30/09/2007

Joël de Rosnay dessine 2020 ...

Internet entre autre - la biologie - l'environnement ...


joel de rosnay
Vidéo envoyée par FranceInfo


Sinon on rapelle que "La révolte du pronétariat - Des mass média aux média des masses" - l'ouvrage précédent de Joël de Rosnay est disponible sur Internet - en lecture ou en écoute.

En PDF : http://www.agoravox.fr/pronetariat/Pronetariat.pdf
Sinon aller voir sur : http://www.pronetariat.com/2006/12/la_rvolte_du_pr.html#more

07/09/2007

Résultats étude Profiling d'Ipsos Média

L'étude révèle que les internautes adoptent volontier le marketing viral initié par les marques.

11 % des internautes font suivre une publicité vidéo à des proches - 21 % communiquent l'adresse de proches pour qu'ils soient informés de certains produits/services actuellement commercialisés sur Internet - 23 % laissent un commentaire et 24 % une évaluation ou une note suite à un achat en ligne, que cela concerne le produit ou le vendeur. Au total, ce sont 67 % des internautes qui réalisent, souvent ou de temps en temps, l'une de ces quatre démarches sur le Web.

Etude portant sur 62 600 internautes de 15 ans et plus via 90 sites partenaires

04/09/2007

VOD : Comportements et usages des internautes américains

A lire sur :
http://www.pewinternet.org/pdfs/PIP_Online_Video_2007.pdf

Une étude réalisée pour Pew Internet & American Life Project entre le 15 février et le 7 mars 2007, à partir d'interviews téléphoniques effectuées par Princeton Survey Research Associates auprès d'un échantillon aléatoire de 2.200 Américains de 18 ans et plus, dont 1.492 internautes. La marge d'erreur moyenne sur la base de ces 1.492 internautes est de plus ou moins 2,8 points.

14:02 Publié dans 3.3 VOD | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : neomedia, internet

Vente aux enchères sur Second Life pour lutter contre le cancer du sein



Du Rose Pour La Vie sur Second Life


Recommandé par des Influenceurs


L'Institut de cancérologie Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe (IGR, Villejuif), lance en Octobre 2007 "Du Rose pour la Vie". Cette opération de sensibilisation sur le cancer du sein se déroulera dans le cadre d'Octobre Rose, mois International de lutte contre le cancer du sein.

L'opération Second Life se déroule en deux étapes : Une exposition de créations/objets Second Life et la vente aux enchères sur EBay des créations exposées. Pour permettre à un maximum de personnes de participer, l'exposition se déroulera du 1er au 10 Octobre 2007 sur Second Life. Les enchères seront ouvertes sur EBay pendant cette même période. La vente aux enchères sera clotûrée le 10 Octobre; les objets et créations seront alors remis à leurs nouveaux propriétaires.

L'événement sera hébergé sur Elyseum dans le hall d'exposition personnalisé pour l'occasion. L'intégralité du montant des ventes sera reversé au profit de la recherche contre le cancer du sein menée à l'institut de cancérologie Gustave Roussy.

31/08/2007

Les internautes poussent Cadbury à relancer une barre chocolatée

225d72971ed52c52e10038e33397562f.jpgCQFD ... Des internautes anglais se mobilisent sur MySpace et Facebook et font circuler une pétition pour la relance d'une marque de barre chocolatée inconnue chez nous - Wispa.

Et la marque les prend au mot en relancant en série limitée la barre en question. 23 millions de Wispa seront mis en vente au mois d'octobre. Les activistes du Net ont réussi ... mais c'est le majorité muette qui aura le dernier mot.

Tony Bilsborough, porte parole de Cadbury, dit :
"We have noticed the web interest for some time and the consumer passion has undeniably swayed our opinion to relaunch Wispa. This is the first time that the power of the internet played such an intrinsic role in the return of a Cadbury brand. Our challenge is whether there is a genuine desire to see it come back. If the internet reflects what the public are thinking, we will bring it back permanently."

Perso. je me ferais bien une pétition pour le retour de la 2CV ... verte évidement ...

30/08/2007

Blogs : 500 millions $ pour les 50 000 plus populaires en 2006

"Selon une étude réalisée par l'Université du Texas (UTD) et l'agence Chitika, les 50 000 blogues les plus populaires de la planète auraient récolté quelque 500 millions $ de revenus publicitaires en 2006.

Ainsi, selon les conclusions de cette étude, les blogues les plus populaires et les plus réputés réussiraient à attirer les publicitaires et à obtenir une rémunération conséquente.

Selon le document, le marché aurait tendance à surestimer les revenus générés par les blogs moins populaires, tout en sous-estimant ceux des blogs les plus réputés.

L'étude aurait été réalisée depuis un échantillon de blogs membres du réseau Blog Marketing, le classement de popularité aurait été réalisé selon le palmarès Technorati (statistiques de liens entrants), et une technique statistique standard de modèle prédictif aurait servi pour établir la somme totale des revenus générés."

Lu sur : http://www.branchez-vous.com/

Le blog auto ... l'histoire

Dans le Figaro du 29 août le récit de la réussite du blog auto ...

A lire sur :

http://www.lefigaro.fr/high-tech/20070829.WWW000000424_le_pari_reussi_de_quatre_pionniers_du_blog.html

Le blog auto ... :

http://www.leblogauto.com/

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10:40 Publié dans 3.1 Blogs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : neomedia

28/08/2007

Un French kiss pour l'Italie

Vueling, compagnie aérienne "low cost", est en quête de notoriété et monte une opération de street marketing.

Jeudi 30 août, à partir de 13h, les 100 premiers couples à s'échanger un french kiss rue des Italiens dans le 9e arrondissement de Paris, se verront offrir un vol aller-retour pour Milan, Rome, Venise ou Bologne.

2 jours pour trouver un partenaire avec qui on passerait bien 2 jours en Italie ... faut être un peu joueur mais c'est jouable ;-)

27/08/2007

Que viennent faire les entreprises sur Second Life

Débat sur BFM - dans les grands débats - Vendredi 13 juillet

Intéressant surtout pour les retours d'expériences en recrutement via l'univers virtuel.

Avec en invités :
Daniel Prin, Président de TMPNéo
Pierre Hervé-Bazin, Responsable du département Recrutement d’Areva
Frédéric Cavazza, consultant indépendant, spécialiste des innovations sur internet et des univers virtuels
Louis Treussard, Directeur Général de l’Atelier BNP-Paribas.

A podcaster sur :
http://www.radiobfm.com/index.php?id=149&idemission=73

26/07/2007

Le livre blanc de l'utilisation marketing du Web 2.0

808435a49ea56c67e7004a1e9ff48b16.gifCoremetrics, société américaine spécialisée dans la mise en place de solutions marketing Web 2.0, propose ce livre blanc qui plante bien le décors ... A lire pour les novices - à éditer pour les plus initiés. Comme souvent avec les américains, c'est simple mais clair et précis.

A lire sur :
http://www.coremetrics.com/downloads/Coremetrics_web2.0_white_paper.pdf

La nouvelle économie : s'adapter aux médias libres plutôt que de s'en proteger par Jonathan Schwartz, CEO Sun

Une comparaison osée entre la problématique de la presse confrontée aux contenus générés par les utilisateurs et la problématique des logiciels face à l'open source. A méditer ... :


La censure et les médias libres (Ou De l'usage du courrier des lecteurs)

"Je lis régulièrement deux quotidiens.

Bien sûr, je suis conscient que partout dans le monde, la presse écrite n'a plus la cote. En avouant lire un journal sur papier, je risque de me faire cataloguer comme un fossile anachronique. Pourtant, il existe de nombreux parallèles fascinants entre l'industrie de la presse et celle des logiciels. Elles connaissent toutes les deux de profondes mutations, qui sont perçues comme des traumatismes par certains et comme de formidables opportunités par d'autres.

Ces deux secteurs ont de nombreux points communs. En premier lieu, ils plongent leurs racines parmi des communautés de rédacteurs créatifs (des journalistes pour l'une et des développeurs pour l'autre).

Les journaux traditionnels publient du contenu produit par leurs employés. Les auteurs et les journalistes sont bardés de diplômes et de références et on attribue aux meilleurs d'entre eux des distinctions saluant leur qualité rédactionnelle et leur intégrité, tels que le Prix Pulitzer. Lorsque les rédactions ouvrent leurs pages au grand public, c'est la plupart du temps sous forme du courrier des lecteurs, dont le contenu dépasse rarement une page et qui fait l'objet d'un filtrage considérable. Les spécialistes qui n'appartiennent pas à la revue concernée peuvent rédiger un article ou un billet, mais ce genre d'invitation est habituellement réservé à diverses sommités, telles que d'anciens premiers ministres ou présidents de la Banque mondiale. En simplifiant à l'extrême le propos, on pourrait dire qu'au sein de la presse écrite traditionnelle, plus de 99 % du contenu émane des employés et moins de 1 % des communautés qui les lisent. Le rédacteur en chef a le dernier mot.

À l'opposé, toutes sortes de médias en ligne récupèrent et disséminent le contenu produit par la communauté d'utilisateurs du monde entier. À titre d'exemple, on pourrait citer Craigslist, YouTube et Lokalisten. Ce contenu est désigné par l'expression "Contenu généré par l'utilisateur" (CGU) dont on peut regretter le caractère malheureux. Les entreprises qui assurent sa distribution se considèrent comme des entreprises technologiques. Leurs employés ne produisent pas de contenu, mais développent des technologies permettant d'organiser un contenu et d'y permettre l'accès. Plus de 99 % du contenu qu'elles proposent provient de la communauté mondiale, tandis qu'un très faible pourcentage émane de leurs employés. En d'autres termes, c'est l'inverse de la presse écrite traditionnelle.

Bien entendu, on pourrait débattre pendant des heures pour savoir qui, des médias traditionnels et des nouveaux médias, peut s'enorgueillir d'une plus grande respectabilité, mais ce débat serait futile. Le marché accorde bien plus d'importance aux sites Web d'accumulation de contenu qu'à la presse écrite (pour s'en convaincre, il suffit de prendre en considération le très faible nombre d'investisseurs qui financent les journaux). Avec les médias en ligne, il n'y a pas de camions à entretenir, pas de rouleaux de papiers de 500 kilos à acheter, pas de journalistes ou d'imprimeurs à rémunérer. D'un point de vue démographique aussi bien que statistique, les médias en ligne attirent dans le monde entier un lectorat plus vaste, dont il parvient à retenir l'attention pendant plus longtemps. Ce concept, qui semblait risible il y a quelques années, a connu une formidable expansion et génère actuellement des profits phénoménaux.

Comment les sociétés appartenant à la presse écrite peuvent-elles résister à la menace que représentent les médias en ligne ? En plus d'acquérir des entreprises appartenant aux nouveaux médias, elles tentent de stimuler la participation des membres de la communauté dans les équivalents en ligne de leurs publications écrites. Elles permettent par exemple de publier des commentaires sur des articles ou des fils d'infos. Ce processus ne se déroule pas toujours sans accroc, mais au lieu de s'opposer à la tendance générale, la plupart d'entre elles admettent que les lecteurs sont aussi intéressés (si ce n'est plus) par le contenu généré par la communauté que par le contenu officiel des sociétés. En ce qui me concerne, je trouve les commentaires des lecteurs de mon blog plus intéressants que mon blog. On pourrait dire que le courrier des lecteurs est devenu aussi intéressant que les articles qui inspirent les gens à écrire au journal.

Bien entendu, les médias traditionnels pourraient tout à fait adopter une stratégie bien différente. Ils pourraient intenter un procès aux nouveaux médias et aux entreprises technologiques, en prétendant qu'ils leurs volent des clients en ne respectant pas les brevets qui appartiennent aux médias traditionnels. On peut les imaginer s'écrier : « Nous avons fait breveté l'idée de publier du texte dans des colonnes, les petites annonces encadrées, les légendes qui accompagnent les photos et les gros titres en caractères gras ! » Pourtant, elles s'attaqueraient alors à l'ensemble de la communauté, ce qui revient à faire un procès à ses abonnés. Le rédacteur en chef deviendrait censeur. Bien entendu, les partisans de la liberté de la presse sont mal placés pour recommander la censure des médias libres. Le nombre de procès intentés est faible. On ne peut pas signaler une conversion de tous les intervenants, mais force est de constater que la majorité a évolué, par le biais de la concurrence, des acquisitions, des réorganisations ou d'un nouveau départ. Ceux qui ne sont pas parvenus à s'adapter ont péri et ils méritaient ce sort.

Mais, me direz-vous, quel est le rapport avec l'industrie des logiciels ?

L'industrie des logiciels traverse actuellement la même transition. Il y a sept ans, StarOffice et Solaris, pour citer deux produits clés de Sun, étaient développés par nos propres employés. Leur code source était disponible par le biais de licences très restreintes, mais nos ingénieurs (qui avaient l'équivalent d'un Prix Pulitzer) avaient écrit 100 % du code, la contribution de la communauté restant très modeste. Nous prenions en considération les remarques des utilisateurs (c'est-à-dire l'équivalent de lettres envoyées au journal), mais nous ne les laissions pas toucher au code (ou composer la une de notre journal). Nous exercions un contrôle absolu.

C'est alors qu'est apparu notre plus grand rival dans les années 90 : un produit fabriqué par une société qui rassemblait et organisait les logiciels de la communauté Open Source. Ses membres ne développaient pas grand-chose eux-mêmes. Ils se contentaient de s'appuyer sur l'équivalent du contenu généré par la communauté : les logiciels libres et Open Source.

Aurions-nous pu leur intenter un procès ? Absolument. Selon moi, Sun possède le portefeuille de brevets le plus précieux et le plus concentré du Web (que nous n'hésiterions pas à utiliser pour défendre Red Hat et Ubuntu). Mais intenter un procès à la communauté Open Source aurait été aussi absurde pour nous que si un journal attaquait en justice les auteurs des lettres publiées dans le courrier des lecteurs. Nous aurions tenté d'appliquer une censure au lieu de favoriser l'émergence d'une presse libre. On aurait pu s'en satisfaire à l'époque, mais cela n'aurait pas permis de s'attaquer au plus important des défis : pour nos clients, le contenu généré par les communautés devenait progressivement plus intéressant que le contenu créé par des professionnels.


Qu'avons-nous fait depuis ? Nous avons baissé le prix des deux produits de façon à les proposer gratuitement, nous avons rendu le code disponible sous forme de Logiciel libre, et nous avons fait le nécessaire pour susciter l'intérêt et obtenir l'adhésion de la communauté Open Source au lieu de s'opposer à elle. Loin d'entraîner une baisse de nos revenus, cette décision s'est soldée par une augmentation des opportunités commerciales pour Sun. Évidemment, ces ouvertures n'étaient pas systématiques, mais elles se sont avérées payantes parmi ceux qui considéraient qu'une interruption de service était plus coûteuse qu'un abonnement (encore un mot que nous partageons avec les médias traditionnels) à un service. Vous ne me croyez pas ? Jetez un coup d'œil à cette image. Cliquez sur « Blank », dans le coin supérieur droit pour faire disparaître la carte satellite et demandez-vous si Sun aurait pu obtenir un taux d'adoption aussi élevé sans accepter le concept du Logiciel libre (la réponse est non). Demandez-vous également si les personnes qui ont effectué le téléchargement pourraient éventuellement s'intéresser à d'autres produits que nous avons fabriqués (la réponse est « oui »).

Mais, à un degré encore plus élevé que Solaris, l'un de nos produits a réussi à entraîner l'adhésion de clients du monde entier. Il s'agit d'OpenOffice, que vous pouvez télécharger en cliquant sur ce bouton :

J'ai voyagé dans le monde entier pour Sun et à chaque déplacement, je constate que le taux d'adoption d'OpenOffice augmente. OO.o est construit, localisé et vanté par une immense communauté. Il permet le fonctionnement efficace d'agences gouvernementales au Brésil, de banques en Inde et d'universités en Europe et en Amérique du Nord. Nous progressons de manière très spectaculaire en Chine. On trouve OO.o dans des centres d'appels, des hôpitaux, des corps législatifs et des écoles élémentaires. Il est localisé dans un nombre de langues dépassant celles de son (seul) concurrent crédible. Il a dopé la concurrence dans un marché qui en était dépourvu. De plus, il a ouvert les portes à la standardisation d'un format de fichiers sans royalties ou droits de brevets, afin de permettre l'échange de documents, comme on a pu le constater récemment, en Norvège. Cette tendance sera confirmée dans tous les pays qui soutiennent la liberté de la presse.

OpenOffice a permis l'éclosion du contenu généré par les utilisateurs. On peut considérer qu'il est en grande partie dérivé des travaux de la communauté. En quoi ce mode de fonctionnement a-t-il été bénéfique pour Sun ? Tout d'abord, ce principe a permis de favoriser l'adoption de la marque Sun dans le monde. À ce titre, j'ai récemment discuté avec une nouvelle recrue de Sun. Ce jeune homme a avoué assez mal connaître Sun, mais il a écrit deux mémoires de Masters sous OpenOffice. Il a vu le logo chaque jour pendant des années. En outre, cette approche s'est avérée utile pour nos clients car elle a ouvert des marchés qui étaient auparavant fermés, tout en rendant des outils de productivité abordables pour des millions de personnes dans le monde. Le marché de Sun et d'autres entreprises a par là même bénéficié d'une expansion. En contribuant à faire baisser le prix des outils de productivité de 500 $, les utilisateurs exercent une immense influence sur les pays en voie de développement (et sur les entreprises en pleine croissance). Les logiciels libres ne sont pas victimes des pirates.

Je sais pertinemment qu'il faudra un certain temps pour que SUNW retrouve son rang. Dans le même ordre d'idée, il faudra s'armer de patience pour assister à une progression plus dynamique du chiffre d'affaires et des bénéfices. Ceci étant dit, la meilleure stratégie consiste à adopter le contenu de la communauté au lieu de s'y opposer. Ceux qui résistent à la transition vers les médias libres privilégient leurs brevets aux dépens de leurs clients. Cette optique est diamétralement opposée au modèle commercial de Sun."

22 juin 2007 sur le blog et par Jonathan Schwartz, CEO Sun

Plus sur le blog du boss :
http://blogs.sun.com/jonathan_fr/

24/07/2007

Un widget publicitaire qui fait le tour du monde

Uniqlock ... le nom ici n'évoque rien. C'est une marque de vêtements japonais. Ils ont lancé un widget publicitaire ultra efficace : une horloge avec des petites nanas qui dansent sur une musique addictive, un brin agacante à la longue. Le tout donne l'heure et est si joli que l'horloge est en passe de faire un tour du monde blogosphérique (cf. leur site où une carte du monde indique où le widget a été mis en ligne, sur combien de blogs et le nombre de personnes l'ayant consulté) ... Une leçon de marketing virale très inspirante ...



Télécharger l'horloge :
http://www.uniqlo.jp/uniqlock/index.html?permalink=world

Le site de la marque :
http://www.uniqlo.jp/

20/07/2007

L'impact d'Internet sur l'économie de la presse, thèse de doctorat d'économie de Danielle Attias

Le sujet est excitant et je vais le dévorer ce WE.

Une mise en bouche :

"Cette recherche analyse l'impact d'Internet sur l'économie de la presse, à la fois en termes d'organisation industrielle et de modµele économique. A l'aide de la théorie des coûts de transaction, nous étudions le changement opéré grâce à la technologie sur la production et la distribution du bien presse". En identifant plusieurs modµeles d'édition et de distribution de contenus sur Internet, il est possible de comprendre les choix organisationnels des acteurs en fonction de leurs actifs clés : leur marque et leurs capacités dédiées à la production de contenus. Grâce à un test économétrique mené à partir d'une base de données d'audience de sites de presse, nous montrons que ces décisions des firmes sont liées aussi aux stratégies de valorisation de leur audience en ligne : vente de publicité en masse distribuée auprès d'une large audience ou vente de publicité ciblée auprés d'une audience de lecteurs qualifiés. Certains acteurs, notamment les éditeurs d'informations générales épousent, par mimétisme, le modèle économique et la stratégie de valorisation de l'audience des grands portails. Dans un modèle théorique, nous montrons l'impact de la course à l'audience pour ce type de firmes. Dans un contexte de concurrence entre médias en ligne, si ceux-ci ne valorisent que la taille de leur audience auprès des annonceurs, le média dont l'audience est la plus faible risque d'être exclu du marché publicitaire."

Et le plan :

Introduction
1 Internet à la source de changements majeurs dans l'industrie de la presse

1.1 Introduction
1.2 La mise à disposition de biens de presse gratuits
1.2.1 Définition et caractéristiques du bien presse
1.2.2 L'impact d'Internet sur la tarification du bien presse
1.2.3 Y a-t-il une cannibalisation de l'activité traditionnelle par Internet ?
1.3 La légitimité du journaliste remise en question
1.3.1 L'émergence du lecteur comme éditeur d'informations
1.3.2 L'émergence de rédactions multi-supports
1.4 Conclusion

2 L'organisation de la filière presse en mutation
2.1 Introduction
2.2 La numérisation de la production et la distribution industrielle de la presse
2.3 La théorie des coûts de transaction comme grille de lecture des changements organisationnels de la presse
2.4 Les attributs des transactions clés de la presse traditionnelle
2.4.1 Les spécificités de site constituent un attribut clé des transactions dans la presse traditionnelle
2.4.2 Les spécificités physiques ont fortement influencé les relations entre la presse traditionnelle et son principal partenaire, les NMPP
2.4.3 Les spécificités d'investissement sont constitutives des économies d'échelle qui caractérisent l'industrie
2.4.4 L'incertitude des transactions est essentiellement due aux conflits syndicaux
2.4.5 La fréquence des transactions est élevée du fait de la périodicité de l'activité
2.4.6 Une synthèse des déterminants des transactions de la presse traditionnelle
2.5 L'impact d'Internet sur la gouvernance des transactions
2.6 Les nouveaux déterminants de la transaction
2.6.1 La spécificité de site est radicalement transformée
2.6.2 Les spécificités physiques sont désormais liées aux outils de publication numérique
2.6.3 Les spécificités d'investissement visent à doper l'audience des sites
2.6.4 Les spécificités humaines reposent sur la formation des personnels
2.6.5 L'incertitude reposant sur la transaction change de nature
2.6.6 La contrainte temporelle se reporte sur les rédactions
2.6.7 Une synthèse des attributs de la transaction de la presse en ligne
2.7 Conclusion

3 L'émergence de nouveaux modèles de valorisation des contenus d'information
3.1 Introduction
3.2 Cadre théorique et composantes des choix des firmes
3.2.1 Théorie des coûts de transaction et littérature sur les hybrides
3.2.2 Composantes des choix des acteurs de la presse en ligne
3.2.3 Des propositions testables
3.2.4 Eléments de synthése
3.3 Eléments méthodologiques
3.3.1 Les données
3.3.2 Le choix des variables
3.4 Résultats économétriques
3.4.1 Les choix de gouvernance des sites de presse
3.4.2 Choix de gouvernance et comportements de marché
3.5 Typographie des acteurs de la presse en ligne
3.5.1 Les "Grands spécialistes"
3.5.2 Les "Généralistes de qualité"
3.5.3 Les "Agrégateurs"
3.5.4 Les "Editeurs de niche"
3.6 Conclusion

Consultable sur :
http://danielleattias.typepad.com/medias/files/These_Danielle_Attias.pdf

19/07/2007

Le monde politique face aux blogs

"De la suite dans les idées", émission hebdomadaire de France Culture, s'est intéressée cette semaine à l'impact des nouveaux médias sur le monde politique. Eclairant sur la partie des blogs entre autre.

Invitées :
Françoise Massit-Folléa. Professeur à l’Ecole Normale Supérieure, lettres et Sciences humaines, chercheure en sciences de l’information et de la communication
Laurence Monnoyer-Smith. Université de Technologie de Compiègne. Maître de Conférence en Sciences de l’Information et de la Communication
Dominique Cardon. sociologue au Centre d’étude des mouvements sociaux de l’École des Hautes Études en Sciences sociales (CEMS/EHESS).
Godefroy Beauvallet. Enseignant-chercheur à l'Ecole Nationale des Télécommunications
Département Sciences Economiques et Sociales

Et un numéro de la revue Hermès pour aller plus loin :

"Depuis plusieurs années, les débats publics ne sont plus réservés aux professionnels de la politique et aux experts patentés. La multiplication des moyens de communication - et notamment l'internet - ouvre de nouveaux espaces où se discutent, s'élaborent, s'affichent des arguments et des opinions sur la vie politique et sociale.

Ce numéro de la revue Hermès s'intéresse aux échanges collectifs qui s'opèrent à travers différents médias en analysant un ensemble de cas très variés. Le débat public sur le troisième aéroport en Picardie. Le site internet des partisans de Ségolène Royal. Une controverse autour des éoliennes. Une émission de libre antenne radiophonique à destination des adolescents. Les langages inventifs élaborés autour des émeutes des banlieues. Les militants électroniques de la santé. Les divers modèles de « blogs citoyens »...

Ces échanges à distance peuvent être formatés selon certaines normes ou se présenter comme spontanés. Selon les cas, ils proposent un recadrage ou une libération de la parole ordinaire ; ils peuvent se soucier, ou non, de légitimité et de vérité. Mais tous ont un point commun : ils témoignent de styles inédits de représentation politique qui transforment la figure du citoyen, le rapport gouvernants-gouvernés et les formes de l'argumentation. Comment la circulation de ces « paroles publiques » de plus en plus hétérogènes est-elle susceptible de déboucher sur l'intérêt collectif ? C'est la question centrale de ce volume."

Ecouter ou podcaster sur : http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/suite_idees/index.php?emission_id=45

14:30 Publié dans 3.1 Blogs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : néomedia, politique

16/07/2007

YouMake.tv : RTL group lance sa plate-forme vidéo

A priori un classique metoo product : hébergement et partage de fichiers vidéo et audio, une mise en valeur de contenus exclusifs RTL ou de ses partenaires, des outils de personnalisation de ses espaces, du partage (micro blogging, listing d'amis, commentaires ...) ... Que des bonnes recettes et en plus une version mobile serait disponible dans un second temps - horizon septembre.

Le site est en Bêta privée et serait lancé en Belgique puis au Luxembourg avant d'être réellement décliné sur la France.

Un grand média traditionnel qui se lance dans cette aventure ... une chance ou un handicap ? Encore une affaire à suivre ...

Le site : http://www.youmake.tv/

20:58 Publié dans 4. Media | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : néomédia, média, vod

Le livre blanc des évolutions marketing 2007

"Les mutations médias d'aujourd'hui et de demain dans un monde marketing fait d'innovations et de génie*"
Par Olivier Bender

* pour ce qui est du "génie", je laisse Olivier Bender responsable de ses enthousiasmes superlatifs ;-)
On notera aussi que le document date plus surement de 2006. Mais, si les exemples datent, certains fondamentaux sont revisités avec pertinence.

Le sommaire :

1. PREAMBULE 6

2. INTRODUCTION : LES NOUVELLES TENDANCES 8

3. EVOLUTION DANS LES MEDIAS 10
3.1 Le cadre stratégique de l'évolution des médias 11
3.2 Les 5 points forts de la transformation des médias 17
3.3 Message promotionnel et perception publique 19
3.4 La fragmentation de l'offre 20

4. WEB 2.0, BLOGS, MARKETING ‘BOUCHE A OREILLE’,
CONTENU GENERE PAR LES UTILISATEURS 21
4.1 L’émergence du "social networking" 24
4.2 Les stars du Web 2.0 26
4.3 Gérer la prise de contrôle du consommateur 31
4.4 Le buzz 34
4.5 La force des blogs 41
4.6 Les wikis 43

5. EMARKETING 47
5.1 e-Mailing 47
5.2 La recherche ciblée 47
5.3 Le Behavioral targeting. 49
5.4 Le Contextual targeting 50
5.5 e-mail en Rich Media 51
5.6 Les blogs ou "Social Media" 52
5.7 Les fils RSS 52
5.8 Le téléphone mobile 53
5.9 La publicité dans les jeux vidéo 54
5.10 Avantages et inconvénients du eMarketing 55

6. LES INNOVATIONS MARKETING 57
6.1 Innovations et marques 58
6.2 Les fondamentaux de l'innovation en marketing 66
6.3 Les 5 étapes vers la créativité 69
6.4 Le groupe de travail 71
6.5 La stratégie des points de contact (TouchPoints) 72
6.6 Dix pistes pour contrôler son image et sa réputation grâce à Internet 81

7. QUEL GENIE POUR QUEL MARKETING ? 85
7.1 Les interactions fondamentales entre l'interne et l'externe 86
7.2 Les besoins 87
7.3 Information et marchés 88
7.4 Bâtir une relation amicale 89
7.5 Les évolutions des marchés 91
7.6 Les changements dans les marchés 91
7.7 Quelques marques de génie 93

8. CONCLUSION 97

9. SOURCES 101

Une saine lecture pour les retardataires et même les autres sur : http://benoli.typepad.com/Marketing-2007.pdf

14/07/2007

Wikipedia a des failles

Un groupe d’étudiants du master de journalisme de Sciences-Po ont mené une enquête intitulée « La révolution Wikipédia : les encyclopédies vont-elles mourir ? ».

Dans ce cadre, ils ont soumi le site à plusieurs épreuves :
Ils ont ainsi modifié certains articles de Wikipédia pour y insérer des erreurs plus ou moins évidentes.
Le but était donc de voir en combien de temps les contributeurs réagiraient avant de les corriger.
Les résultats montrent que certaines d'entre elles sont restées en ligne plusieurs semaines.

Les étudiants en ont conclu que Wikipédia «peut se tromper et qu'il est très facile de lui faire gober n’importe quoi» et qu'il ne s'agit donc pas d'abonner les sources classiques de documentation.

Aux Usa, un équipe d'enseignants a fait le même constat.

Au Middlebury College dans le Vermont, le département d'histoire a publié une note reconnaissant que Wikipédia était un outil "extrêmement pratique" et "extrêmement utile" mais qu'il était désormais interdit de citer l’encyclopédie online parmi les sources d’une recherche en histoire.

Il s'agissait pour les enseignants d'empêcher les étudiants de se cantonner à une recherche sur Wikipédia sans prendre le temps de creuser davantage. D'autres universités ont adopté les même mesures.

Jim Wales, fondateur de Wikipedia, interrogé sur la nouvelle politique de Middlebury College a répondu : "Ce qu’ils ont fait d’extrême, c’est de suivre nos recommandations, a-t-il expliqué, on a toujours dit que Wikipédia ne devrait pas être utilisée comme une source de dissertations universitaires, pour les mêmes raisons que [l’encyclopédie] Britannica ne devrait pas l’être."

Tout le monde est ok donc ...

13/07/2007

Point sur les blogs

Dans Stratégie de cette semaine, on parle blog. Ce n'est pas si fréquent. Disons que c'est une première approche ... peut être que dans le numéro suivant le sujet sera fouillé plus en profondeur ?

"Blog de Com" n° du 12.07.07 de Stratégie

On y lit ...

Des données chiffrés ... données toujours épineuses :
"Avec une fourchette estimée entre 15 et 20 millions de blogs créés, dont près de la moitié par des 13-24 ans sur Skyblog, la France fait figure de pionnière. Elle se placerait déjà au quatrième rang mondial avec 1 à 2 millions de blogs actifs mis à jour très régulièrement, qui introduisent de plus en plus de contenus vidéo."

Des éléments d'indentification des blogs influents :
Les professionnels du marketing les identifient en examinant à la loupe différents critères dont la liste ne cesse de s'allonger : nombre et fréquence de parutions, de commentaires et de citations par des blogueurs ­extérieurs, nombre d'abonnés à des flux RSS, etc. À ces indicateurs quantitatifs s'ajoutent des critères d'appréciation plus qualitatifs tels que la richesse des contenus ou le niveau d'expertise du blogueur.

« Un blog influent dépasse les 5 000 visiteurs uniques par jour, précise Philippe Torloting, consultant e-média chez Business Interactif. Quand on atteint ce palier, on commence à être un blogueur star et on songe à en tirer des revenus. »

Les outils de mesure des blogs :
"Citation de Technorati et de Wikio.
Et de Pagerank ou Feedburner, deux services proposés par Google."

Les revenus des blogueurs :
"Les blogueurs qui tirent des revenus de leur activité se multiplient. Ils seraient ainsi quelques-uns à gagner jusqu'à 1 000 ou 2 000 euros par mois. « Les rapports entre les marques et les blogueurs évoluent beaucoup en ce moment, confirme Grégory Pouy, responsable de la stratégie et de la communication de Buzz ­Paradize (groupe Vanksen). Au début, les blogueurs refusaient de se faire payer. Mais en voyant les plus gros s'y mettre, ils se rangent à cette idée. » Des régies comme Influence (Heaven) se sont ainsi lancées dans des politiques actives de monétisation des blogs les plus influents."

Les blogueurs émergeants ... :
"Après, tout est question d'affinités. Face à une blogosphère de plus en plus segmentée, les marques n'ont plus qu'à faire leur marché. Toutes les communautés s'y retrouvent : reines de la cuisine, fanatiques de la beauté ou du bavardage entre filles, « geeks », commentateurs politiques, etc. La plupart commercialisent déjà des espaces publicitaires ou des liens sponsorisés, en direct ou via des régies. Mais les blogs servent aussi de tremplins pour faire décoller des carrières. Exemples : la coach en image Sophie Kune, que l'on a vue sur M6 et qui travaille pour Celio, Deedee sponsorisée par Garnier, ou Pascale Weeks (alias Scally), auteur du blog de cuisine C'est moi qui l'ai fait, qui travaille pour des éditeurs et le site Gusto.fr... Dernier épisode en date, Cyrille de Lasteyrie (alias Vinvin), le blogueur potache de Bonjour America, qui a coécrit le pilote d'une série diffusée sur M6."


Les utilisations marketing :
"Dans le même temps, toutes les agences se mettent à faire du « social media marketing ». Les objectifs sont variés, de la simple régie au marketing d'influence en passant par les problématiques de communication interne. Dans l'univers corporate, par exemple, l'initiative très réussie de Michel-Édouard Leclerc (De quoi je me MEL) a fait florès, inspirant le patron de la société de conseil en ressources humaines Altaïdes, Jacques Froissant, qui a fait de son blog un vrai levier d'émergence. Ou bien Jean-Claude Delmas, directeur des ressources humaines de Casino, qui anime un blog de recrutement à travers des vidéos. L'infiltration des communautés de blogueurs sert aussi à l'organisation de « focus groups ». C'est notamment le cas dans l'univers culinaire, où les marques exploitent ce nouveau biais pour tester leurs produits. Johnson & Johnson a ainsi exposé son édulcorant Splenda à un groupe de blogueuses, via le groupe de relations publiques I & E Consultants. « Pour notre client EDF, nous identifions les blogs pertinents qui parlent de rénovation de l'habitat, explique François Guillot, chargé des stratégies Internet chez I & E. Nous nous éloignons des logiques traditionnelles pour mettre au point des outils de ciblage hyperqualifiés et ainsi toucher les bons relais d'opinion. »

"Dans l'univers du high-tech ou de la mode, des marques comme Samsung, Nokia ou Nike ont vite compris comment créer du buzz. « Ce que nous recherchons, c'est la recommandation des blogueurs. Elle sert à allumer la mèche », insiste Laurent Valembert, fondateur de Tribeca, une agence qui a notamment réalisé plusieurs opérations pour Nike. Quand une opération plaît aux blogueurs, c'est gagné. Les retombées sont immédiates et arrivent même souvent avant celles des médias traditionnels. Les blogueurs ne touchent pas d'argent mais disposent en contrepartie de matière pour alimenter et animer leur site, et donc de moyens sans cesse renouvelés de doper leur fréquentation."

http://www.strategies.fr/magazine/article.php?cle_page=43433

07/07/2007

Google, Microsoft et Yahoo en pleine poussée de croissance externe

Les multiples achats de ces derniers mois permettent de discerner deux faits majeurs : Google, Yahoo !, Microsoft, entre autre, sont à la recherche de technologies leur faisant défaut : outils de diffusion, de tracking, plate-formes d'affiliation. Par ailleurs, ces acquisitions mettent en avant la volonté affichée de ces acteurs, dont l'audience ne cesse de croître certes, mais moins vite que le marché, de pouvoir disposer d'un plus grand nombre d'espaces de diffusion.

En acquérant ces deux éléments - la brique technologique et les milliers de sites aptes à diffuser de la publicité mais ne figurant pas dans leur giron - l'objectif est de constituer un réseau publicitaire administré technologiquement par ces acteurs mais dont ils ne sont pas propriétaires.

En clair, ces acteurs s'assurent une part du gâteau non négligeable du marché de la publicité online, en se transformant en gigantesques régies publicitaires, concentrant et devenant ainsi incontournables sur toutes les expertises métiers : achat d'espaces, création, affiliation, diffusion, performance.

En outre, avec le rachat à prix fort de ces régies publicitaires, Google, Microsoft et Yahoo cherchent désormais à disposer de compétences très recherchées sur le métier en matière de connaissance des internautes (habitudes et consommation online) et des clients annonceurs.

Source - JdNet

03/07/2007

La presse à l'heure du Web 2.0

La présentation du travail universitaire de Nicolas Kayser-Bril :

"Les journaux doivent faire face à une concurrence accrue, du fait de la multiplication des sources d’actualité, mais également à une fragmentation des audiences. Les internautes vont en effet spontanément sur le site le plus pertinent par rapport à l’info qu’ils recherchent et ils peuvent essayer plusieurs marques puisque les coûts de permutation sur le web sont nuls. La combinaison de ces deux phénomènes devrait donner un avantage massif au leader sur chaque segment de l’info, si bien qu’à moins de posséder une marque suffisamment différenciée et fédératrice, les audiences ne donneront de la valeur qu’à une partie des contenus diffusés sur un site. Qui consulte en effet les pages sports de La-Croix.com ? La politique internationale sur Le Telegramme.com ?

Une vision un peu pessimiste, puisque, si ces tendances se poursuivent, les journaux n’arriveront pas dégager suffisamment de revenus de leurs opérations internet pour combler les déficits de la version papier."

Version intégrale :
http://nicolas.kayserbril.free.fr/memoire/memoire.pdf

Version slide :
http://www.observatoiredesmedias.com/2007/06/06/quelle-place-pour-la-presse-en-ligne-a-lheure-du-web-20/

25/06/2007

Le placement publicitaire façon TV 2.0

Le placement de produit au cinéma n'est pas nouveau ... mais la société américaine Ice se propose d'industrialiser le process ... Vous rêvez de la mini en sky de Gabrielle Solis - des excarpins de Carry Bradshaw ou du T.Shirt de Jack Bauer ? La société Ice vous permet de shopper en regardant vos séries préférées. Un menu déroulant pour sélectionner la rubrique chaussure ... voir défiler les modèles ... payer en direct ...

Déprimant à bien des égards ... mais vertigineux à considérer le changement de modèle pour le monde de la publicité entre autre.

Voir la démo. : http://www.iceit.tv/index.php?id=61

Et une parodie de Star Wars ... visionnaire


pub drole parodie starwars
Vidéo envoyée par abenzona5

24/06/2007

25 septembre prochain - séminaire dédié aux univers virtuels

Savez vous ...

- que plus d’1 personne sur 4 en Corée du Sud posséde un avatar dans CyWorld
- qu'une licence bancaire valable dans Entropia Universe à été attribuée à une banque allemande pour plus de 400.000 $
- que les revenus annuels d’éditeurs comme Sulake (Habbo Hotel, Coke Studios, Disney Virtual Magic, Kingdom) ou Tecent (QQ) avoisinent les 100 millions de dollars ... et on en passe ...

Ces chiffres étonnants invitent les marques à se positionner.

Le séminaire se passe du préalable "pourquoi y être" mais pourra sans doute éclairer ceux qui souhaitent savoir "comment y être".

Le programme à ce jour :

Panorama des univers virtuels - Frédéric CAVAZZA
Quelles utilisations des univers virtuels et quels contenus pour valoriser la présence de sa marque ? - Dan BENZAKEIN
Les différents modèles économiques liés aux univers virtuels - Stéphane BAYLE
Les outils de modélisation et de scripting : plus de réalisme et surtout plus d’opportunités - Fabrice TRON
Quel impact pour les opérations de communication évènementielle dans Second Life - Laurent HECKMANN
Typologie des utilisateurs - types des univers virtuels - François ABIVEN
Identité, expérience, et design d’interaction des marques dans Second Life - Benoît DROUILLAT
L’apport de l’open source pour adapter Second Life à votre contexte de marque - Robert VINET
Les relations publiques dans les univers virtuels : de l’écho médiatique à la résonance individuelle - Pierre LE LEANNEC et Philippe BETEILLE
Présentation de Habbo Hotel : Chiffres-clés, audience et potentiel - Jean-Baptiste GERAUD

Les inscriptions sont ouvertes mais les places limitées.

http://www.virtualparis2007.com/

15/06/2007

Gallery s'ouvre à la publicité mobile

Du nouveau pour les plans média .... Gallery ouvre des espaces publicitaires :

Communiqué de presse du 07.06.2007

http://www.pro.gallery.fr/fr/actualites/News/PubSurGallery.jsp

A partir de juillet prochain - Gallery - le moteur de recherche sur téléphone mobile - s'ouvrira à la publicité en permettant aux 1700 sites du kiosque de commercialiser leurs propres espaces publicitaires et d'établir des liens vers d'autres sites mobiles également référencés sur Gallery. Ces liens pourront être de nature publicitaire ou non et les publicités non cliquables, comme les interstitiels par exemple, seront également autorisées.


Je n'ai pas trouvé les informations concernant les mesures d'audience, les tarifs, les produits ... à suivre donc.

Rappel Gallery, c'est :

Un moteur de recherche accessible à plus de 23 millions de personnes équipés d'un téléphone mobile compatible, quelque soit leur opérateur* !

Un kiosque multi-opérateurs regroupant déjà plus de 900 sites Internet mobile : Information, services pratiques, divertissement ...

La solution mobile "sur étagère" qui vous permet de rendre accessible vos services et vos contenus depuis un mobile, gratuitement ou de façon payante.