la modeste croissance des investissements publicitaires mesurée depuis plusieurs mois : après + 5,8% en décembre l'année 2007 se solde donc par une croissance de +6,2% pour 22,9 milliards d'euros investis. Si l'on peut considérer cette progression comme modeste, c'est parce que 3 points de croissance proviennent uniquement du média internet.

La plupart des grands médias connaissent ainsi une croissance molle, voire dans le cas de la radio un repli de -1,1%. Signe des temps, cette année bien plus que les précédentes, l'écart entre l'évolution en volume et en valeur tend à se resserrer.

Ainsi, l'évolution est quasi identique, et tout aussi modeste, pour la télévision (chaînes nationales) à +0,5% en valeur et +0,4% en volume. En 2007 l'univers des chaînes thématiques, et plus encore de la TNT, assure la croissance du média (+6,5% pour le total TV dont +119% pour la seule TNT).

En presse, la PQN limite les pertes, quant aux magazines le recul est important en volume (-2,7%) mais reste faiblement positif en valeur (+0,7%).

La publicité extérieure connaît aussi des temps difficiles (+2,6%) et plus particulièrement le grand format dont le repli du nombre de faces atteint -2,9%.

Seul le média cinéma affiche une croissance soutenue à +7,4%, plus rapide que le marché.

Les causes de ces évolutions sont multiples et non liées. En effet, si l'ouverture des écrans de la télévision à la distribution a dans un premier temps généré de la croissance (+14% en plurimédia au 1er semestre), en revanche le second et plus particulièrement les derniers mois de l'année se sont soldés par un certain pragmatisme (+5% de croissance au second semestre) et une nouvelle répartition des médias. Au final, la distribution a cru de +8,9% et la télévision s'est installée à 13% de PDM. Mais le principal facteur pénalisant du marché a été le recul des télécommunications (-6,7%) : les trois opérateurs de mobile, Orange, SFR et Bouygues Télécom, sont en forte croissance et dans le Top 10 annonceurs mais derrière les budgets ont chuté : pour France Télécom, pour de nombreux MVNO, pour les renseignements téléphoniques, les FAI....

On retiendra donc de l'année 2007, l'avènement des médias digitaux (internet, TNT en tête) et une conjonction d'évolutions sectorielles hétérogènes qui au final ont pénalisé la croissance. Cependant, et pour finir sur une note positive, la croissance du nombre d'annonceurs a été forte, +5%, pour atteindre 40 400 annonceurs actifs, ceci traduisant toujours un réel attachement à la publicité.

22/01/2008

Les nouvelles guerres de la télé ... à voir sur Complément d'Enquêtes

La révolution des médias ... avec la décision prise unilatéralement par Sarkozy de supprimer la publicité sur les chaines publiques, la révolution audio visuelle va prendre un nouveau virage. Mais lequel ?
Ce qui est certain c'est que le calcul simpliste qui consiste à penser que les millions du public iront gonfler les recettes du privé réservera des surprises. L'improvisation effrayante du chef de l'Etat ne permet pas d'avoir un débat d'experts sérieux ... puisque personne ne sait comment les choses vont se mettre en place ... Sauf les 320 salariés de France télévision publicité pour qui les calculs seront plus simples ... pour le coup ... le calcul des indemnités ... c'est bien rôdé ... Merci Monsieur le Président ...

A voir car souvent interessant et pas trop simpliste : "Complément d'enquêtes" du lundi 21 janvier.

Zoom sur médiamétrie et ses zones d'ombres, le low cost de la TV et le groupe de Next radio TV - hallucinant - et puis pour finir ... la grêve des scénaristes d'Hollywood ...

Sur : http://info.france2.fr/complement-denquete/emissions/37916581-fr.php

21/01/2008

Les blogs ... ralentissement de la croissance

A lire sur Neteco un article sur la fin du boom des blogs ... :
http://www.neteco.com/91574-blues-blogueur-mythe-realite.html?xtor=EPR-1

"La fin de l'âge d'or ?

Plus de 110 millions de blogs, sites web personnels ou collectifs proposant des contenus affichés chronologiquement, contenus susceptibles d'être commentés par les internautes, sont indexés par Technorati, moteur de recherche spécialisé.

Toutefois, en 2007, la blogosphère est passée « de l'exubérance à l'équilibre avec quelque 30 millions de blogueurs actifs et une communauté d'environ 30 millions de contributeurs actifs à travers le monde », selon Gartner, institut d'études de marché.

Technorati constate également ce ralentissement de croissance de la blogosphère mondiale. Alors que le moteur évaluait les créations de blogs à 160.000 par jour en 2006, ce chiffre serait retombé à environ 121.000 par jour au premier trimestre 2007, pour environ 65.000 billets mis en ligne par heure.

Lassitude des blogueurs ? Concurrence des réseaux sociaux ?"

L'étude Profiling d'Ipsos fait le tour de l'Internet mobile

L'Internet mobile entre - doucement - dans les usages ...

"Les internautes de plus en plus présents sur l’Internet Mobile et toujours consommateurs des médias off line – Résultats Profiling 2007 Vague 2

10 janvier 2008 - La dernière édition de l’étude Profiling dénombre en France 28,2 millions d’internautes, soit 56,8% de la population 15 ans et plus. En recherche d’une offre toujours plus vaste d’accès aux contenus, les internautes intensifient leur utilisation de l’internet mobile et demeurent sur-consommateurs des médias traditionnels sur les sujets qu’ils affectionnent.

La part des internautes se connectant à l’internet mobile est en progression

Au cours de la période d’enquête, réalisée du 21 septembre au 28 novembre 2007, 16% des internautes se sont connectés à l’internet mobile au cours des 30 derniers jours. En 2005, ils n’étaient que 13%.
Alors qu’entre ces deux périodes, le taux d’équipement des supports mobiles avec accès internet est resté stable, de 47% à 48%, la part de mobinautes a donc, elle, progressé de 23%. Les internautes sont de plus en plus nombreux à profiter de la multiplication des offres de services en ligne à partir de leur téléphone mobile ou leur blackberry.

Cette part plus importante de mobinautes s’est traduite par une évolution de leur profil. Cette population est toujours fortement marquée par sa jeunesse puisque 2/3 des mobinautes ont moins de 35 ans. Mais la proportion de ces « 15-34 ans » sur deux ans est en baisse. Le développement de nouveaux services autres que le téléchargement de logos et sonneries a séduit une proportion plus importante d’internautes de 35 ans et plus. Ainsi, la part des « 35-49 ans » représente désormais un quart des mobinautes, en hausse de 5 points par rapport à 2005, et celle des « 50 ans et plus » frôlent à présent la barre de 10% (+3pts).
Parmi les autres évolutions sociodémographiques, il faut noter la progression des internautes CSP+ (40% de la population mobinaute) et des internautes résidant en Province (77%), dont les parts ont augmenté de 3 points.

Quels services disponibles sur l’internet mobile les internautes utilisent-ils ?

Au cours des 12 derniers mois, 9,9% des internautes se sont rendus sur des sites proposant des services de chats-mails et sms et 9,2% sur des sites de téléchargement de logos/sonneries/images.
La navigation sur internet mobile ne se limite plus à ces deux services historiques. La part d’internautes utilisant des services pratiques, tels que la météo ou le trafic routier, est passé de 3,6% en 2005 à 9,2% en 2007. Les sites d’actualités sur mobile ont été fréquentés par 7,7% d’internautes contre seulement 3% il y a deux ans. Les sites de jeux complètent ce top 5 avec 7,2% d’internautes utilisateurs de ce service au cours des 12 derniers mois (vs 3,1% en 2005).

Lorsqu’un sujet les intéresse, les internautes mixent web et médias off line.

Loin de privilégier internet comme unique source d’information au détriment des médias traditionnels, les internautes utilisent l’ensemble des sources médias mises à leur disposition pour s’informer le mieux possible sur un thème donné.
Ce comportement est illustré à travers trois exemples : l’actualité, la culture et les jeux.

Ainsi, le fait d’être un visiteur de sites d’actualités, n’entraine pas une désaffection de la presse, de la radio ou de la télévision sur ce thème mais au contraire une surconsommation par rapport à la moyenne de la population internaute.
Les visiteurs de sites d’actualité (générale, économique, financière, informatique, internet) lisent plus la presse économique et management (indice 130), les quotidiens nationaux payants (ind. 122) et les hebdomadaires d’actualité (ind. 120). Ce sont de plus grands consommateurs d’information en continu à la radio (ind. 123) et à la télévision (ind. 119).

Les internautes qui fréquentent les sites dédiés au cinéma, à la musique et à l’art sont plus nombreux à lire la presse cinéma (ind. 158) et la presse culturelle (ind. 138), écoutent en plus grand nombre les radios musicales (ind. 109) et regardent les émissions musicales (ind. 120).

La presse consacrée aux jeux vidéo (ind. 255) et les jeux télévisés (ind. 139) sont également surconsommés par les internautes qui surfent sur les sites de jeux."

Plus d'informations : Bruno Lenain - Directeur Conseil - Pôle Internet / Télécoms - Ipsos Media
bruno.lenain@ipsos.com

Résultats de l'étude Comscore sur la consommation des sites de vidéos en novembre 07 et aux USA

Forte croissance - Google en tête ... des chiffres qui vont tous dans le même sens ...

A lire sur : http://www.comscore.com/press/release.asp?press=2002

17/01/2008

1% des utilisateurs des médias participatifs deviendraient producteurs de contenu

Article paru dans Agoravox - intéressant - mais qui ne donne pas vraiment ses sources.

"La loi du 1 % des médias participatifs
Dans tout média participatif, 1 % des utilisateurs créent les contenus, 10 % interagissent, 89 % ne font qu’observer et 100 % en bénéficient amplement.

Cette loi est déjà largement vérifiée chez Youtube et Dailymotion qui comptabilisent quotidiennement plus de 100 millions de téléchargements sortants (downloads) et environ 100 000 téléchargements entrants (uploads). Selon le Church of the Customer Blog, il en de même chez Wikipédia où la totalité des articles est rédigée par 1,8 % des utilisateurs, et chez Yahoo ! Groups où 10 % des inscrits commentent et/ou fournissent des informations complémentaires, les 89 % restants font le buzzimat du média participatif.
On retrouve les mêmes statistiques chez Flickr, Photobucket, OhMyNews, GarageBand, LastFM, Myspace Video et très probablement chez Rue89 et Agoravox... Pour peu que « Deus ex Agora » alias Carlo Revelli nous confirme cette prégnante réalité.
Parallèlement, seulement 11 % des téléchargeurs de In Rainbows, l’album vendu directement en ligne par le groupe rock Radiohead, l’ont effectivement acheté. Disponible depuis peu dans les bacs, cette oeuvre musicale caracole néanmoins en tête des charts nord-américains et européens. Cependant, malgré quelques similitudes avec les faits précédemment évoqués, ceci est une tout autre histoire que je laisse aux spécialistes du cybermarketing et de la musique en ligne.
Dans le Web 2.0, le ratio créateur/consommateur n’avoisine donc que 1 %.
Fort heureusement, il n’est pas nécessaire de convertir 100 % de l’audience en créateurs ou en participants actifs pour obtenir un média à haute valeur ajoutée sociale et/ou buzzimétrique dont bénéficieront des millions de cybernautes. En outre, la minorité des créateurs et des participants sont aussi des « consommauteurs » très fidèles. En notant les articles, les vidéos, les photos ou les chansons, les utilisateurs inscrits ou non incitent les créateurs à constamment peaufiner leurs oeuvres et poussent le média participatif à répondre plus ou moins à leurs attentes. Dès lors, en orientant et en sélectionnant la production, l’acte de consommation devient partiellement un acte de création.
Toutefois, il ne faut pas espérer décrocher la lune 2.0 en quelques clics. Certes, avec beaucoup de détermination, un « buzz marketing » bien mené et une petite dose de chance, on finit par y arriver. Le plus dur, au départ, consistant à attirer des créateurs/fournisseurs de contenus dans ces myriades de micro-niches : blogs, vlogs, podcasts, sites participatifs de musique/photo/vidéo/presse, etc.
L’ère de l’égocasting ne fait que commencer."

Isobar : enquête sur les réseaux sociaux - motivations, usages et bénéfices ressentis par les internautes

COMMUNIQUE DE PRESSE

Réseaux sociaux, la déferlante 2007

Isobar a mené au mois de novembre 2007 une grande enquête «Réseaux sociaux, la déferlante 2007», pour mesurer l’importance de ce véritable phénomène de société et appréhender leurs différents usages par les internautes.

1- Les Réseaux Sociaux et Internet : histoire d’une rencontre

L’évolution des réseaux sociaux est représentative de l’évolution de notre société. Aux « tribus » issues de la modernité vont se substituer les réseaux sociaux on-line de l’hyper modernité. Internet va être un véritable booster pour la constitution de ces réseaux et va cristalliser à lui seul leur émergence. Un réseau social on-line va se caractériser par un site internet de mise en relation sur lequel les membres se qualifient et renseignent une ou plusieurs facettes de leur personnalité dans le but d’entrer en contact avec des personnes ayant un profil similaire ou complémentaire.

La quasi-totalité des internautes interrogés (94%) connaissent au moins un réseau social, 62% d’entre eux en ont déjà consulté un. Plus de la moitié des internautes (53%) s’est déjà inscrit sur un réseau social et 40% y ont participé.
L’inscription à un réseau social n’est pas exclusivement le fait de la jeune génération. En effet, si près des deux tiers des 15-24 ans y est déjà inscrit, les 25-34 ans ne sont pas en reste puisque 60% d’entre eux sont également présents sur au moins un réseau et 44% des 35-49 ans.

2- De l’usage des réseaux sociaux

La connexion à son espace personnel fait désormais partie d’un usage presque quotidien de la part des internautes à l’image des connexions à sa messagerie. En effet, en moyenne, près de la moitié des inscrits (46%) à un réseau le consulte tous les jours ou presque.

Internet est devenu le lieu privilégié pour entrer en communication, échanger et partager avec son réseau, et ce d’autant plus pour les jeunes générations.
Les réseaux sociaux constituent à cet égard l’interface idéale pour remplir cette mission. La première motivation (85%) pour s’inscrire sur un réseau social est de pouvoir rester en contact avec son entourage. Deuxième attrait des réseaux sociaux, la possibilité de partager ses centres d’intérêts et ses passions (51%) constitue pour la moitié des inscrits une des motivations à s’inscrire.

Si les réseaux permettent de découvrir de nouveaux contenus, de nouveaux centres d’intérêt, ils offrent également la possibilité d’aller à la rencontre de nouvelles personnes. Cette caractéristique est donc la troisième motivation pour s’inscrire sur un réseau (48%).

Si pour 42% des inscrits, l’une des principales motivations à l’inscription est d’obtenir un maximum de contacts, la plupart des internautes (61%) totalisent moins de 10 contacts sur leur réseau.

44% des internautes inscrits ont déjà établi de nouveaux contacts. Ces nouvelles relations donnent lieu à des échanges «virtuels» peu réguliers. Toutefois, il y a un relais du virtuel au réel puisque 32% des individus ayant établi de nouveaux contacts les ont déjà rencontrés physiquement. Ces rencontres se sont pour l’essentiel (92%) déroulées pour des raisons personnelles et ont été relativement satisfaisantes (87%).

3- Et la publicité ?

Les réseaux sociaux offrent de nombreuses possibilités de présence pour une marque : de la simple bannière publicitaire à l’offre de services au sein des réseaux (fonds d’écran, widgets, …) en passant par la création d’espace dédié à l’instar des internautes qui créent leur page personnelle.

60% des internautes inscrits sur un réseau social ont été exposés à de la publicité dont 44% à de la publicité traditionnelle, 25% ont reçu du contenu de marque transmis par un ami, 21% ont visité un espace de marque sur un réseau social.
Jugée majoritairement intrusive (56%), la publicité est néanmoins appréciée par 34% des internautes pour son caractère informatif et par 18% pour son aspect divertissant.

Les internautes ayant déjà visité des espaces de marques (21%) ont le plus souvent (58%) consulté du contenu ou visionné des vidéos. 25% d’entre eux se sont inscrits en tant qu’ami ou nouveau contact de la marque et 20% ont déposé un commentaire.

Pour résumer les enseignements de cette étude, il apparaît que les réseaux sociaux sont un phénomène transgénérationnel, ancré durablement dans le quotidien des internautes et qui s’inscrivent dans chaque sphère de leur vie.
Sur ces sites, plus que sur tout autre, la communication des marques doit s’insérer avec respect dans les espaces personnels des internautes. C’est l’opportunité pour elle d’engager le dialogue avec les consommateurs et de créer de la valeur en leur proposant des services.

A propos de l’enquête « Réseaux Sociaux : La Déferlante 2007» :
Cette enquête en ligne conduite du 12 au 13 novembrei 2007 auprès de 600 internautes âgés de 15 à 49 ans sur le panel 1001opinions d’Aegis Media Expert.

A propos d’Isobar :
Isobar France est une agence de communication intégrée, réunissant plus de 300 spécialistes capables d’intégrer la mise en œuvre cohérente de tous les leviers du marketing on-line et opérationnel. Guillaume Multrier dirige Isobar en France.
Isobar est le premier réseau mondial d’e-marketing services et appartient au groupe Aegis Media. Il compte aujourd’hui plus de 2300 collaborateurs.
Lancé le 5 juillet 2004, Isobar assure l'intégration et la coordination de tous les leviers digitaux au sein d'Aegis, sur une base mondiale, régionale et nationale. Isobar fournit à ses clients une offre numérique full service à travers son réseau mondial de 63 bureaux sur 32 marchés.
Contact Presse : Yaël Chatelus-Kusch : 01 41 16 17 74 yael.chatelus-kusch@aemedia.com

Plus sur : http://www.isobar.fr/reseaux_sociaux_2007/2008/01/9---communiqu-d.html

Sommaire :
0 - Introduction
1 - Les Réseaux Sociaux et Internet : histoire d'un rencontre
2 - Un phénomène social largement répandu
3 - De l’usage des réseaux sociaux
4 - Du virtuel au réel
5 - Et la pub ?
6 - La messagerie instantanée : premier réseau social
7 - Méthodologie
8 - Remerciements & interviews vidéo
9 - Communiqué de Presse

15/01/2008

Les chiffres sur le boom des sites de partage vidéo

Les sites de partage vidéos font le joie des internautes - pour les plus jeunes surtout - et leur trafic a quasiment doublé en 2007.

Tous les chiffres dans l"étude fournie par Pew Internet & American Life Project - réalisée entre octobre et décembre 2007 aux USA.

A lire en PDF sur : http://www.pewinternet.org/pdfs/Pew_Videosharing_memo_Jan08.pdf

09/01/2008

Sondage Buzz Paradise - qui sont les blogueurs

Age : l’âge moyen est de 26 ans : 46,81% ont entre 25 et 35 ans, 42,33% ont entre 18 et 25 ans, 7,36% entre 35 et 50 ans, etc.
- Genre :55% de femmes, et donc 45% d’hommes.
Une enquête sur mesure qui donne quelques éléments sur les blogueurs français :

- Activité : 27% sont des étudiants, 25% des cadres, 20% des employés, 7% chef d’entreprise, etc.
- Depuis quand ? : 37% entre 1 et 2 ans, 27% depuis plus de 2 ans, 21% entre 6 mois et 1 an
- Temps passé : 45 % passent 1 à 2 heures par jour sur leur blog, 43% moins d’une heure, et 12% plus de deux heures.
- Flux : 55% sont abonnés au flux de 50 blogs ou plus
- Vision de la relation blogueur/publicité : 49 % pensent que « C’est bien si le blogueur reste libre de dire ce qu’il pense », 28% « C’est une bonne chose mais cela n’est lucratif que pour les gros blogueurs », 21,5% « C’est une bonne chose car un bloc bien tenu est chronophage et tout travail mérite salaire ».
- Pourquoi un blog ? 19,87% pour exprimer son point de vue, 18,94% pour partager des informations, 17,77% pour se divertir, 17,26 pour échanger des points de vue, 14,28% pour les rencontres que cela apporte, 11,89% pour se rendre visible.


20/12/2007

Le grand boom de la publicité extérieure

"Outdoor advertising has been around as long as advertising itself, but the old medium is showing new life.

In fact, as digital, video and wireless technologies redefine the sector over the next few years, out-of-home will rank second only to Internet advertising in ad spending growth.

eMarketer projects that US outdoor advertising revenues will rise from $6.8 billion in 2006 to $10.2 billion in 2011.

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"Outdoor advertising is bucking the trend," says Ben Macklin, eMarketer Senior Analyst and author of the new report, Outdoor Advertising: A New Look. "While other traditional advertising sectors are struggling to adapt to increasingly fragmented audiences and changing media consumption patterns, the out-of-home advertising sector is actually reaping the benefits of the evolving media landscape."

Unlike TV or radio, out-of-home advertising is immune to channel or Web surfing and digital and video technologies are making the medium more compelling and effective.

As an example of the opportunities that new technologies are opening up, out-of-home video advertising networks will comprise the largest component of what is described as the "alternative" out-of-home advertising sector.

"Out-of-home video, also known as narrowcasting, is video content and advertising distributed to captive audiences in such places as retail outlets, transit vehicles, office buildings, shopping malls, theatres, bars and restaurants, gas stations, hotels and gyms," says Mr. Macklin.

eMarketer forecasts that out-of-home video advertising spending in the US will total $2.25 billion in 2011, up from $1.26 billion in 2007.

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The falling costs of flat panel LCDs, combined with the emergence of IP and wireless Internet technology are driving the out-of-home video advertising market.

"Another significant driver of the out-of-home advertising sector is that US consumers are spending more time outside their homes, shopping, dining, walking, traveling and waiting," says Mr. Macklin.

According to Veronis Suhler Stevenson, US consumers spend twice as much time away from home than they did 30 years ago and the average daily commute has doubled to about an hour.

"New delivery and measurement tools are also giving advertisers the confidence to embrace the emerging new creative possibilities that out-of-home offers," says Mr. Macklin.

To see more about how this old medium is adapting to the new age, read the new eMarketer report, Outdoor Advertising: A New Look, today."

Lu sur NL emarketer - 20.12.07

19/12/2007

1 milliard de dollars de CA publicitaire pour les réseaux sociaux

Selon une étude de eMarketer, les réseaux sociaux ont généré un chiffre d'affaires publicitaire de 1,2 milliards d'euros en 2007.

70 % de parts de marché pour MySpace et Facebook et des prévisions 2008 à + 82 % soit 2,2 milliards de dollars, dont 1,6 millions aux Etats-Unis.

Et pour ceux qui aiment se projetter encore plus loin :
En 2011, plus de huit adolescents sur dix devraient utiliser ces sites communautaires à raison d'au moins une fois par mois et près d'un adulte sur deux.
Ca devraient faire exploser les dépenses publicitaires mondiales qui dépasseront les 4 milliards de dollars.

Ceux qui voient un lien entre cette note et celle d'en dessous, on l'esprit vraiment bien mal placé ...

Les résultats du marché publicitaire novembre 2007 par TNS Media Intelligence

Avec une timide progression de +3,7% ce mois-ci, la fin d’année 2007 s’annonce plutôt difficile. Les investissements publicitaires atteignent ainsi 20,6 milliards d’€ sur le cumul annuel, soit une hausse de +6,1%.

La croissance revient au media internet qui avec une activité en hausse de +35,6% sur novembre représente à lui seul 96% de la progression du marché. Les autres medias subissent eux un net désengagement tant en valeur qu’en volume.

De nombreux secteurs ont revu à la baisse leur budget publicitaire. Mais il faut noter que la distribution, pourtant 1er secteur investisseur, pénalise le marché avec un retrait de -5,9% de sa pression publicitaire en novembre. Ce désengagement se retrouve sur tous les medias, exception faite de la télévision. La distribution reste néanmoins en positif sur le cumul annuel (+8,8%). L’activité publicitaire des établissements financiers est également à la peine avec un recul de -4,6% sur le mois en cours, un retrait que l’on constate sur la presse, la radio et la télévision.

Au global, la télévision nationale est la plus impactée avec un recul de -3,3% de ses recettes publicitaires sur novembre 2007. Avec 515 millions d’€, le media observe le retrait de l’alimentation qui a réduit de plus de 15% de ses investissements sur le mois de novembre. On retrouve également un net manque à gagner via les établissements financiers (-18,8%) et l’entretien (-47,1%). Le media est ainsi en difficulté sur le cumul annuel, avec des revenus difficilement stables (-0,1%).

La radio perd ce mois-ci -2,3% de son chiffre d’affaire brut et ne peut donc pas empêcher la baisse sur le cumul à fin novembre 2007 (-0,7%). Ce sont les stations musicales qui tirent le media vers le bas, avec une évolution de -5,5%. Les stations généralistes quant à elles restent difficilement positives, avec un hausse de seulement +0,9% sur le mois. A noter, entre autres, le net désengagement des Télécommunications ce mois-ci (-14,3%).

La presse est pénalisée tant par les magazines que par les quotidiens nationaux qui suivent des évolutions respectives de -1,1% et de -8,6% en valeur.

La publicité extérieure suit la même tendance avec une perte de -1,4% de ses revenus publicitaires sur novembre 2007.

18/12/2007

Les nouvelles formes de consommation des images - TVIP, VOD, sites de partage, piraterie ...

Une étude quali. réalisée par le CNC - centre national de la cinématographie - avec l'institut QualiQuanti - novembre 2007 - et consultable en ligne. Très pertinent. A lire.

Le sommaire :

Montée en puissance de la technologie
I. Nouveaux moyens d’accès et multiplication des écrans
II. La mise en réseau des appareils
III. La montée en puissance du stockage numérique
IV. La prise de contrôle sur la vidéo
V. Un effet immédiat sur la publicité

Élargissement de l’offre
I. L’offre gratuite est abondante, accessible et de qualité
II. Une attitude plus sélective vis-à-vis de l’offre payante
III. Les atouts de l’offre payante à la carte

La VOD
I. Un service novateur au potentiel important
II. Un mode de visionnage très motivant
III. Pratiques de consommation actuelles de la VOD
IV. VOD via la télévision et VOD sur le Web
V. Attentes et tendances vis-à-vis de la VOD payante
VI. La télévision à la demande gratuite ou « catch-up TV "
Les sites de partage de vidéos
I. Motivations à l’usage des sites communautaires de vidéos
II. Usages et perception des leaders YouTube et Dailymotion
III. Le streaming illégal : la piraterie « douce "

La Piraterie
I. Durcissement et banalisation de la piraterie
II. Maturité et généralisation de la piraterie « classique "
III. Le streaming contre le téléchargement
IV. Le développement de la piraterie nomade
V. La pression de l’illégalité et les moyens de lutte

Plus sur :
http://www.cnc.fr/Site/Template/T1.aspx?SELECTID=2809&ID=1898&Type=0&Annee=0&t=1

A télécharcher sur : http://www.cnc.fr/CNC_GALLERY_CONTENT/DOCUMENTS/publications/etudes/qualivideo_271107.pdf

14/12/2007

Ifop et le JDD réalise une étude sur les internautes et les réseaux sociaux en ligne

Peu les connaissent - encore moins les utilisent - les jeunes et les hommes sont les plus perméables - quelques éléments sur la motivation - et des chiffres impressionants sur la levée de bouclier contre l'utilisation commerciale de leur profil ...

L'étude en ligne sur : http://media.sports.fr/sports/2007/50/2297.pdf

Top 10 des réseaux sociaux américains par Nielsen

Myspace 57.390.000 utilisateurs +7%
Facebook 21.975.000 utilisateurs +89%
Classmates on line 11.466.000 -6%
Windows live spaces 9.504.000 +8%
AOL Hometown 7.644.000 -22%
Linkedin 5.443.000 +245%
Club Penguin 4.698.000 +98%
Reunion.com 4.085.000 -14%
AOL Community 3.455.000 -43%
Flixster 3.357.000 +316%

Chiffres novembre 2007

05/12/2007

JE SUIS LA 47ème AU CLASSEMENT ...

Paul Lehmann m'a écrit. Paul est gentil de m'écrire ... sur mon adresse wanadoo, je ne reçois que des trucs sur du Viagra ou des trucs sur des Rolex.

Paul Lehmann est le responsable en charge des relations blogueurs de Wikio himself. Il me parle de son nouveau classement de blogs - et de sa rubrique "Marketing". Paul est gentil mais pas très attentif - j'en ai déjà parlé de son classement - y'a pas plus loin qu'il y a quelques posts.

Mais, en faite, Paul ne m'écrit pas pour ça. Il veut m'informer que je suis la 47ème du classement. Je ressens une fiertè immense, une émotion, les larmes me montent ... et puis, brutalement, c'est la déprime - 47ème, c'est trop, trop, trop nul ... Bon allez, un viagra et au lit ... bonne nuit Paul.

Wikio - Top des blogs - Marketing

01/12/2007

Wikio donne le Top 20 des blogs marketing

Une nouveauté dans le classement des blogs de Wikio - une rubrique dédiée au blog marketing.

Top 20 sur : community.slide.com/fb?previous_view=FB_FUNWALL_NOTIFICATION&app=funpix&ref=notins&view=0

30/11/2007

Combien gagnent les blogueurs américains ...

La question a fait couler beaucoup de posts même (et peut être surtout) si dans le fond elle n'intéresse que les blogueurs eux même. C'est Darren Browse, blogueurs outre altlantique, qui s'y est collé en mettant en place une étude portant sur 3054 blogueurs.

Si 28% de participants déclarent ne rien gagner du tout (aussi parce qu'ils n'ont rien tenté pour le faire) - 9% prétendent engranger plus de 15000$. Les sommes s'entendent sur le mois d'octobre 2007. Le gros des troupes - 51 % - naviguent entre 0 et 99 $. Mais on ne sait pas comment ils ont gagné leurs $ (posts rémunérés, pub., liens ...) et encore moins du coup avec quels partenaires.

Plus et des graphiques sur : http://www.problogger.net/archives/2007/11/30/how-much-money-do-bloggers-earn-blogging/