07/09/2007

Affichage - des panneaux interactifs pour voir la culotte de Elle MacPerson

Une affiche sur écran vidéo qui s'anime sur votre passage ... une curiosité testée par Elle MacPerson qui au rythme du passage des passants dévoile ses dessous en pleine rue de NYC.
La techno. est de Human Locator.



Plus d'infos sur Human Locator : http://www.freeset.ca/locator/

13:25 Publié dans 4. Media | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : media, publicité

21/08/2007

Les 12.25 ans poussent à réinventer la pub et ses supports

Dans les Echos :

"Difficile de trouver une génération plus à l'aise avec les technologies et plus blasée par la pub que les 12-25 ans. Les annonceurs vont devoir apprendre à les émouvoir.

Imaginons un scénario fictif, dessinant un avenir de la publicité que les créatifs new-yorkais de Madison Avenue soupçonnent à peine, mais que les amoureux de technologies et d'innovations annoncent pour demain matin. A la sortie du collège, Kelly tombe en arrêt devant le portrait de Travis. Derrière sa paroi vitrée, le nouveau modèle d'Abercrombie & Fitch au torse de dieu grec adresse à la jeune fille un sourire complice. Au bas de l'affiche en noir et blanc, une consigne unique :« Appelle-moi ! » Travis. Kelly s'empare de son mobile et compose le code. A l'autre bout de la ligne, la voix de Travis l'accueille, l'invite à laisser son numéro de téléphone et lui promet de la recontacter. Prise au jeu, elle lui laisse un long message. Dix minutes plus tard, son téléphone sonne. C'est Travis ! Il la remercie pour son appel, se déclare enchanté de leur amitié naissante et l'invite sur son profil en ligne personnel pour faire plus ample connaissance et rejoindre le réseau de ses « amis ». Le message est préenregistré mais peu importe, Kelly frémit d'aise et d'impatience. Par SMS, il lui a envoyé l'adresse du site et un identifiant unique qui lui donnera accès au site et à une promotion de 15 % sur son prochain achat chez Abercrombie.

Ce soir-là, avant même de se mettre à ses devoirs, Kelly va rendre visite à son don juan virtuel : Travis à Hawaii, Travis au barbecue du 4 Juillet, Travis à un match de baseball, Travis en séance photo... Le jeune homme est aussi irrésistible et généreux devant la caméra de ses copains que devant le photographe professionnel. Quant à ses entrées de blog, elles dénotent un humour aussi ravageur que son sourire. Sa garde-robe préférée ? Abercrombie bien sûr. Et il n'est pas le seul ! Ses « amis » sont invités à publier la photo de leur « moment Abercrombie » préféré... et à faire connaissance.

Pure science-fiction émanant du cerveau de quelque savant fou expert en marketing ? Pas exactement. « De plus en plus, tout est question de conversation, surtout chez les jeunes, indique Arthur Ceria, ancien directeur créatif de l'agence interactive OgilvyOne et fondateur de la nouvelle agence CreativeFeed. Peu importe la plate-forme technologique ou l'application, seuls compteront les outils capables de déclencher, de stimuler et d'entretenir les conversations d'une marque avec ses consommateurs, ainsi qu'entre les consommateurs autour de cette marque. »

Génération « X-Tasy »
De fait, plus que jamais, la « génération mutante des 12-25 ans » n'est jamais là où on l'attend et brille par son imprévisibilité. « Les gens qui croient en la fiabilité ultime de l'algorithme pour prédire le comportement du consommateur, aux dépends de la créativité et de la dimension émotionnelle, ne bâtiront rien sur le long terme, lâche Chris Matyszczyk, ancien directeur créatif exécutif du groupe Publicis à New York. Or, c'est le type d'approche des développeurs Web : ils croient en la machine parfaite et infaillible. Sauf à apporter la preuve du contraire, bâtir une marque tient encore à la capacité à raconter une histoire et à émouvoir le consommateur. » Encore s'agit-il de découvrir comment « émouvoir le consommateur », autrement dit comment établir un lien avec lui. D'autant que les 9-14 ans n'obéissent pas à la même logique que les 15-25 ans : « Ils jonglent davantage que leurs aînés entre différentes plates-formes et activités, indique Michael Tchong, fondateur de l'agence de stratégies marketing Ubercool. Et ils sont encore plus précoces et plus gourmands qu'eux en matière de technologies. La tendance n'a sans doute pas fini de s'amplifier, même s'il est difficile d'anticiper quel sera le comportement de cette tranche d'âge d'ici à cinq ans. » Certes. Mais à partir de là, quelle tactique mettre en place ? « La génération «X-Tasy» est à la recherche perpétuelle de sensations fortes. Si vous leur offrez l'occasion d'une expérience mémorable, ils se souviendront de vous », poursuit-il. Toutefois, au quotidien, la mise en place de stratégies radicalement révolutionnaires demeure souvent timorée. « Ces gamins ne voudront pas être «amis» avec une Miss Irresistible qui n'a rien, ou pas grand-chose, à leur offrir, s'exclame Ben Bajarin, analyste chez Creative Strategies, faisant implicitement référence au profil créé par P&G sur MySpace pour les lignes de produits dentaires Crest et Scope. Les annonceurs sont encore loin d'avoir épuisé tout le potentiel offert par les téléphones mobiles et les réseaux communautaires où ces adolescents passent leur vie. »

En matière d'expériences fortes, le divertissement surgit alors comme un candidat stratégique de premier plan. Pourtant, la vidéo, en dépit de son explosion sur le Web, n'a pas encore convaincu les annonceurs : les sites actuels sont beaucoup trop larges pour cibler correctement le marché. La multiplication anticipée de sites différenciés, avec des audiences mieux définies, laisse envisager des développements sur ce créneau... mais avec des résultats incertains. « Les êtres humains sont imprévisibles et tout particulièrement cette génération, qui enregistre sa vie et la diffuse en boucle sur Internet, observe Chris Matyszczyk. La distinction entre les différents types de contenu devient floue, ce qui constitue à la fois une opportunité pour les annonceurs et un véritable casse-tête. »

Les jeux, voie d'avenir
Dans ce contexte, les jeux apparaissent comme la voie d'avenir la plus prometteuse. Selon le cabinet d'étude Parks Associates, le marché publicitaire des jeux vidéo devrait croître de plus de 500 % d'ici aux cinq prochaines années, alors qu'il n'était que d'environ 300 millions de dollars en 2006. Une croissance que devrait soutenir la désaffection continue de la télévision et la montée en puissance des jeux en ligne, qui permettent aux annonceurs d'actualiser régulièrement leurs pubs selon un programme de distribution localisée. Google vient d'annoncer son intention d'entrer sur le marché avec le rachat d'Adscape Media pour 23 millions de dollars. Par ailleurs, quelques annonceurs commencent à vendre des jeux vidéo sous leur label. A Noël dernier, par exemple, Burger King a lancé trois jeux pour la console XBox au tout petit prix de 3,99 dollars, exclusivement disponibles dans les restaurants de la chaîne.

De plus en plus, un nouveau concept de marketing développé autour du service commence à émerger dans le discours. « Même les pubs télévisées cesseront d'être passives, grâce à la télévision interactive, indique Scott Randall, PDG de BrandGames, un éditeur de jeux vidéo pour la communication externe et interne de l'entreprise. D'ailleurs, tout sera interactif et présenté comme un service. » Nike, par exemple, pourra offrir une petite application afin que le consommateur enregistre au quotidien ses performances d'exercice physique. Tout comme on peut imaginer que la crème anti-acné de Neutrogena propose un service de protection anti-spams. Mais attention, « les services apportés devront être en rapport direct avec la marque, sous peine de saper le contrat de confiance établi avec le consommateur », souligne Ben Bajarin.

Prolifération de mondes virtuels
Au confluent du divertissement et du service, les mondes virtuels apparaissent alors comme l'horizon le plus convoité... mais aussi le plus mystérieux. A défaut d'être concluantes, les expérimentations d'une vingtaine d'annonceurs dans Second Life apportent alors quelques indices sur les stratégies à venir. « On peut rêver que Pontiac, par exemple, offre aux nouveaux arrivants son propre service d'orientation avec, en bonus, une conduite d'essai sur son circuit », déclare Philip Rosedale, PDG de Linden Lab, l'éditeur de Second Life basé à San Francisco. Plus que jamais, l'imagination est au pouvoir et, d'éternel cliché, l'expression est en voie de devenir une stratégie concrète... et payante."

Les Echos du 14.08.07 LAETITIA MAILHES

20/08/2007

Les journaux américains mettent en scène les nouveaux médias

A lire : "American Newspaper and the Internet : Threat or opportunity ?"

Sur : http://www.bivingsreport.com/wp-content/uploads/2007/08/newspaperstudy_22.pdf

Etude menée sur les 100 premiers quotidiens américains et qui nous donne un éclairage intéressant sur la mise en scène des nouveaux médias dans la presse américaine avec des notions d'évolution entre 2006 et 2007 : utilisation des blogs, de la vidéo on line, des podcast, des flux RSS ...

"The use of RSS increased in 2007 by 21 percent since 2006. Now 96 of the papers we researched are using this technology. Within this group, 93 papers offer partial text feeds, while three offer full text RSS feeds. No papers have begun embedding advertisements in their RSS feeds.

Ninety-two percent of America’s top 100 papers now offer video on their websites. This represents a significant jump from 2006, where just 61 percent offered video. In this group, there is a mixture of local, Associated Press, and original content available on newspaper websites. Thirty-nine papers offer original content, 26 use AP video streams, 13 offer video content from local news outlets, four papers use all three technologies, and 10 papers use a mixture of two different types of video.

The number and quality of reporter blogs also improved in 2007. Now, 95 percent of papers offer at least one reporter blog. Ninety-three percent (88 papers) of these blogs allow comments. In 2006, 80 percent of the papers offered blogs, with 83 percent (67 papers) allowing comments.

One-third of newspapers now allow comments on articles. This represents a 14% improvement on 2006 statistics, when only 19 percent of papers allowed comments on articles.

The number of papers requiring registration increased by six percent from last year’s results. Twenty-nine percent of the nation’s top 100 papers now require users to register before gaining full access to their website. Of this group, three papers required a paid subscription, while 26 papers required free registration."

20/07/2007

L'impact d'Internet sur l'économie de la presse, thèse de doctorat d'économie de Danielle Attias

Le sujet est excitant et je vais le dévorer ce WE.

Une mise en bouche :

"Cette recherche analyse l'impact d'Internet sur l'économie de la presse, à la fois en termes d'organisation industrielle et de modµele économique. A l'aide de la théorie des coûts de transaction, nous étudions le changement opéré grâce à la technologie sur la production et la distribution du bien presse". En identifant plusieurs modµeles d'édition et de distribution de contenus sur Internet, il est possible de comprendre les choix organisationnels des acteurs en fonction de leurs actifs clés : leur marque et leurs capacités dédiées à la production de contenus. Grâce à un test économétrique mené à partir d'une base de données d'audience de sites de presse, nous montrons que ces décisions des firmes sont liées aussi aux stratégies de valorisation de leur audience en ligne : vente de publicité en masse distribuée auprès d'une large audience ou vente de publicité ciblée auprés d'une audience de lecteurs qualifiés. Certains acteurs, notamment les éditeurs d'informations générales épousent, par mimétisme, le modèle économique et la stratégie de valorisation de l'audience des grands portails. Dans un modèle théorique, nous montrons l'impact de la course à l'audience pour ce type de firmes. Dans un contexte de concurrence entre médias en ligne, si ceux-ci ne valorisent que la taille de leur audience auprès des annonceurs, le média dont l'audience est la plus faible risque d'être exclu du marché publicitaire."

Et le plan :

Introduction
1 Internet à la source de changements majeurs dans l'industrie de la presse

1.1 Introduction
1.2 La mise à disposition de biens de presse gratuits
1.2.1 Définition et caractéristiques du bien presse
1.2.2 L'impact d'Internet sur la tarification du bien presse
1.2.3 Y a-t-il une cannibalisation de l'activité traditionnelle par Internet ?
1.3 La légitimité du journaliste remise en question
1.3.1 L'émergence du lecteur comme éditeur d'informations
1.3.2 L'émergence de rédactions multi-supports
1.4 Conclusion

2 L'organisation de la filière presse en mutation
2.1 Introduction
2.2 La numérisation de la production et la distribution industrielle de la presse
2.3 La théorie des coûts de transaction comme grille de lecture des changements organisationnels de la presse
2.4 Les attributs des transactions clés de la presse traditionnelle
2.4.1 Les spécificités de site constituent un attribut clé des transactions dans la presse traditionnelle
2.4.2 Les spécificités physiques ont fortement influencé les relations entre la presse traditionnelle et son principal partenaire, les NMPP
2.4.3 Les spécificités d'investissement sont constitutives des économies d'échelle qui caractérisent l'industrie
2.4.4 L'incertitude des transactions est essentiellement due aux conflits syndicaux
2.4.5 La fréquence des transactions est élevée du fait de la périodicité de l'activité
2.4.6 Une synthèse des déterminants des transactions de la presse traditionnelle
2.5 L'impact d'Internet sur la gouvernance des transactions
2.6 Les nouveaux déterminants de la transaction
2.6.1 La spécificité de site est radicalement transformée
2.6.2 Les spécificités physiques sont désormais liées aux outils de publication numérique
2.6.3 Les spécificités d'investissement visent à doper l'audience des sites
2.6.4 Les spécificités humaines reposent sur la formation des personnels
2.6.5 L'incertitude reposant sur la transaction change de nature
2.6.6 La contrainte temporelle se reporte sur les rédactions
2.6.7 Une synthèse des attributs de la transaction de la presse en ligne
2.7 Conclusion

3 L'émergence de nouveaux modèles de valorisation des contenus d'information
3.1 Introduction
3.2 Cadre théorique et composantes des choix des firmes
3.2.1 Théorie des coûts de transaction et littérature sur les hybrides
3.2.2 Composantes des choix des acteurs de la presse en ligne
3.2.3 Des propositions testables
3.2.4 Eléments de synthése
3.3 Eléments méthodologiques
3.3.1 Les données
3.3.2 Le choix des variables
3.4 Résultats économétriques
3.4.1 Les choix de gouvernance des sites de presse
3.4.2 Choix de gouvernance et comportements de marché
3.5 Typographie des acteurs de la presse en ligne
3.5.1 Les "Grands spécialistes"
3.5.2 Les "Généralistes de qualité"
3.5.3 Les "Agrégateurs"
3.5.4 Les "Editeurs de niche"
3.6 Conclusion

Consultable sur :
http://danielleattias.typepad.com/medias/files/These_Danielle_Attias.pdf

19/07/2007

Résultat du marché publicitaire juin 2007 - source TNS Media Intelligence

"Après deux mois faibles, les investissements publicitaires sont repartis à la hausse en juin 2007 avec une progression de +6.3% vs juin 2006, ce qui permet au marché d’atteindre sur le 1er semestre 11.1 milliards d’€ soit une croissance de +5.4% vs 2006. Cette évolution est néanmoins faible au regard des performances de l’année 2006 vs 2005.

Pour le 3ème mois consécutif, la presse subit un désengagement qui se situe à -1.3% en juin 2007 mais reste néanmoins positive au cumul annuel avec +2.1%. Ce sont toujours les quotidiens nationaux qui tirent le media à la baisse avec un recul mensuel de -12.1%. Sur le 1er semestre 2007, la presse est non seulement pénalisée par le repli des investissements des Télécommunications (-23.4%) ou de l’informatique (-26.6%), mais également par celui de la distribution qui a diminué de -9.3% sa pression publicitaire sur le semestre.

La télévision est particulièrement dynamique ce mois-ci avec une hausse de +11.5% de ses recettes publicitaires vs juin 2006 (c’est la plus forte progression mensuelle du media depuis le début d’année), et observe une croissance supérieure au marché sur le cumul à fin juin 2007 avec + 6.2%, soit 3,3 milliards investis depuis le début d’année. Le media bénéficie surtout de la forte présence de la grande consommation qui a investi 1,4 milliard d’euros depuis le début d’année soit une part de voix de 42%. La grande consommation a en effet accentué de + 18.5% ses investissements ce mois-ci vs juin 2006, et de +8.7% sur le cumul à fin juin. Plus globalement, la grande consommation tire le marché publicitaire plurimedia à la hausse avec une croissance de +13% vs juin 2006 pour atteindre 2.2 milliards d’€ sur le 1er semestre 2007, tendance encore plus marquée pour l’alimentation qui a accentué sa pression publicitaire de +21.9% ce mois-ci. Les chaines thématiques continuent d’être moteurs dans la dynamique du média télévision avec des investissements encore accentués en juin : +50.1% vs 2006, soit une croissance à fin juin de +46.2%.

La radio renoue avec une croissance positive ce mois-ci avec +2.6% vs juin 2006, mais reste légèrement à la baisse sur le cumul à fin juin 2007 (-0.8%) soit 1,6 milliard d’€. Les stations musicales sont les plus à la peine sur le cumul avec -3% malgré un mois de juin en hausse de +3.1%. Sur juin, la radio profite de la forte pression publicitaire du secteur de l’automobile avec +31.8% tandis qu’au cumul annuel, le media subit notamment le repli des investissements du secteur des Télécommunications qui avaient massivement communiqué l’année dernière suite à l’ouverture à la concurrence des renseignements téléphoniques.

La publicité extérieure, après trois mois dans le rouge, est stable sur juin (+0.7%), mais reste en négatif au semestre pour compter 1,2 milliards d’€ investis. L’affichage est principalement pénalisé ce semestre par le repli important des investissements de la distribution de -21.9%. Le secteur concède sa place de secteur n°1 à l’automobile qui a développé sa pression en affichage de +17.3% depuis janvier 2007.

De son côté, Internet tend à ralentir sa croissance qui reste cependant à +29.3% ce mois-ci vs 2006 et +40.1% sur le 1er semestre 2007, soit 1,2 milliard d’€."

17/07/2007

Pétition des Echos

7fecfebfac8154ada7bb8bc3abc51736.jpg

Les Echos font tourner une pétition ... :

"Au moment où le groupe Pearson annonce sa volonté de vendre "Les Echos", nous, lecteurs du premier quotidien économique français, tenons à manifester notre profond attachement à l'indépendance de ce titre et de son équipe rédactionnelle. Sa pérennité nous paraît indispensable pour garantir la qualité d'une information économique et financière crédible et rigoureuse dans un monde de plus en plus complexe."

Plus sur : http://www.lesechos.fr/info/comm/300182087.htm

12:16 Publié dans 5. Actualités | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : média

16/07/2007

YouMake.tv : RTL group lance sa plate-forme vidéo

A priori un classique metoo product : hébergement et partage de fichiers vidéo et audio, une mise en valeur de contenus exclusifs RTL ou de ses partenaires, des outils de personnalisation de ses espaces, du partage (micro blogging, listing d'amis, commentaires ...) ... Que des bonnes recettes et en plus une version mobile serait disponible dans un second temps - horizon septembre.

Le site est en Bêta privée et serait lancé en Belgique puis au Luxembourg avant d'être réellement décliné sur la France.

Un grand média traditionnel qui se lance dans cette aventure ... une chance ou un handicap ? Encore une affaire à suivre ...

Le site : http://www.youmake.tv/

20:58 Publié dans 4. Media | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : néomédia, média, vod

Le livre blanc des évolutions marketing 2007

"Les mutations médias d'aujourd'hui et de demain dans un monde marketing fait d'innovations et de génie*"
Par Olivier Bender

* pour ce qui est du "génie", je laisse Olivier Bender responsable de ses enthousiasmes superlatifs ;-)
On notera aussi que le document date plus surement de 2006. Mais, si les exemples datent, certains fondamentaux sont revisités avec pertinence.

Le sommaire :

1. PREAMBULE 6

2. INTRODUCTION : LES NOUVELLES TENDANCES 8

3. EVOLUTION DANS LES MEDIAS 10
3.1 Le cadre stratégique de l'évolution des médias 11
3.2 Les 5 points forts de la transformation des médias 17
3.3 Message promotionnel et perception publique 19
3.4 La fragmentation de l'offre 20

4. WEB 2.0, BLOGS, MARKETING ‘BOUCHE A OREILLE’,
CONTENU GENERE PAR LES UTILISATEURS 21
4.1 L’émergence du "social networking" 24
4.2 Les stars du Web 2.0 26
4.3 Gérer la prise de contrôle du consommateur 31
4.4 Le buzz 34
4.5 La force des blogs 41
4.6 Les wikis 43

5. EMARKETING 47
5.1 e-Mailing 47
5.2 La recherche ciblée 47
5.3 Le Behavioral targeting. 49
5.4 Le Contextual targeting 50
5.5 e-mail en Rich Media 51
5.6 Les blogs ou "Social Media" 52
5.7 Les fils RSS 52
5.8 Le téléphone mobile 53
5.9 La publicité dans les jeux vidéo 54
5.10 Avantages et inconvénients du eMarketing 55

6. LES INNOVATIONS MARKETING 57
6.1 Innovations et marques 58
6.2 Les fondamentaux de l'innovation en marketing 66
6.3 Les 5 étapes vers la créativité 69
6.4 Le groupe de travail 71
6.5 La stratégie des points de contact (TouchPoints) 72
6.6 Dix pistes pour contrôler son image et sa réputation grâce à Internet 81

7. QUEL GENIE POUR QUEL MARKETING ? 85
7.1 Les interactions fondamentales entre l'interne et l'externe 86
7.2 Les besoins 87
7.3 Information et marchés 88
7.4 Bâtir une relation amicale 89
7.5 Les évolutions des marchés 91
7.6 Les changements dans les marchés 91
7.7 Quelques marques de génie 93

8. CONCLUSION 97

9. SOURCES 101

Une saine lecture pour les retardataires et même les autres sur : http://benoli.typepad.com/Marketing-2007.pdf

08/07/2007

Etude Comscore - l'audience des sites d'info. portée par l'étranger

Côté presse, 18 des 20 sites étudiés font plus de 20% de leur audience à l’étranger. Les sites des cinq journaux français les plus importants attirent entre 35% et 40% de public international : lefigaro.fr (41%), lemonde.fr (40%), lexpansion.com (39%), lexpress.fr (37%) et liberation.fr (35%). Des chiffres en forte progression par rapport à avril 2006, surtout pour les journaux particulièrement politiques (+62% pour lefigaro.fr). Une hausse sans doute due à l’engouement de l’étranger pour les élections présidentielles. Les faibles scores de leparisien.fr (18%) et de humanite.presse.fr (17%) s’expliquent, selon comScore, par leur contenu majoritairement centré sur la France. Toutefois, ces chiffres restent à relativiser. Une étude similaire réalisée en Angleterre révélait ainsi une audience internationale de près de 70% pour les sites du Daily Mail et de The Independent.

Pour la télévision, TV5.org arrive en tête avec 54% d’audience étrangère, assez logique vu leur position de média francophone internationale et les services à destination des étrangers proposés sur leur site (apprentissage du français, etc.). Suivent les sites du groupe TF1 (51%), grâce surtout à la version internationale d’Eurosport, puis de France Télévisions (44%) et de M6 (26%).

Enfin, pour la radio, la grande majorité des sites des radios examinés ont, à l’exception de RMC, une audience étrangère de plus 20%. Le plus international est rfi.fr, le site de la bien nommée Radio France International, avec 66%, suivi des sites du groupe NRJ (45%), puis de celui de Radiofrance.fr (36%). Ce dernier, selon comsCore, a bénéficié de l’engouement de pays tels que la Suisse et de la Belgique pour l’élection présidentielle.

A noter que l'étude a été réalisé au mois d'avril - avec un biais sans doute important du à l'actualité politique particulièrement dense ...

00:35 Publié dans 4. Media | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : media, audience, chiffres

06/07/2007

Bozio on line ...

Luciano Bozio - une tête bien faite du monde des médias se met au blog ... à suivre ...

"Ceux qui me connaissent savent que je bourlingue dans les médias en France depuis 1981. J’ai passé 7 ans – formidables – chez IPSOS Médias, 8 ans – excitants – dans la filiale française du groupe italien RCS Media Group, 9 ans – passionnants – chez Carat Expert, et je suis depuis 2 ans au groupe Figaro, avec la responsabilité du marketing, des études et des stratégies.

Ce parcours – très chanceux, je n’ai pas de mal à le reconnaître - m’a chevillé au corps la passion pour l’économie des médias et le goût de leur critique. Pendant mes années Carat, j’ai assouvi en partie cette passion en réalisant le magazine Carat Médias Actualités, qui a cessé de paraître depuis mon départ, mais dont certains d’entre vous se souviennent sans doute.

Depuis, j’ai aussi appris à surfer sur internet. Qui s’est ajouté à mes passions. Et puisque les blogs sont devenus sur le web un espace de libre expression, permettant d’ouvrir la discussion sur notre métier entre professionnels et au-delà, je profite de l’occasion qui m’est offerte par la nouvelle version du site publiprint.fr pour reprendre un dialogue qu’avec mes confrères je n’ai en réalité jamais interrompu.

Ecrivez-moi vos impressions, vos coups de cœur, vos critiques. N’hésitez pas. On fait un métier privilégié, mais qui est utile à condition qu’on garde la capacité à nous remettre en cause à tout instant."

http://www.publiprint.fr/blog/

03/07/2007

La presse à l'heure du Web 2.0

La présentation du travail universitaire de Nicolas Kayser-Bril :

"Les journaux doivent faire face à une concurrence accrue, du fait de la multiplication des sources d’actualité, mais également à une fragmentation des audiences. Les internautes vont en effet spontanément sur le site le plus pertinent par rapport à l’info qu’ils recherchent et ils peuvent essayer plusieurs marques puisque les coûts de permutation sur le web sont nuls. La combinaison de ces deux phénomènes devrait donner un avantage massif au leader sur chaque segment de l’info, si bien qu’à moins de posséder une marque suffisamment différenciée et fédératrice, les audiences ne donneront de la valeur qu’à une partie des contenus diffusés sur un site. Qui consulte en effet les pages sports de La-Croix.com ? La politique internationale sur Le Telegramme.com ?

Une vision un peu pessimiste, puisque, si ces tendances se poursuivent, les journaux n’arriveront pas dégager suffisamment de revenus de leurs opérations internet pour combler les déficits de la version papier."

Version intégrale :
http://nicolas.kayserbril.free.fr/memoire/memoire.pdf

Version slide :
http://www.observatoiredesmedias.com/2007/06/06/quelle-place-pour-la-presse-en-ligne-a-lheure-du-web-20/

15/06/2007

Les blogs sur les sites de journaux : bonne recette

La combinaison de blogs et de sites de journaux serait une réussite selon les résultats d'une étude de Nielsen Netratings.

Aux Etats-Unis, sur une base annuelle, le trafic vers les pages de blog des 10 journaux en ligne les plus importants a augmenté de 210 %.

En décembre 2006, ces mêmes pages de blog représentaient 13 % du trafic global des sites en questions.

http://www.nielsen-netratings.com/press.jsp

13:43 Publié dans 4. Media | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : media, blog

07/06/2007

Les médias traditionnels essaient de comprendre les jeunes ...

C'est drôle et décalé ... les résultats d'une étude pour rassurer les grands patrons de presse réunis au très sérieux congrès de l'AMJ.

L'étude porte sur 100 jeunes de 15 à 25 ans issus de pays différents (pour le moins différents puisqu'on y trouve : Colombie, Espagne, USA, Japon, Liban, Philippines, UK, Serbie et Suède ... sacré mélange ...).

Mais on y apprend des trucs dingues : les jeunes consacrent de plus en plus de temps aux médias numériques (non, vraiment ??? ) sauf bien sure dans les pays où le reseau n'est pas bien actif et quand les ordi. perso. représentent 15 fois le salaire moyen ... mais ils gardent beaucoup de respect pour les sources d'information traditionnelles ... (et ça c'est quand même bien sympa le respect).

Ils lisent plutôt les gratuits en prenant les transports ... mais ils pensent aussi que les payant c'est mieux pour lire à la maison ... (C'est pertinent ...).






http://www.wan-press.org/index.php3

22:10 Publié dans 4. Media | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : média