09/09/2007

Andrew Keen met le Web 2.0 à la question

Andrew Keen publie "Le culte de l'amateur" et pose la question : quand tout le monde peut prendre la parole, est-ce que le débat s'enrichie ?

Pas que ... rétorque l'auteur ... Et le sujet mérite qu'on s'y penche.


A lire ci-dessous - les deux articles parus - l'un dans Libération - l'autre dans les Echos.

Et à consulter le blog du monsieur : http://andrewkeen.typepad.com/

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21:10 Publié dans 3.2 Neomedia | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : web 2.0

31/08/2007

La ratp lance son site 2.0

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Si les marketeurs ont conscience que le participatif est aujourd'hui un facteur qui s'impose dans la relation clients ... peu passent le pas.

La RATP donne le ton en mettant en ligne un site ouvert à toutes nos contributions ... Il ne s'agit pas uniquement de raler ... mais de faire des propositions positives et constructives pour améliorer ensemble le service ... Un exercise très français comme chacun sait.

Les internautes peuvent également voter pour faire remonter en home page les idées qu'ils trouvent les plus pertinentes, commenter les propositions des autres et consulter les commentaires des responsables de la RATP ...

A ce jour, des suggestions à la une sur l'introduction des bornes vélib sur les plans RATP ou les escalators à ne pas faire tourner à plein quand personne n'est dessus ...

Une initiative à suivre ... (en périodes de grêve aussi ;-) ...

Tout sur : https://www.vous-et-la-ratp.net/

26/07/2007

Le livre blanc de l'utilisation marketing du Web 2.0

808435a49ea56c67e7004a1e9ff48b16.gifCoremetrics, société américaine spécialisée dans la mise en place de solutions marketing Web 2.0, propose ce livre blanc qui plante bien le décors ... A lire pour les novices - à éditer pour les plus initiés. Comme souvent avec les américains, c'est simple mais clair et précis.

A lire sur :
http://www.coremetrics.com/downloads/Coremetrics_web2.0_white_paper.pdf

11/05/2007

Courte définition Web 2.0

Le phénomène du blog doit être replacé dans la perspective générale des évolutions d’Internet. En effet, il n’est que la partie la plus clairement identifiée de ce qu’il est admis d’appeler le Web 2.0.

I.I Le Web 2.0

L’expression s’est imposée mais sa définition tarde à se stabiliser. C’est qu’elle recouvre une réalité encore mouvante et protéiforme.

Le web 2.0 est d’abord une agrégation de différentes évolutions techniques. Elles ne sont pas forcément récentes, elles n’ont pas de rapports entre elles et touchent des fonctionnalités différentes. Cependant, elles ont pour conséquence d’améliorer l’ergonomie des sites, de faciliter la navigation, de fluidifier l’échange des contenus.
L’ergonomie génération 2.0 permet d’éditer plus d’informations, obtenues en moins de clics et dans un temps de chargement moins long. Les sites paraissent plus pratiques, plus animés, plus ludiques.
La circulation des contenus est facilitée par l’utilisation des flux RSS qui permettent aux visiteurs d’être alertés de l’édition de chaque nouveau contenu sans passer par la publication de news letter.
Mais les bouleversements les plus notables du Web 2.0 sont ceux qui dépassent le langage technique. Ils se situent dans le changement radical du mode de relation entre l’éditeur du contenu et son lecteur.

En effet, certains sites se distinguent par leur système d’organisation en livrant la hiérarchisation de leur contenu aux internautes eux-mêmes. Par un système de notation, ces derniers peuvent activer un classement qui déterminera l’ordre d’apparition générique. Une partie du succès des diffuseurs de vidéo YouTube ou de la plateforme de photos Flickr repose sur la mise en avant de ce principe. D’autres sites permettent aux visiteurs de composer eux-mêmes tout ou partie des articles. L’encyclopédie en ligne Wiképédia est ainsi le fruit d’un travail collaboratif ou chacun peut livrer un article ou apporter un correctif à un sujet déjà édité.

Par ailleurs, le web 2.0 fédère des protocoles de communication ouverts qui permettent de générer des interfaces de dialogues. Les sites peuvent offrir des zones de commentaires où l’internaute est libre de réagir à l’article initial ou aux commentaires déposés par un lecteur précédent.

Ainsi, la véritable évolution du web 2.0 est de changer la posture de l’internaute : d’un statut de simple lecteur, il devient acteur, collaborateur, co-éditeur des sites. L’interactivité y gagne un nouveau galon.